Moliere

essay A

A ) un bourgeois Nous apprenons qu’Arnolphe fait partie de la bourgeoisie. Son appartenance sociale est d’emblée donnée. – « Je me vois assez riche… choisir une moitié qui tienne tout de moi » (vers 125-126) 3) Un personnage machiste : un complexe de supériorité Derrière sa fausse philanthropie, Arnolphe se montre très rétrograde et machiste quant à sa façon de considérer l’éducation des femmes.

Il se qu les autres ainsi que I c’est un personnage Il a un caractère auto femme comme en tout » p g mme tourné vers et 132, mais en fait vers 124 : « en Il considère la femme comme un être inférieur et en matière ‘éducation la préfère inculte et incapable de se remettre en question pour la garder soumise et dépendante : « une femme qui tienne tout de moi » – non éduquée, « idiote » Il faut donc qu’elle soit coupée du monde extérieur, « je l’ai mise ? l’écart » : de manière à garder toujours une main mise sur elle.

Sv. ‘ipe to De son point de vue sur cette question, nous pouvons déduire que nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme. Il ) Remise en question des valeurs d’Arnolphe Le lecteur a du mal a ressentir de l’amitié pour ce personnage grotesquement en proie à son complexe de supériorité. II en devient ridicule. Son obsession de dominer traduit de manière très violente son manque d’assurance en lui. Il craint que tout ne lui échappe. Il frise la folie.

La question de la moralité et de ses actes se pose A ) Une autorité déplacée L’autorité du personnage fait rire le spectateur mais le concerné, Arnolphe est incapable de prendre du recul par rapport à ses crises aigues de besoin de domination. Il estime pouvoir élever Agnès comme il le souhaite et finir par l’épouser. La question de la moralité est abordée seulement par le spectateur qui juge cet homme et ses abus d’autorité. B ) Un manque de lucidité à la limite de la folie Besoin maladif de contrôler et d’exercer sa puissance.

Cela lui enlève tout scrupule et toute lucidité « la rendre idiote… « , « Je l’ai mise à l’écart… » (vers 145-146) Ill) Le 2 et toute lucidité « la rendre idiote… » (vers 145-146) Ill ) Les intentions de Molière A ) Sur le plan dramatique « , « Je l’ai mise à Pécart… – Une scène d’exposition : l’intrigue est posée. Les personnages sont présentés (Arnolphe : directement, Agnès : indirectement). Nous avons en outre une attente chez le spectateur qui est impatient de découvrir la personnalité d’Agnès. B ) Sur un plan littéraire et philosophique

Nous avons une critique sociale doublée d’une dénonciation des abus de pouvoir de Ihomme sur la femme. Molière prend le parti de la femme trop souvent abusée et réduite au niveau du mariage à l’autorité absolue de son mari qui exerce de manière toute puissance ses droits sur elle. La dialectique est plus celle du maître et de la femme En savoir plus sur http://www. prepabac. org/pages/bac-de -francais/commentaires-lectures-analytiques-bac-de-francais -pages-cachees/l-ecole-des-femmes-moliere-etudes-l-l -i-5-iii-2 -iv-ô-premiere-etude-en-quoi-s-agit-il-d-une-scene-d-exposition/ #hPq3YxFf5eRTOB6y. 99 3