Marx- plus value

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En septembre 1844 à Paris, mari revoit fraîche engagés qu’il n’avait fait que croiser auparavant; c’est le début d’une profonde amitié. Au printemps 1847, mari et engagés rejoignent un groupe politique clandestin, la « Ligue des Communistes ». Ils y prennent une place prépondérante lors de son second congrès à longées en novembre 1847. À cette occasion, on leur demande de rédiger le Manifeste de la Ligue, connu sous le nom de Manifeste du Parti communiste, qui paraît en février 1848. 11 est alors considéré comme dangereux au sein de la société et est expulsé par le gouvernement parisien.

Il part se réfugier à Paris où il y sera aussi pourchassé. AI se rend à longées et y reste jusqu’ la fin de sa vie. La vie de mari en exil est extraordinairement difficile comme en témoigne sa correspondance. Malgré l’aide financière d’engagés, lui et sa famille doivent faire face à une extrême misère : « Ma femme est malade, la petite jeune est malade, lien a une sorte de fièvre nerveuse. Je ne peux et je ne pouvais appeler le médecin, faute d’argent pour es médicaments. Nerveuse.

Je ne peux et je ne pouvais appeler le médecin, faute d’argent pour les médicaments. Depuis huit jours, je nourris la famille avec du pain et des pommes de terre, mais je me demande si je pourrais encore me les procurer aujourd’hui ». En 1867 mari publie, après plus de 20 ans de travail, la première partie de son ouvrage Le Capital. Il continue son travail pour achever les deux tomes suivants mais, malade et manquant de temps, il ne laissera que des brouillons inachevés. La plus-value est le concept centrale de mari (parfois appelé « surévaluer »).

Elle se définit comme la différence entre la valeur créée par l’emploi de la force de travail et la valeur de cette force de travail, c’est-à-dire la valeur produite par l’ensemble des travailleurs, dans le mode de production capitaliste, pendant le temps de survivrait, effectue au-delà du travail nécessaire à la production et l’entretien de la force du travail. Le survivrait est donc du travail non payé accaparé par le détenteur des moyens de production sous forme de temps de travail et de produit.

Pour être plus compréhensif, mari pense que le prix du travail est fixé sur le marché de façon à ce qu’il permette aux ouvriers juste de renouveler leur force de travail. Si le patron est capable de payer des salaires élevés et que parallèlement cette force de travail lui permet de faire des profits très importants, alors cela revient à dire que e tarot capitaliste s’enrichi grâce au travail des salariés sans les payer à la revient à dire que le patron capitaliste s’enrichi grâce au travail des salariés sans les payer à la hauteur des richesses qu’ils ont contribué à produire.

C’est cette valeur qui est extorquée au travailleur qui est à l’origine de la plus-value des profits et qui permet à mari de démontrer l’exploitation du prolétariat par la bourgeoisie. Cette plus- value est partagée entre le propriétaire foncier, sous forme de rente, le capitaliste financier, sous forme de d’intérêt et le capitaliste industriel sous forme de profit. La plus-value entraînerait donc une inégalité entre le travailleur et l’employeur. L’inégalité est une conséquence de la différence.

La différence devient une inégalité houillères se traduit en termes d’avantage ou de désavantage pour accéder à un certain type de ressources. Il y à donc un sentiment d’injustice dans les inégalités. « Si chacun était identique aux autres, il ne pourraient exister d’inégalité », rappelle lois chauves. Toutefois, certaines différences ne suffisent pas à faire une inégalité. Pour qu’elles le deviennent, il faut qu’elles se traduisent par un accès inégal entre des individus différents, en raison de leur différence, certaines ressources rares et valorisées.

Par exemple, un homme et une femme sont différents du point de vu du sexe mais ils sont également inégaux face au marché du travail (une femme qui à un poste de travail équivalent celui d’un homme, perçoit généralement un revenu inférieur à celui-ci). Le sujet mène a se Le sujet mène a se demander par quel biais la plus-value engendre-t-elle l’inégalité? Pourquoi l’inégalité est elle la question central de toute société ?

Pour répondre aux différentes questions posées nous porterons, dans un premier temps, une analyse économique du sujet, puis, dans un deuxième temps, nous verrons quelles en sont les problèmes philosophiques. Pour comprendre et pouvoir répondre, d’un point de vue philosophique, au sujet donné, nous devons tout d’abord restituer certaines connaissances économiques sur e sujet. Pour commencer, intéressons nous donc à l’origine de la théorie de la plus-value. mari s’est appuyé sur les théories de dévia richard et d’édam smash pour expliquer l’économie politique de son temps.

Cependant, il se démarque d’eux en affirmant que es catégories économiques (valeur, prix, salaire, profit, capital) et les lois économiques qui commandent la valeur, la répartition des revenus, la croissance ou les crises, ont un caractère historique. Pour lui, la production capitaliste émane de lois économiques, qui sont des lois historiques propres à la forme spécifique d’organisation sociale. La production marchande et la production capitaliste- qui donne le statut de marchandise à la force de travail- sont, pour mari, des formes historiques de production. Archanges à la force de travail- sont, pour mari, des formes historiques de production. L’économie politique de mari se donne pour tache de comprendre la nature et le fonctionnement contradictoire du système capitaliste. Kart mari parle du système capitaliste comme d’un système d’exploitation en ce sens où, si ce qui est produit ne revient qu’en partie à celui qui le produit, il ha alors exploitation de l’individu. Ainsi définie, l’exploitation existe dans d’autres formes de société que dans la société capitaliste.

L’esclave et le paysan dans la société féodale, étaient exploités. La nature du système capitaliste est donc définie par la forme particulière qu’ recouvre l’exploitation. Pour dévoiler cette exploitation, mari procède en deux temps : il expose d’abord, à partir de la théorie de la valeur travail de smash et richard, sa propre théorie de la valeur. Puis, il présente sa théorie de la plus- value, qui est précisément, pour lui, l’analyse de la forme spécifique d’exploitation que subissent les travailleurs dans la société capitaliste.

La théorie de la valeur travail consiste à dire que la marchandise a une valeur d’usage et une valeur d’échange. mari parle alors de travaux concret, c’est-à-dire des travaux spécifique à la production de chaque valeur d’usage. En effet chaque produit a sa forme de production propre. La marchandise sert à satisfaire un besoin c’est pour cela qu’on dit qu’elle a une valeur d’usage. Cette valeur d’usage est, no valeur d’usage est, nous dit mari, le soutient matériel de la valeur d’échange. C’est-à-dire qu’elle est primordiale l’existence de la valeur d’échange.

Si un produit n’est d’aucune utilité pour personne, il ne sera pas vendu et n’aura donc pas de valeur d’échange. A partir de cette analyse mari en vient à présenter la conception théorique qu’il a de la monnaie : pour lui elle est une forme de valeur et non une marchandise métal. Elle sert « d’équivalent général » c’est-à-dire qu’elle exprime la valeur de la marchandise qui doit être échangé. Cette théorie va entraînée le concept de plus-value. La plus-value vient du principe de la circulation du capital.

En voici un schéma descriptif ? impôt Supposons qu’un capitaliste industriel possède l’argent A. AI achète des marchandises M, et plus précisément des moyens de production impôt (machines) et de la force de travail T (ouvriers). AI les achète a leur valeur et les utilise dans le processus de production P, d’où sortent d’autres marchandises M’ qui ont une valeur supérieur à M, la afférente (M’ – M) étant la plus-value. Ces marchandises sont vendues à leur valeur A’, supérieure à A, la différence (A’ – A) étant la même que celle qui existe entre M’ et M.

La plus-value naît donc dans le processus de production que celle qui existe entre M’ et M. Car, dit mari, il existe sur le marché une marchandise qui est seule capable de créer plus de valeur qu’elle n’en a : la force de travail. La force de travail des travailleurs se définie comme l’ensemble des facultés physiques et intellectuelles dont ils disposent et qu’ils voient mettre en ouvre pour produire. La force de travail, selon mari, est une marchandise vendue par le travailleur et acheté par le capitaliste. Puisque c’est une marchandise, elle a une valeur et un prix.

La valeur de la force de travail est déterminée par a quantité de travail nécessaire pour entretenir la force de travail (nourriture, vêtements, logement) et pour la reproduire. Le salaire est l’expression monétaire de la force de travail, il est son prix. Nous savons maintenant comment se détermine, pour mari, la valeur de la force de travail. Cette valeur est donc achetée par un industriel et devient un moyen de production. C’est la qu’elle crée la plus-value. Sans force de travail il n’ aurait pas eu de plus-value.

En résumé, supposons qu’un travailleur n’ait besoin que de quatre heures de travail pour renouveler sa force de travail, ajoutons à ces heures de travail une heure en plus qui correspond à des biens d’équipements et à des matières première que le travailleur utilise pendant sa journée de travail. Le capitaliste a donc acheté ces facteurs de production pour un coût de cinq h de production pour un coût de cinq heures de travail, ces dernières correspondants également à la valeur des marchandises produites. Aucune plus-value n’est crée à ce stade.

Mais si le capitaliste fait travailler l’ouvrier quatre heures de plus, la valeur des marchandises produites sera alors égale à huit heures de travail (valeur de la force de travail et quatre heures supplémentaires), qui sont précisément la plus-value créée par la force de travail dans le processus de production. Mais Kart mari n’en reste pas la, il va montrer par cette théorie, les conséquences que la plus-value a sur l’économie et la société. Dans ce processus d’achat et d’utilisation de la force de travail, les travailleurs ne sont pas volés, mais exploités.

Ils ne sont pas volés, car la force de travail est achetée à sa valeur, sauf si l’ouvrier est payé à un salaire inférieur à la valeur de sa force de travail. Kart mari explique que dans le processus de production la force de travail créée une valeur supplémentaire que la capitaliste s’approprie gratuitement.