Ne désire-t-on que ce dont on a besoin ?
Chacun a ses centres d’intérêts et sa vision personnel de toute chose, mais pour ce qu’il en est des besoins, il semble que nous soyons tous rattachés à de mêmes besoin primaires, ainsi que des besoins secondaires plus diversifiés qui sont souvent liés à nos désirs. Or certains de nos désirs sont nécessaires au maintient de notre existence mais les hommes ne désirent-ils rien d’autre que ce dont ilf i>nt besoin ?
Les hommes désirent probablement autre chose que ce dont ilfSesoin mais qui ne relève pas de la simple idée du besoin, en effet c besoins primaires un amais les désirs car satisfaction de nos d les désirs soient hiér p g ‘un manque. Or les lent ns l’absolu et ainsi la Enfin Ihomme ne peut limiter aux seuls besoins primaires car une fois comblés un necessité den avoir plus renaît, mais avoir plus de quoi ? car les besoins sont comblés donc ça ne peut pas en être.
Nous vairons donc quelles distinctions il faut faire entre les notions de besoins et de désirs, puis, grâce à cette analyse nous pourrons montrer la différence ShAipe to Wew next page différence entre ces deux dernières et apporter des précisions sur le caractère nsatiable du désir pour enfin répondre à la problématique. Partons du fait que les désirs de l’homme sont comme une cuve remplir et que pour l’instant cette cuve n’est pas pleine et donc que jusqu’ici, l’homme désir ce dont il a besoin.
De plus on a dit que le manque est la raison du désir, cela étant un fait car il devient conscient et donc lorsqu’il est conscient il devient nécessaire inconsciemment : c’est un besoin. Par contre, c’est-on ce qu’il manque ? En effet si l’on ne sait pas cela il est impossible d’y remédier et lorsque l’on s’interroge sur ce fait il aut d’autant plus faire attention à nos pulsions : différentes de nos désirs car il s’agit en fait de désirs refoulés qu’il faut savoir contrôlés si l’on veut être maitre de soi.
Tout les désirs ne doivent alors pas être réalisés. De plus, l’obtention de certains de nos désirs ne doit pas être immédiat, cela doit rester comme une sorte de rêve possible à obtenir en faisant des efforts, c’est pour cela qu’il ne doit pas être rabaissé à un besoin primaire ni trop être élevé à quelque chose d’inaccessible.
Les désirs ne sont donc pas des rêves et ne doivent pas être onfondus aux besoins, comm 2 ne sont donc pas des rêves et ne doivent pas être confondus aux besoins, comment faire la différence entre les deux ? La simple connotation linguistique permet déjà de faire une distinction car le verbe désirer ramène toujours un objet, on dit : « désirer quelque chose », selon les sujets employés il faut donc déjà faire attention aux sens que l’on donne à ces objets car certains sont des besoins mais dautres doivent rester des désirs.
A l’inverse si le désir est rabaissé aux besoins alors cela crée un contresens en disant que l’homme à besoin de ésirer et alors que tout ce dont ont désirs, on en a besoin, donc on chercherais ay arriver et on y arriverais or une fois la fameuse cuve des besoins pleines, il n’y aurait pas de dépassement car l’on ne peut pas la remplir plus que son bord tout comme les besoins nous le rappelle.
Rappelons que les besoins ce caractérisent sous différents critères : il y à les besoins alimentaires, nécessaire notre survie et notre existence, les besoins sexuels dans le domaine du maintient d’une espèce et par conséquent cela est différent des désirs sexuels qu’il faut contrôlés, d’ailleurs e contrôle de nos pulsions est là notre trait distinctif avec les animaux, et par cela on montre que la maîtrise permet d 3 pulsions est là notre trait permet de ne pas dépasser nos désirs et nos besoins et qu’ainsi le manque et la nécessité ne sont pas des effets mécanique car avec des efforces le contrôle de soit on peut y renoncer tout en restant en vie. Lorsque l’on étudie la notion du besoin, on se rend compte que le manque est sa raison absolu or cette dernière est équivalente pour la notion de raison mais parle-t-on du même manque ?