Loi

essay A

Dissertation #2 sur la neutralité religieuse Point OLa valeur suprême de tout Individu est le bonheur. De ce fait, ce point assure que le port de tout signe ne faisant pas preuve de neutralité religieuse va à l’encontre de ce bonheur universel, car la volonté qu’a une personne à porter de tels symboles provient de désirs dictés par le groupe religieux auquel il appartient et non de ses propres désirs. La liberté de ses mêmes individus se voit donc brimer.

Toutefois, une personne ayant un désir bien à elle de porter un ou plusieurs signes religieux se retrouvera alors dans une société qui impose ussi des désirs aux individus (celui de ne pas porter de signes). Encore une fois ici, la liberté des personnes ayant ces désirs est malmenée par le les conséquences qui à caractères religieux ur,e nous constatons qu’a commodité, à la joie, OF4 next page pose. En évaluant ces symboles nt pour l’État, au bien-être, à la r du groupe ou de toutes personnes « affectées » par l’action.

De plus, une société se doit d’être apte à accepter la diversité des désirs de chaque membre qui en fait partie pour être considérée saine alors que e point dans le projet de loi réduit le nombre de définitions du bonheur et de façons d’être heureux. En somme, cette règle n’est pas soucieuse des morales naturelles qui consistent à laisser ? chacun et chacune la liberté de réaliser ShAipe to Wew next page ses propres désirs, aussi minimes qu’ils soient, tant qu’ils ne nuisent pas aux autres.

Point #2 Cl Il est important de rappeler que le port du tchador, du niqab ou de la burka, selon les vraies coutumes de la religion musulmane, dépend seulement du choix de la femme concernée et de personne d’autre. Le port de ces vêtements à caractères religieux ne peut donc pas être considéré comme un symbole de l’oppression des hommes envers les femmes, puisqu’il découle directement d’un choix et, par le même fait, d’un désir. Pour cette raison, ce point de la loi n’est aucunement fondé sur un fait objectivement vrai (celui que les hommes obligent les femmes ? porter ces signes), le rendant injuste.

Il s’agit ici que d’une autre façon de s’habiller qui ne nuit pas aux autres, mais qui suscite seulement des opinions différentes sur les valeurs derrière les raisons de porter un tel costume. Une femme musulmane au Québec se retrouve avec la même liberté de conditions et de choix qu’une femme athée ou chrétienne en ce qui concerne l’adoption ou non du type de vêtements qu’elle portera et, dans ce cas, une musulmane devrait aussi être à l’aise de se reconnaître dans ce mode de vie si tel est son désir propre. Cobligation qu’impose cette règle atteint malheureusement la limite à la liberté, car elle nuit aux désirs d’autrui !

L’interdiction du port du tchador, de la burka ou du niqab implique que la femme devra non seulement se défaire de ces vêtements, mais aussi es valeurs auxquelles elle a adhéré et qui y sont intimement rattachées. En bref, ce point de la loi ne t 2 valeurs auxquelles elle a adhéré et qui y sont intimement rattachées. En bref, ce point de la loi ne tient pas compte de ce qui est objectivement vrai et, ironiquement, dicte les règles de conduite à adopter alors qu’elle essaie de radier ceux de la religion musulmane. oint La polygamie est pratiquée partout autour du globe et fait partie de plusieurs cultures religieuses. L’homme ou la femme ayant plusieurs conjoints, dans tous les cas, se doit de mettre au ourant ses autres partenaires et seul un accord commun permet la polyandrie (femme ayant plusieurs hommes) ou la polygynie (homme ayant plusieurs femmes) selon la circonstance. Ce point de la loi, encore une fois, empêche une pratique religieuse qui a pour but initial de venir en aide aux veuves et aux orphelins en plus de pouvoir réduire le taux d’infidélité dans la société.

Tant que ce désir ne nuit à aucun parti, soit à l’homme et à la femme, et ne pose pas de problèmes au niveau de l’éducation des enfants, tous devraient être libres d’adopter ce genre de pratique. L’amour est multiplication, contrairement au divorce, thème encore plus problématique, et ceux qui se connaissent assez pour aimer plusieurs personnes à la fois ne font que satisfaire la première condition à la liberté. L’État passe un message clair : se marier plusieurs fois est mal, un propos subjectif qui oblige l’individu à la monogamie, même si ce n’est pas son désir.

En conclusion, le projet de loi présenté par Madame Fatima Houda-Pepin va à l’encontre de la morale naturelle en éradiquant les sentiments sociaux qui 3 les sentiments sociaux qui encouragent la reconnaissance des ersonnes religieuses comme des êtres ayant leurs propres désirs. Ainsi, l’État présente ici une justice légale bonne pour les naifs et qui ne prend pas au sérieux ce qui est objectivement vrai, tout en formant une limite à Phumain bien réalisé. ne justice idéale consisterait de lois qui conformeraient tout le monde ? l’idée de développer le plein potentiel de l’humanité et d’assurer une diversité des modes de vie pour être heureux. Cependant, comme ce texte tente de le démontrer, au moins 3 des 6 points présentés dans cette loi sur la « neutralité religieuse » ne sont as propices au développement de l’humain, car ils forment un obstacle aux désirs Individuels des personnes en question et laissent place à des opinions closes qui, à leur tour, mal mènent l’objectivité (un cercle très vicieux).

Une société ne peut dicter le contenu du bonheur de ses citoyens et, dès lors, ne peut les empêcher d’accéder à leurs envies. La loi no. 491 est donc injuste. Nombre de mots : 943 Dissertation numéro 2 : Loi sur la neutralité relieie 4 t la lutte contre Loi sur la neutralité relieieuse de l’État et la lutte contre