l’opimisme en philisophie et en histoire
En philosophie Le philosophe allemand Leibniz expose en 171 0 sa Théodicée il y décrit un système philosophique célèbre fondé sur « une harmonie préétablie » pour expliquer l’existence du mal sur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part du principe de la perfection et de la bonté divine. D’après lui, rien ne peut être aussi parfait que Dieu donc le monde n’est pas parfait, or, comme Dieu est bon, le monde qu’il a créé est forcément le meilleur possible.
Cette théorie a ensuite été simplifiée et critiquée par Voltaire dans Candide13 Voltaire y invente un représenter la pensé philosophique parle « possible » souligne en la perfection du m Swip next page gloss, censé t au long du conte s possibles Le mot istes ne croient pas La critique de la conception leibnizienne par Voltaire est néanmoins sujette à des remises en cause.
En histoire[modifier I modifier le code] Lors du siècle des lumières, le paradigme de la modernité devient celui de l’optimisme ou d’une croyance en un progrès constamment possible po Swige to vie' » next page pour I’Homme dans son environnement ou dans la société ; les hilosophes de ce temps plaçaient une grande confiance dans les aptitudes de l’être humain à faire son bonheur 14.
Cette confiance est en rapport avec la notion théologique de la grâce (voir jésuitisme et jansénisme). En politique aussi le sens du mot progrès est forgé par ceux qui croient qu’une évolution sociale est vraiment possiblel 5. Au XIXe siècle, des idéologies comme le fouriérisme et le positivisme affirment que la nature humaine est améliorable en soi, et que l’on peut s’opposer à la décadence16.
Au XXe siècle, les années 1930, 1940 et 1950 sont marquées par l’antimodernisme, tandis que les années 1960 et 1970 voient revenir un nouveau vent d’optimisme, qui se rapproche de celui du début du siècle, avant qu’une critique du progrès (scientifique et technologique notamment) ne réapparaisse 17 Sur le plan religieux, l’excès d’optimisme a été combattu par Pie IX lorsque celui-ci proclame le dogme de l’Immaculée-Conception, qui donnait un sens bien particulier à la grâce et obligeait les théologiens de se rallier au magistère. 2