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La France en manque de logement construit petit à petit des cités modernes (pour l’époque) avec des appartements avec un confort relativement correct (salle de bain, ascenseur, parking). Les travailleurs vivant dans ces cités sont d’origine française (beaucoup de nouveaux citadins) et étrangère (immigration des colonies). Petit à petit, les crises économiques plombent le budget de VÉtat baisser les prix des loyers, des appartements. Les personnes les plus défavorisées (anciens immigrants qui n’ont plus econstruire la France, ouvriers licenciés, anciens paysans qui n’ont pas pu suivre l’agriculture intensive, etc. viennent peupler et agrandir ces cités (construction de logements sociaux supplémentaires). Suite à cela, depuis une trentaine d’années, nous sommes entrés dans un cercle vicieux, dû principalement au racisme (pas du racisme primaire, mais des préjugés et des peurs face à une population jugée différente). Ce cercle vicieux est très complexe, j’ai essayé de le schématiser à travers le schéma de cause à effet ci-dessous (accessible en lien également à la fin de l’article).
Ce racisme n’est pas un racisme franc ou primaire, dans la plupart des cas les Français ont tout simplement des préjugés ou des « peurs de l’autre » envers les personnes d’origine maghrébine ou envers la religion musulmane. Lhomme a peur et rejette naturellement les hommes différents de lui, et ceci depuis l’aube de Phumanité. La société a amélioré les choses en enseignant tolérance et ouverture sur le monde. Malheureusement, les différences culturelles et sociales grandissantes, entre les habitants des cités et le reste de la population, entraîne un racisme croissant des deux côtés.
Les principales causes La situation sociale des cités. La ghettoïsation des cités. La discrimination d’une partie des habi 2 situation sociale des cités. La discrimination d’une partie des habitants de ces cités par une partie du reste de la population française. La montée des partis nationalistes, racistes et xénophobes. Le désespoir des jeunes face à leur avenir. Les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises sont des violences urbaines qui ont commencé à Clichy-sous- Bois le27 octobre 2005 puis se sont répandues à travers la France dans un grand nombre de banlieues, fortement ouchées par le chômage et l’insécurité.
L’état d’urgence a été déclaré le 8 novembre 2005, puis prolongé pour une durée de trois semaines consécutives. Au 17 novembre, la police déclare être revenue en situation normale mais des inquiétudes persistent. Quatre objectifs ont principalement été visés durant ces événements : les forces de l’ordre, les transports publics (bus, aubettes, etc), leszones franches (zones industrielles ou commerciales censées embaucher prioritairement dans les habitants des quartiers dits populaires), ainsi que les représentants de l’Éducation nationale.
Dans certains cas, ces événements se sont transformés en émeutes opposant plusieurs centaines de jeunes issus de l’immigrationl, très majoritairement de nationalité française2 qui n’ont pas hésité à manier le cocktail Molotov, dans maintes villes de France surtout dans des quartiers de banlieues dits « sensibles » ou « difficiles » contre les f 3 France surtout dans des quartiers de banlieues dits « sensibles » ou « difficiles » contre les forces de police, avec parfois des tirs balles réelles contre les policiers vilipendés, notamment à Clichy ous-Bois ainsi qu’à Grigny.
Au total, on dénombre plus de IO 000 véhicules incendiés2, des bâtiments publics de première nécessité calcinés, des écoles vandalisées, souvent des écoles maternelles, ou des Maisons associatives pillées, des passagers d’autobus menacés de mort. Ces trois semaines de violence urbaine restent les plus importantes agitations en France depuis mai 1968. Derrière ce phénomène d’ampleur nationale se cachent cependant des réalités locales très diverses. Ainsi, au bout de cinq jours, seules sept communes étaient embrasées[réf. nécessaire], outes en Île-de-France.