L’onu

essay A+

Le Conseil est compétent pour toutes les questions concernant le « maintien de la paix et de la sécurité internationales » et peut rendre obligatoires des sanctions économiques. Mais ses divisions internes réduisent son efficacité, car il est souvent paralysé par le veto des membres permanents. C. Le secrétariat : Organe administratif de l’ON, il est dirigé par le secrétaire général nommé pour 5 ans par l’assemblée générale.

Le secrétaire général veille à l’exécution des décisions, commande aux casques bleus, peut négocier d’urgence avec les parties engagées dans un conflit mais n’ que le rôle d’un « M. Bons Offices» pour le maintien de la paix. 6 secrétaires généraux se sont succédé: le Norvégien trêve Lie (1946-1952), le Suédois marrassions (1952-1961) ; le barman U tant (1962-1971) ; l’Autrichien laideur (1971-1981) ; le épervier père de acculera (1982-1991) ; l’Égyptien butors-goals (1992-1997) ; le ingénier kif Annan (depuis 1997). Et les micros États européens n’en font pas partie.

L’entrée, en 1971, de la république populaire de chiné a entraîné l’exclusion de tannin (formes). ? Dans les années 1950, l’assemblée générale est restée dominée par une majorité prof États Unis de pays européens et latins-américains, mais l’arrivée des nouveaux états « décoloniser », dans les années 1 960, inné la majorité aux pays du Tiers-monde (rassemblés dans le « groupe des 77 ») qui lancent des attaques contre I’ « impérialisme », le « néocolonialisme », les inégalités entre pays « riches » et pays « pauvres ». Depuis la fin de la guerre froide, ‘ON reste sous influence tiers-mondanités les trois derniers secrétaires généraux sont, dans l’ordre, un Sud-Américain, un Égyptien et un ingénier. B. Pendant la guerre froide, l’ON a été paralysée : ? Par ses propres faiblesses. Elle n’ jamais eu d’armée internationale permanente qui aurait pu prévenir le éclatement de conflits ou de guerres civiles (en affaire notamment). Les sanctions économiques qu’elle a décidées n’ont pas toujours eu de résultats en raison des réticences de certains États membres. Par la rivalité entre les deux supergrands qui avaient, par simple veto au conseil de sécurité, la possibilité d’empêcher l’ON d’agir. Les conflits dans lesquels ils intervenaient à la demande d’un gouvernement « ami » étaient considérés comme des affaires intérieures qui ne regardaient pas les Nations unies: intervention des Soviétiques en hongre 1956), en tchécoslovaques (1968) en figurants (1979) ; interventions des États-Unis e en hongre (1956), en tchécoslovaques (1968) en figurants (1979) ; interventions des États-Unis en marquée centrale et dans les Caraïbes.

En 1950, les États- Unis n’ont réussi à faire voter l’intervention armée de l’ON contre la corde du Nord (dont les troupes avaient envahi la corde du Sud) qu’en profitant de l’absence du représentant de l’OURS au conseil de sécurité. Dans ces conditions, seuls les conflits peu importants et dans lesquels les deux grands ‘étaient pas directement impliqués avaient des chances d’être réglés. ? Par l’abus du droit de veto des cinq membres permanents.