L’étranger
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Registre tragique normalement nous utilisons traditionnellement une registre epique. Et introduit la conséquence prise de conscience changement d’hâtes (théâtre de rideau) la porte du malheur : la prison / l’enfer. Elément dintroduction : coup . nouveau levé Né à Alger en 1913 dans un milieu modeste. Albert camus connait la pauvreté et la guerre et la maladie. Sil n’a pas pris part à cette guerre en 39, son métier de journaliste a permis d’y participer indirectement. Les prises de consciences provoquées par ses expériences le conduisent à élaborer une doctrine personnelle ui va définir dans le l’absurde).
Cextrait d première partie et co ite, , Swipe ta View nextp g s’agit du meurtre de sa condamnation. La 42 (philosophie de Itue à la fin de la bascule du roman. Il era son jugement et nche et il retourne seul sur la plage après la dispute et rencontre l’un des deux arabes. Nous envisagerons donc comment le passage exprime-t il le sentiment de l’absurde I- Scène dramatique 1- Le train en marche Le passage présente u Swige to next page une progression dramatique qui semble lié à la progression du personnage. Meursault revient sur cette plage parce qu’il voulait e désaltérer.
Dans un premier temps, il s’immobilise quand il voit l’arabe et progresse vers lui sans qu’il soit de changement. Caction du personnage est mise en évidence avec des répétitions de la même idée avec la gravité de l’action. Rythme binaire qui souligne l’accélération de l’action. 2- Une progression liée au hasard Il semble de surpris de voir Parabe et qui devient son adversaire par hasard. L’arabe semble inoffensif, « reposer…. » Structure en 4 partie qui peut faire penser « au demeure du val » de Rimbaud. Rien au départ ne prévoyait le crime. Le temps suspendu Le meurtre est relié à la dispute. Comme le montre la répétition de l’adjectif « même » qui souligne que l’affrontement va recommencer. Avec le rythme ternaire. Le temps immobilisé car répétition de deux heures avec phrase négatif. Par ailleurs, Meursault va faire allusion à la scène du début du roman comme si il y avait un structure en boucle. Au lieu d’avoir une ouverture sur la deuxième partie, il va renvoyer au début du roman. Hasard + immobilité ll- La notion de fatalité La fatalité ce qui doit inexorablement arriver/liées 1- Un monde
Immobile a 2 notion de fatalité Immobile avec la plage mais on dirait que le paysage bouge. La mer va être personnifiée « murmure de son eau Le décor apparait ainsi comme un personnage à part entière. La lumière joue un rôle important puisqu’elle trouble la vision du personnage « son image dansait devant mes yeux La luminosité a l’effet inverse. Loin de rendre la vision du personnage plus clair mais elle ici source de confusion. De même, il imagine que le couteau de l’arabe va devenir un glaive. C’est cette vision troublé qui va lui faire penser qui va être attaqué.
Répétions du terme du soleil pour accuser le soleil. La chaleur conduit également au meurtre puisque celle-ci est personnifiée. Et les verbes d’actions vont insister sur Meursault. Il y a l’évocation de la brulure du personnage qui en fait une victime. « à cause de cette brulure que je ne pouvais plus supporter… ». De façon explicite, il va dire que celle-ci va commencer le premier pas du meurtre. La sueur qui dégouline sur les paupières la vue. Cette confusion des perceptions ce lit dans l’expression a jiclé. 2- L’idée de l’absurde 3