Machine

essay B

Au fils du temps, les peaux furent remplacées par des tricots de laine, les poinçons par des aiguilles métalliques, et on a apprit à filer et à tisser des fibres végétales. La couture s’est sans cesse perfectionnée, mais jusqu’ sexe siècle, les vêtements étaient toujours cousus à la main. Il s’agissait d’un travail fastidieux, pénible et ennuyeux. L’idée d’une machine pour remplacer cette tâche est née dès le début du siècle des Lumières. Ainsi l’histoire de cette machine remonte à plus de deux siècles, mais la première machine à coudre digne de ce nom ne voit le jour qu’en 1830 grâce partielles timonerie.

Quant à lui, alias houe met au point, un système de couture au point de navette, ce fut la première machine à coudre utilisable et pratique. Après les années 1850, la machine à coudre connaît un essor considérable, en particulier avec l’arrivée de Singer dans le domine. Il améliore les machines, mais surtout il les popularise. Aujourd’hui la machine à coudre ne cesse de se perfectionner mais e principe reste celui trouver il y a 150 ans. La. NAISSANCE DE LA MACHINE A COU perfectionner mais le principe reste celui trouver il y a 1 50 l.

NAISSANCE DE LA MACHINE A COUDRE, DU DÉBUT DU sexe SIÈCLE A 1830 Les tentatives de couture mécanique sont déjà anciennes, dès le milieu du suivie siècle, en 1 755, un allemand, chargés haïssaient, déposa un brevet pour une étrange machine possédant une aiguille à deux pointes, munie d’un chas central. En 1790, l’anglais thèmes Saint dépose à son tour un brevet pour une machine à coudre le cuir. Il s’agissait d’une aliéné perçant l’étoffe à travers laquelle une aiguille, percée d’un chas conduisait le fil ; l’ensemble étant actionné par une manivelle.

Quand en 1880, on essaya de construire cette machine d’après les dessins du brevet, il s’avéra que celle-ci ne pouvait fonctionner que si on effectuait de nombreuses modifications. Jusque là les machines restaient à l’état de dessin, mais au sexe siècle, les inventeurs commencèrent à construire de vrais prototypes. thèmes sténo et jambes endosserons, en 1804 ont imaginé une machine composée de deux pinces saisissant l’aiguille l’une au dessous, l’autre au dessus de l’étoffe, et la tirant alternativement en sens contraire comme pourrait le faire une main humaine.

Puis en 1807, un tailleur autrichien jouées matérialiser reprit l’idée de thèmes Saint mais il modifia l’aiguille en plaçant le chas près de la pointe. 6 ans plus tard, bilatéral crèmes, un Machine de thèmes Saint, 1790 bonnetier construit une machine à point de chaînette pour coudre les bords d Saint, 1790 bonnetier construit une machine à point de hantée pour coudre les bords de ses bonnets. En 1818, jonc dodue inventa également une machine à coudre, mais qu’il ne fit pas breveter.

Ainsi en 75 ans, de nombreux hommes se sont penchés sur la question de la couture mécanique, 6 brevets virent le jour pour des machines coudre, mais malheureusement aucune ne fonctionnait réellement. Certaines machines avaient un rendement inférieur à celui d’un ouvrier, d’autres ne cousaient que sur de très courtes distances… C’est après quatre ans de recherches qu’un tailleur français, partielles timonerie, mit au point en 1829 la remédier machine à coudre réellement utilisable.

Elle n’était pas parfaite, loin de là, mais elle était en effet capable de coudre sans les inconvénients des machines précédemment construite. Pour faire valoir son invention, il s’associa et signa un contrat avec Auguste ferrade, qui devait se charger de faire les dessins et la demande de brevet de la machine à coudre. Avec ce contrat, ferrade s’attribuait la coopteraient de l’invention. Le brevet fut délivré le 17 Juillet 1830 pour la « cousues ».

Pour les gens de l’époque, il était inimaginable droite, l’ouvrière transperçait le tissu, enroulait autour du rocher un fil tendu dans la main gauche et ramenait ce fil au dessus du tissu, et ainsi de suite. L’aiguille ne traverse donc jamais le tissu en entier, il est alors possible de fixer solidement l’extrémité supérieure du crochet à une mâcha entier, il est alors possible de fixer solidement l’extrémité supérieure du crochet à une machine. Le point parfait était alors trouvé pour timonerie, il restait à construire la machine.

Après de nombreux essais, timonerie mis au point un modèle plutôt rudimentaire. Celui ci était composé de pièces toutes inconnues jusquiames, elles étaient pour la plupart en en bois, et quelques unes en cuivre. Pour faire fonctionner cette machine à coudre, il fallait appuyer sur la pédale, chaque coup entraînait une bielle qui faisait descendre l’aiguille, celle ci traversait les deux tissus et s’enroulait autour du fil puis remontait grâce à un ressort, ce qui formait un point et assemblait les deux tissus.

partielles timonerie a donc réussit à associer mécaniquement, sous une même commande, trois mouvements successifs et précis. C’est par contre avec les mains qu’il fallait faire avancer le tissu et le maintenir pour exécuter le point suivant. Une certaine dextérité était absolument nécessaire pour obtenir des points réguliers. Le brevet de cette «cousues» spécifiait également qu’il fallait mettre de la cire sur la couture afin qu’elle soit plus résistante, car le problème majeure était en effet la solidité du point de chaînette. Il suffit de tirer sur un fil, pour que l’intégralité de la couture se détache.

Les Anglais ayant eu la machine entre les mains, ont essayé de résoudre ce problème. On retrouvait ainsi des coutures au point de chaînette avec des nouds tous les 8 ou AI points. Osseuse de timonerie qu’une machine puisse accomplir une opération si délicate et compliquée que la couture. En effet, timonerie avait bien compris que fabriquer une machine à coudre qui imite le geste manuel de la couture aurait été extrêmement difficile, (il s’avéra d’ailleurs que ce fut un échec lorsque thèmes sténo et jambes endosserons essayèrent enlève 804).

La solution était ailleurs, il s’agissait de trouver un point diffèrent de celui de la couture manuelle, qui serait plus facile à reproduire par une machine. C’est en observant des brodeuses, qu’il avait remarqué la simplicité t la rapidité avec laquelle ces femmes étaient parvenues reproduire un point, presque mécaniquement : le point de chaînette. Avec un crochet fixé à la main point de chaînette Les différents essais pour vendre la machine furent infructueux, en effet elle n’intéressait pas les particuliers, car trop chère et peu élégante.

timonerie est alors introduit dans le milieu parisien et c’est avec 8 commanditaires dont un certain Germain Petit, qu’ils décidèrent d’exploiter l’invention dans un atelier parisien. C’est ainsi qu’ouvrait, le 18 mai 1830 au 155 rue Sèvres, le remuer atelier de confection mécanique au monde. Grâce à des généreux investisseurs, la société acquière 80 machines à coudre, et travaille à la confection d’habits militaires, elle va coudre les uniformes des solda travaille à la confection d’habits militaires, elle va coudre les uniformes des soldats de la guerre d’algérien.

Mais le climat social n’est pas favorable, car il ha une crainte du machinisme : les ouvriers ont peur de se voir prendre la place par des machines et par la même occasion perdre leur salaire. Trop occupé par le réglage et le perfectionnement de ses machines, timonerie ne se entendait pas compte de cette jalousie qui naissait au cour des ouvriers. Le 20 janvier 1 831, une bande de 150 tailleurs attaqua et détruisit l’atelier en prof- ferait également des menaces contre l’inventeur. Après cet épisode timonerie retourna dans son village, et repris son métier de tailleur d’habits.

Ce n’est pas pour autant qu’il abandonna ses idées, il continua à améliorer sa machine, qu’il considérait « imparfaite, trop coûteuse, trop lente et qui se dérègle facilement». Toujours en quête de perfectionnement, timonerie déposa en 1845 un deuxième brevet pour «un métier à coudre» ; et un héroïsme en 1847 pour un «cousu-brodeur». Ce nouveau modèle n’était plus en bois mais métallique, il était capable de piquer 300 points par minute et pouvait à la fois coudre, broder et faire des cordons.

Alors que certains commençaient à reconnaître le génie de timonerie, la critique, elle se faisait toujours très présente. Pourtant cette machine représentait «l’amélioration et l’anoblissement de la condition de la femme dans la classe des travailleurs». De plus, elle permettrait le développement condition de la femme dans la classe des travailleurs». De lus, elle permettrait le développement l’industrie de l’habillement, donc bien loin de diminuer le travail des ouvriers, elle en ajouterait.

C’est en 1844, qu’alias houe pas moins un problème majeur, comme nous fit breveter une machine très similaire à celle l’avions précédemment expliqué le point de de huant. Sa machine à coudre pouvait affichaient est une couture qui se défait très fauter le travail le travail de 4 à 6 couturières. Cillement, dès que l’on tire sur le fil. Alter huant Pour convaincre de l’intérêt de sa machine, il utilisa un nouveau procédé, en 1834, il fabriqua en fait la démonstration dans un grand atelier la première échine qui utilise le principe de de couture de boisson.

Il défia les 5 ouvrières les la navette, c’est un point de plus rapides de l’atelier d’exécuteur exécuté au moyen citer une couture en même de deux fils bien distincts, temps que lui. houe termina celui amené par l’aigu même de deux fils bien distincts, temps que lui. houe termina celui amené par l’aiguille le premier, et en plus obtenu et celui provenant de la naine couture plus nette et plus évite. La couture obtenue est solide. Malgré cette démantelons beaucoup plus solide traction, l’homme ne parvient que le point de chaînette, et pas à commercialiser a masse révélé donc plus intéressante. La se rendit en engageant. Alter huant révolutionna terre où il vendit ses droits pour aussi l’aiguille, en retravailler une somme de 1 250 dollars. Celle que matérialiser avait De retour aux États-Unis en fait breveter, avec un chas 1849, houe découvrit que ces du coté de la pointe, alors brevets avaient été copiés et que auparavant le chas était qu’un certain nombre de madame la tête de l’aiguille. Chinés coudre avaient été Pour le principe, c’était un machine coudre de alias houe fabriquées et étaient utilisées. Ont arrière fait à la main point de navette sciais émérite Singer, faisait parmi de ceux qui s’était inspiré d’un peu trop près de la machine coudre de houe. Un jour en regardant un mécanicien qui réparait des machines à coudre, il les trouva inefficace. L’idée est venue à sciais de les équiper d’une navette qui se déplacerait horizontalement en ligne droite, et d’une aiguille droite qui se déplacerait verticalement. On lui offrit 40 dollars pour construire un modèle qui réaliserait ses idées. Douze heures après il présenta à ses amis le schéma d’une machine.