Méthodologie de la disertation

Dans le premier sujet, avec « et », il faut donc traiter les deux arties ensembles. Dans le second sujet, avec « : », cela suppose une certaine orientation dans plan. Il faudrait donc définir l’ensemble des lieux de pouvoir. bornes chronologiques. C. Le contexte historique Le contexte historique est fondamental pour la dissertation. Et pour un contexte historique, il faut avoir de bonne connaissances sur le sujet abordé. D. Les connaissances Il faut ensuite, après l’ensemble de ce travail, écrire l’ensemble des connaissances que l’on a à l’esprit suite à la lecture du sujet.

Il faut donc se préparer et préparer son esprit et noter l’ensemble es idées qui arrivent. Seulement après cette mise par écrit, on pour hiérarchiser et organiser les données que l’on a pour dégager un plan. E. La problématique Suite à la mise par écrit, il doit se dégager une problématique qui est le reflet du sujet. II faut reste basique dans la problématique. L’ultime étape et donc l’établissement d’un plan. Il. Le plan A. Les types de plan Il existe plusieurs types de plan. Il faut alors choisir un plan organiser et non pas un plan tiroir.

Le plan thématique : p 2 le plan thématique est Cluny. Si le plan est correctement structuré, la réflexion va s’enchaîner correctement). Il faut donc ne pas hésiter à prendre une trentaine de minutes pour réfléchir au sujet, pour mobiliser les connaissances et voir ce qui se dégage de tout ça. Il faut absolument éviter une introduction beaucoup trop courte et éviter l’accroche. Une introduction d’environ 20 à 3à lignes durant laquelle il faut montrer que l’on a compris les choses et voir sur quel chemin on s’oriente durant le développement.

L’ensemble de toute la production soit être de trois à quatre cahiers. Il faut alors énoncer l’intégralité du plan et expliquer les raisons et le développement de chaque partie. Sujet 2 : « Les monastères : lieux de pouvoir » Au cours du Illéme siècle, une idée se développe et une pratique apparaît, le christianisme. On assiste alors à l’apparition d’une certaine forme de christianisme, celle de vivre seul, et qui ne repose pas sur le fait d’aller à l’église. Ce sont les ermites (ils vivent leur foi seul et isolé).

Par la suite, cette idéal va changer, ils vont vivre autrement que seul. Ils forment alors des groupes, des communautés : c’est le monachisme. Dans l’idéal, il s’agit d’une vie contemplative qul repose sur le fait que l’on vive en communauté avec les même fondements. Il se développe alors un monachisme qui suppose de vivre ensemble dans lieux commun (le monachisme à pour idéal nouveau de créer un lieux de retraites pour le groupes). Le monachisme suppose alors de vivre en communauté avec des règles de vie, des règles de monachisme et de vie communautaire.

Le monachisme s’implante lentement tout au long du IVéme et du Vérne de vie communautaire. Le monachisme s’implante lentement tout au long du IVéme et du Véme siècle. On créer des lieux de vie en communauté, les moines vivant en contemplation et en prières. (l’abbé dirige le monastères). Ce monachisme ne pose pas problèmes par rapport à la chrétienté. Cévêque de Rome (l’empereur) n’y voit pas de problème. Du moment ou se développe des lieux comme les monastères, on parle d’un clergé régulier qui est différent du clergé séculier. Le monachisme c’est s’installer loin du séculier, en campagne. ) De plus, on trouve des monastères de femmes, les moignardes. Elles ont le statut de laic qui vivent en communauté selon une distinction. Il n’y a pas de monastères mixtes. En entrant dans le monastères on se sépare de ses biens. L’idée est d’une communauté cénobitique (vivent dans des cellules, en silences, on partage de prière, on mange en communauté, en silence. Cénobitique (en communauté mais seul). Ce monachisme donne lieux aux monastères deviennent des enjeux de pouvoir. Qui fondent les monastères ? ens riches : l’aristocratie (crise de pouvoir, crise d’argent), ils vont réer des monastères sur leur seigneurie et donner des terres pour que les terres soient cultivées ar les moines. Ce type de fondation apporte du pres le fondatrice. 4 saints.. Relique culte des saints attire les gens ces saints font des miracles, avec des pèlerinages, . enjeux politique certains de Ça veut dire que ces monastères sont créés par des monastères. Ily a un enrichissement du monastères, il y a cette aspect. La famille fondatrice à autorité sur le monastères.

Donc une place de la famille corroboré par une pratique sacrale. Rédaction d’une vie e saint fondateurs. II y a un élément important de pouvoir de la famille sur ce monastères. Ils sont richement doté, apporté par les pèlerins, les monastères participent à la christianisation des campagnes, Fondations de monastère avec un pic (voir dict) On s’éloigne de cette idéale suite a la volonté de l’église et du pouvoir royale qui veulent récupérer les monastères. II y a des convoitises de monastères, le pouvoir de la famille ayant un soucis à maintenir l’autorité.

Les carolingiens accorde le fait que certains monastères eviennent des monastères royaux. Charlemagne offre protection aux monastères, mais en contrepartie, les monastères passent sous la tutelle du pouvoir royale. La règle veut que l’abbé soit nommé pour l’aristocratie et par la suite à la mort de cet abbé, les moines doivent élire un abbé et ainsi de suite. Au Illéme siècle, le roi prend l’autorité. Il peut laisser aux moines leur autorité, il peut aussi être nommé parle roi mais n’habitera pas dans le monastères. Un pourcentage de ces revenus, sont versés à cet abbé.

II y a des enjeux politique, économique, . nt des terres (ventes sur les marchés, Normalement, lorsque l’on fait du commerce, on doit verser un pourcentage qui va au roi. Toute S Normalement, lorsque l’on fait du commerce, on doit verser un pourcentage qui va au roi. Toutefois leur accorde un privilége de ne pas payer cette taxe. Il touche 100% des bénéfices. Ily a donc un enjeux importants de ce monastères. Enjeux de pouvoir économique troisième Ces monastères développent une activité de troisième catégorie, un enjeux culturel Du fait qu’ils ont a prier et à lire, les monastères doivent avoir es ouvrages.

Chaque monastères développe son scriptorium monastique, on transcrit, copie, des livres liturgique. On se prêtes les ouvrages et on les copies. Ca correspond à la diffusion des écritures manuscrites de l’époque sans compter l’ensemble des écrit de gestion comme les comptes. Certain monastères sont reconnus comme lieux pour leur bibliothèque (Saint gale, Aspect : scolarisation et de l’alphabétisation. Les monastères créés des écoles pour former des futurs moines, des Oblats. On place les enfants et suivent une alphabétisation dans ces écoles.