Metropolisation

essay A

Volonté gouvernementale : projet de réforme des électivité territoriales. Volonté de concurrencer les grandes villes allemandes. Répond à une logique de croissance économique. Mais notion encore floue + défis restent à relever 1. 1. Définition de la métropole La métropole, ou espace métropoles, désigne un pôle de concentration des activités et des hommes qui affirme son rayonnement sur un espace élargi. La mise en concurrence des territoires qu’induit la matérialisation pousse toutes les agglomérations à prendre position dans le concert des métropoles.

Aujourd’hui, 500/6 de la population mondiale est urbaine et 400 métropoles dépassent le million premier boy ailloli amputa 23, 2011 5 pages directement lié à la monopolisation. Il touche l’ensemble métropoles. Aujourd’hui, de la population mondiale d’habitants. Elles sont organisées dans une armature mondiale des métropoles, réseau de degrés divers qui assure une plus-value et une hiérarchie en termes de centralisé pour cacha chacune d’entre elles.

L’enjeu est de savoir s’inscrire dans cette armature. Les métropoles sont des « grandes villes », principalement sous ‘angle de leur potentiel souci-économique (taille du assaini d’emploi / nombre d’emplois offerts). En France, la DATA fixe la barre à 500 000 habitants, soit un bassin d’environ 200 000 emplois. Le nombre total d’emplois est un critère plus « significatif » que la population pour caractériser une métropole.

En effet, à taille démographique égale, le nombre d’emplois peut varier sensiblement d’une aire urbaine à l’autre. Par exemple, l’aire urbaine de Grenoble compte 515 000 habitants et offre 223 000 emplois (1999). Celle de Toulon compte 565 000 habitants mais n’offre « que » 181 000 emplois. La différence s’explique par les différences de structure par âge (moins d’actifs dans l’aire étalonnais) et de dynamisme économique. Les métropoles offrent un « panée important » de fonctions économiques supérieures.

Pour mesurer l’intensité du rayonnement métropolitain des aires urbaines, l’INNÉES a construit le concept « d’emplois métropolitains supérieurs » pour désigner les postes de cadres et professions intellectuelles supérieures du secteur privé dans les domaines de la culture, de la recherche, de la banque- assurance, de l’informatique, du commerce de gros, de maréchal et de gestion dans l’industrie, de l’information et des médias, des services aux entreprises, des transports, des télécommunications. ‘information et des médias, des services aux entreprises, des transports, des télécommunications. Si on ne considère que les emplois métropolitains supérieurs, les différences entre les aires urbaines sont encore plus marquantes. Ainsi, l’aire de Toulouse recense plus d’emplois métropolitains que celle d’aux-marierais (48 000 contre 46 500) alors que cette dernière offre un nombre total d’emplois nettement supérieur (538 000 entre 400 000). Grenoble dispose de 28 200 emplois métropolitains, Toulon de 8 600 seulement.

Les métropoles ont un rayonnement européen voire international qui peut notamment provenir : ? de la présence de fonctions de commandement économiques ou politiques supérieures (bretelles, genèse) ? de fonctions économiques très spécialisées (Toulouse avec l’aéronautique) ; ? du tourisme et des grands événements culturels internationaux (Côte d’Azur) ; ? des fonctions d’échanges économiques internationales au travers de grandes infrastructures (port, aéroport) et – retour – des services associés (importé/exportée, shopping, etc.. . 1. 2. Le processus de matérialisation Le processus de matérialisation se traduit par le fait ? Qu’une grande région urbaine va renforcer sa base économique par effet d’agrégation, ce qui aura des effets sur son dynamisme démographique, fonctions internationales : la métropole joue un rôle particulier dans l’économie-monde et la dynamique de globalisant des échanges.