Les soirées étudiantes

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ntroduction : Les soirées étudiantes réunissent les étudiants d’un établissement, d’un campus ou d’une ville pour faire la fête. Cette pratique est répandue dans la majorité des États. Elles se déroulent généralement en semaine ; en France, le jour fétiche est le jeudi. Parmi ces nombreuses fêtes, certaines sont particulières, ce sont les soirées d’intégration qui marquent l’arrivée d’une nouvelle promotion d’étudiants. Si la fête dépasse une soirée on pourra parler alors de journée d’intégration, voire de week-end, de semaine ou de stage d’intégration.

L’ensemble e ces événements est soumis à une législation de manière to page indirecte. En effet, si législateur ne légifèr Les règles régissant c soi, l’ensemble des évén Bars, Annonce de la s next page t interdit, le soirées étudiantes. Iles régissant ction des Open- se réalise pas dans un lieu bénéficiant d’une autorisation permanente, prévenir la préfecture en cas de très gros événement ou encore déclaration ? la SACEM des titres musicaux utilisés.. En Belgique, les fêtes étudiantes sont très répandues et constituent un folklore à part entière.

Plus spécifiquement ppelées guindailles, il s’en tient dans certaines villes universitaires plusieurs tous les soirs. Les étudiants disposent de leurs propres salles, généralement conçues pour suppo supporter la saleté et résister aux vandalismes. Citons le Bunker à Namur, la Casa et le Coq Hardi (parmi une dizaine d’autres) à Louvain-la-Neuve et la Jefke à Bruxelles. Dans une première partie nous verrons ; Les soirées étudiantes, un phénomène dernier cri, puis dans une deuxième partie, nous verrons les dangerosités de ces soirées.

Les soirées étudiantes, un phénomène dernier cri : En 1938, les universités en France comptaient 60 000 étudiants, ce chiffre passe à 300 000 en 1968 età 1 515 000 à la rentrée 2001-2002. Étudiant (au féminin étudiante) est un mot dérivé du latin s « studere » qui signifie « s’appliquer à apprendre quelque chose Cependant, le terme ne s’applique pas à toute personne qui apprend. On le réserue généralement aux personnes intégrées dans un parcours scolaire ou universitaire. Dans la plupart des pays francophones, l’usage du mot étudiant est encore plus restreint.

Le plus couramment, il désigne les personnes engagées dans un cursus d’enseignement upérieur. Afin d’être exhaustif, il serait plus juste de l’associer à toute personne suivant un cursus de formation initiale post- secondaire (relevant ou non de l’enseignement supérieur). On le distingue ainsi de l’écolier, du collégien, du lycéen ou encore de l’apprenti. Il n’existe pas de de statue international de l’étudiant. De manière, générale, en France, le mot « étudiant » s’acquière aux personnes qui étudient dans l’enseignement supérieur.

Selon les pays, les établissements d’enseignemen 2 qui étudient dans l’enseignement supérieur. Selon les pays, es établissements d’enseignement supérieur peuvent avoir différents noms : Université ou Faculté dans les États francophones, Collège dans les États anglo-saxons. Les soirées étudiantes sont généralement organisé le jeudi soir en France, et l’on constate que le plus souvent, les soirées étudiantes sont organisé par la promo des étudiants en Médecine.

Ces soirées se passent souvent dans les grandes villes dîtes « ville étudiante. » Les soirées sont un moyens pour les jeunes avant tout de s’amuser, de se retrouver et de partager une « bonne partie de rigolade musique et ambiance sont au programme. En France, les soirées étudiantes sont aussi un véritable business, l’association « Planète WEI » qui organise des soirées étudiantes, réalise environ 2 millions de chiffres d’affaires par an. À l’inverse des soirées, ils existent le « botellon appelé aussi « grande bouteille ».

Il n’existe pas encore de phénomène « botellén » en France même si les étudiants se réunissent souvent sur certaines places comme la place Saint- Michel à Paris. Le « botellén » est un phénomène qui concerne surtout les jeunes de 16 à 24 ans, leur but, à l’origine, étant e se rencontrer et passer une bonne soirée loin du système commercial des bars et des discothèques. À présent, dans certaines régions, les discothèques aménagent elles-mêmes des parkings spécialement prévus à cet effet.

Pour quantifier et donner une idée de la taille de ce genr 3 parkings spécialement prévus à cet effet. Pour quantifier et donner une idée de la taille de ce genre de soirées, un botellén réunit au minimum 200 jeunes juste sur un parking. On observe ce phénomène en Bretagne, où l’alcool fait partie de la culture jeune. À Rennes, en plus du fameux jeudi soir rue de a Soif, essentiellement réservé aux étudiants, se développent les vendredis soir. Ces soirées sont surtout fréquentées par des lycéens de plus en plus jeunes.

On peut certains soirs croiser plus de 1 000 jeunes, de 15 à 19 ans. L’année 2010 a vu se développer dans les villes de Nantes et Rennes puis dans tout l’ouest de la France des apéros géants ressemblant au « botellon ». Ces apéros ont engendrés une compétition entre les villes et ont vu 5 000 à 10 000 jeunes ? descendre lors de chaque rassemblement. Ces soirées comportent aussi des risques.. Mais, souvent dangereux Les soirées étudiantes sont marqués par la consommation massive d’alcool par les jeunes, parfois de la drogue, ou encore du bizutage.

Le bizutage (Europe), ou initiation (Amérique du Nord), est un ensemble de pratiques, épreuves, traitements ritualisés et imposés, destiné à symboliser l’intégration d’une personne au sein d’un groupe social particulier : étudiants, militaires, professionnels, etc. Ce genre de pratiques a souvent fait l’objet de l’attention des médias, à la suite d’incidents, ou plus simplement de par la nature dégradante et humiliante de nombreux bizutages. La définition donnée d 4 par la nature dégradante et humiliante de nombreux bizutages.

La définition donnée du bizutage, provenant de l’article 14 de la loi du 17 juin 1998, est : « Le fait pour une personne, d’amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants lors de manifestations, ou de réunions liées aux milieux scolaires et socio-éducatif. « 1. Ainsi, contrairement à l’idée répandue, cette interdiction s’applique également « en cas de consentement de la personne. Le Code pénal français punit les actes de bizutage de six mois de p ison t 7500 euros d’amende. Les peines sont doublées lorsqu’ils affectent une personne fragile physiquement et mentalement.

Ainsi, par exemple, Sept étudiants en classes préparatoires au lycée Faidherbe ont été condamnés en novembre 2014 par le tribunal correctionnel de Lille à des peines de travaux d’intérêt général et d’amende pour des faits de bizutage commis en octobre 2013. Les blessures occasionnées sur la victime ont été considérées comme un élément essentiel du rite de bizutage et non comme accidentelles. Il y a aussi l’alcool, Dans sa 3ème Enquête Nationale sur la Santé des Etudiants parue en 2011, la LMDE dresse le constat d’une consommation occasionnelle d’alcool et dans un cadre convivial. 1% des étudiants ont déjà consommé de l’alcool au cours de leur vie. près de des étudiants déclarent avoir des consommations d’alcool considérées comme occasionnelles. Ils sont moins de 20% à avoir consommé des boissons alcoolis S considérées comme occasionnelles. Ils sont moins de à avoir consommé des boissons alcoolisées une fois par semaine l’année précédant l’enquête. Près de 30% estiment ont estimé avoir bu de ‘alcool 2 à 4 fois par mois et 33% ont déclaré une consommation égale ou Inférieure à une fois par mois.

A peu près la moitié (51%) des étudiant ont déjà été ivres au cours des douze mois précédant l’enquête. Sur les lieux d’ivresse, des cas, elle avait lieu chez soi ou chez des amis, puis venaient les soirées étudiantes ou les discothèques (respectivement 17% et 8%) Dans les soirées étudiantes, l’alcool coule toujours à flot. Certains organisateurs prévoient au moins huit verres par personne lorsqu’ils préparent une soirée. Les chiffres sur l’accidentalité des Jeunes sont d’ailleurs larmants.

Les accidents de la route constituent la premiere cause de mortalité chez les jeunes. Les 18-24 ans représentent 21 % des tués sur la route, pour 9 % de la population. Des drames qui ont lieu dans près de 60 % des cas, la nuit, au retour de soirées. Dans 40 % des cas, l’alcool est en cause. La présence de consommation de drogue lors des soirées étudiantes restent minime, bien que les étudiants fument cigarette et joint Conclusion : Les soirées étudiantes restent un bon moyen de s’amuser, et surtout un fléau qui monte de plus en plus chez les jeunes, et la consommation d’alcool avec.