MPS 2nde

La vision des animaux : Problématique : quelles sont les différents types de visions chez les animaux ? Introduction : La vue n’est pas la même selon l’espèce, en particulier selon leurs milieu de vie donc plusieurs visions existent. Grâce à l’œil, on peut analyser la lumière pour ensuite prendre connaissance et intégrer l’image de notre environnement. Comment l’œil fonctionne ? Pour voir un objet, l’ renvoie.

Ily a deux c pour l’œil simple (hu in p g lumière : s’il sombre, que plus de lumière neux qu’un objet se passer la s’agrandir pour ire, s’ilya trop de umière, la pupille va se contracter pour limiter le passage des rayons lumineux. Pour l’œil composé (insectes etc. ) : il y a une perception de la lumière toujours régulière mais la vue de l’environnement est differente. Les Insectes ont des ommatidies.

Les différents yeux du moins complexe au plus complexe -cellules photosensibles (pour voir l’intensité lumineuse) : pluricellulaires Invertébrés, unicellulaires -ocelle ou œil simple : lombrics et invertébrés inferieures poissons abyssaux 1) La « vision nocturne » : Les animaux sensibles aux faibles intensités lumineuses sont des nimaux nocturnes qui ont besoin de détecter leurs proies ou leurs prédateurs. Ces animaux peuvent également être actifs le jour.

Chez le hibou, le rapport entre le diamètre de la pupille et la longueur focale de l’œil est plus grand que chez l’homme, de sorte que l’éclairement de la rétine est plus élevé. Les longs bâtonnets du hibou peuvent absorber une plus grande quantité de lumière que les bâtonnets humains. De même, le seuil visuel absolu du chat a été mesuré, et les résultats indiquent que la sensibilité moyenne du chat est environ 6 à 7 fois plus grande que celle de l’homme.

Fonctionnement de l’œil des animaux nocturnes : es yeux des animaux nocturnes sont plus grands et donc plus sensibles a la lumière, ils sont constitués de beaucoup de batonnets et peu de cones ce qui leur permet d’être tres sensibles a la lumière. Cependant, ils distinguent mal les couleurs. Les animaux nocturnes ont une membrane réfléchissante derrier la retine qui permet d’intensifier et de réfléchir la lumiere perçue.

C’est pour cela que les yeux des animaux nocturnes (comme les chats) brillent la nuit. Les yeux nocturnes doivent cependant se proteger de lumieres rop intenses car elle peuvent endomager leur retine. Pour cela, leur iris se retracte et diminue l’intensité lu 2 OF s peuvent endomager leur retine. Pour cela, et diminue l’intensité lumineuse. C’est pour des chats par exemple ne sont constituees pendant la journee. ) La perception des couleurs : leur iris se retracte cela que les yeux que d’une fent La vision colorée chez les animaux peut leur permettre de • se nourrir (comme pour les serpents : infrarouge) se protéger (comme avec l’exemple du champignon « amanite tue mouche » qui grâce à sa couleur rouge et ses tâches blanches ?vite a certains animaux de le manger) se reproduire (comme chez les papillons qui perçoivent probablement une gamme de couleur beaucoup plus vaste que tout autre animal) Les couleurs jouent un rôle capital dans leur existence ; elles leurs servent à trouver les plantes nourricières et à reconnaitre leur partenaire sexuel. Donc, la vision colorée chez les animaux joue un rôle capitale dans leur survie. La perception des couleurs est liée à la présence dans la rétine de cônes sensibles au bleu, au vert et au rouge.

L’homme est certainement l’un des mammifère qui perçoit le ieux les nuances de couleurs ; il peut détecter en moyenne 1700 couleurs et 300 nuances de gris. La vision du chimpanzé se rapproche étroitement de celle de l’homme. Le nombre de pigments d 3 DE s pigment, celui-ci ne peut percevoir que du gris. -La vision colorée des animaux n’existe que chez les animaux qui possèdent au moins deux pigments. -Avec trois pigments, comme l’homme, l’animal accède à une vision réellement en couleur. Mais le nombre de pigments n’est pas limité à trois. On en compte : 4 pour une trentaine d’espèce d’oiseaux, 5 pour certains papillons et jusqu’à 30 pour la raie anta. L’ultraviolet L’homme ne perçoit pas l’ultraviolet.

Ses fréquences sont filtrées par la cornée et la rétine. En revanche, certains animaux l’intègrent à la vision. Cest la cas de la langouste, les abeilles, le poisson rouge et la truite, la tortue,le gecko, l’hirondelle et le pgeon. ‘infrarouge Les rayons infrarouges sont invisibles mais certains serpents peuvent les « capter » a l’aide de fossettes labiales qui leur permettent de « voir » la chaleur emise par leur proies avec une tres grande precision. 1) La perception du relief et du mouvement La perception du mouvement : Cette perception est indispensable pour l’animal aussi bien pour etre attentif au monde qui l’entoure que pour chasser.

Elle dépend essentiellement de deux facteurs – le nombre de photorecepteurs présents dans la retine : Quand ils ne sont pas nombreux une image doit traverser une longue distance avant d’exciter les elements sensoriels car la portion de rétine correspondant ? re du nerf optique est 4 DE s car la portion de rétine correspondant à une seule fibre du nerf optique est grande – Le temps de la vision : une fois qu’un element retirmen a été timule il ne peu pas reagir rapidement a un nouveau stimulus. La perception de l’espace La perception de l’espace est constitiuee de deux points : La perception bidimensionnelle : la position de l’objet et sa distance bidimensionnelle La perception tridimensionnelle : la profondeur Dans la vision dans l’espace interviennent : 1. -Le champ visuel monoculaire varie peu chez les vertébrés. Sa valeur moyenne est de 1700. Le champ visuel binoculaire dépend essentiellement de la position des yeux : la position frontale élargit la VISIOn binoculaire, la position latérale la restreint. ) Conclusion Il existe des animaux capables de percevoir des radiations lumineuses invisibles aux humains d’autres qui « voient » dans le noir, certains ont un champ visuel de 3600. Certains perçoivent mieux le mouvement, d’autres les couleurs. Certains voient le monde comme une sorte de mosaïque qui se déplace « au ralenti Y. Pour conclure, il y a autant de façons de voir le monde qu’il existe d’espèces, mais on peut les diviser en plusieurs groupes, en fonction de leur type d’œil, de leur capacité a percevoir les couleurs, de l’étendue de leur champ visuel, etc. S OF s