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Les trente dernières années ont vu se développer des techniques modernes de « génie génétique », consistant introduire un ou plusieurs gènes dans le patrimoine génétique d’un organisme et de construire des organismes dis « génétiques modifiés » (organismes génétiques modifiés -GONG- et les micro-organismes génétiques modifiés -MG). Ces techniques permettent de transférer des gènes sélectionnés d’un organisme à un autre, y compris entre des espèces différentes.
Elles offrent ainsi potentiellement la possibilité d’introduire dans un organisme un caractère nouveau dès lors que le ou les gène(s) correspondants sont identifiés. La transformation génétique peut être effectuée sur de nombreuses espèces végétales, depuis les céréales jusqu’ légumes ou aux arbres. En tout, ce sont plus e 60 espèces qui peuvent être transformées. Les GONG les plus avancés correspondent surtout à des espèces de premier boy ramollira HOF16pfi 08, 2009 6 pages organisme (animal, végétal, bactérie) dont on a modifie le mutation, qui existent déjà dans le monde agricole. Ombrées espèces végétales, depuis es céréales grande culture comme le maïs, la betterave et le colza. Les gènes introduits sont très divers mais actuellement ce sont principalement des caractères d’intérêt agronomique qui sont le plus développés. ‘s’échappe’, il peut être transmis par un organisme ‘autres membres de son espèce, voire à d’autres espèces. Les gènes introduits dans les GONG ne sont guère une exception, et des interactions pourraient avoir lieu au niveau des gènes, des cellules, des plantes et des costumes.
Cela pourrait être grave si, par exemple, les gènes résistant aux herbicides étaient transmis aux plantes divinités. Jusqu’ présent, la recherche dans ce sens n’ donné aucun résultat tangible, et les scientifiques sont souvent farouchement opposés. Mais les experts sont d’accord sur le fait que l’innocuité des étrangères ou des séquences ‘DAN étrangères est encore douteuse et qu’une fois qu’ils se sont propagés à grande échelle, on ne pourra pas les rappeler. – Les gènes peuvent muter avec des effets nocifs.
On ne sait pas encore si l’insertion artificielle de gènes peut déstabiliser un organisme en stimulant des mutations ou si le gène inséré reste stable dans la plante pendant des générations. On ne dispose pas de données probantes sur la question. -Les gènes ‘dormants’ pourraient être accidentellement activés et les gènes actifs désactiver. Les organismes contiennent des gènes qui sont activés dans certaines méditions – par exemple, sous l’attaque d’agents pathogènes ou de conditions météorologiques extrêmes. Lorsqu’ nouveau gène est greffé, un gène « promoteur » est également inséré pour l’activer.
Ceci pourrait activer un gène « dormant » dans des circonstances fâcheuses. Ce problème concerne particulièrement les organismes longue durée de vie, comme les arbres. Parfois, réduite au silence par des interactions inconnues avec le gène inséré. – Interaction avec les variétés sauvages et indigènes. Les GONG pourraient rivaliser ou se reproduire avec les espèces vagues, comme le fait, notamment, le poisson d’élevage. Les plantes transocéaniques pourraient constituer un péril pour a boiterais, en particulier dans les zones qui sont le berceau de cette culture.
En outre, elles pourraient supplanter les variétés traditionnelles et leurs parents sauvages qui se sont adaptés au fil des ans aux contraintes locales. Par exemple, des variétés locales d’marquée atteinte ont permis à la population de survivre après e mildiou de la pomme de terre qui a frappé l’relance autour de 1840. Aujourd’hui, ces plantes aident souvent à améliorer la Lorraine au climat et la résistance aux maladies. Elles pourraient disparaître si des variétés génétiques modifiées les remplaçaient. Mais il en va de même des variétés améliorées mises au point par les méthodes classiques de sélection. Impact sur les oiseaux, les insectes et les organismes du sol: Les risques potentiels pour les espèces non cibles, comme les oiseaux, les pulvérisateurs et les micro- organismes, sont une autre question importante. Personne ne connaît vraiment l’impact des flux horizontaux de pollen transocéanique sur l’intestin des abeilles, ou de nouvelles conséquence génétiques de végétaux sur les champignons, le sol ou les bactéries du rumeur. Par ailleurs, il est à craindre que l’utilisation généralisée des cultures génétiques modifiées puisse aboutir au développement d’une résistance chez les populations d’insectes.
Il serait conseillé de planter des zones « refuge » avec des variétés sensibles aux insecte serait conseillé de planter des zones « refuge » avec des variétés sensibles aux insectes pour éviter que les pope ôtions d’insectes développent une résistance à cause de la propagation des plantes bat génétiques modifiées. AI. Effets potentiels sur la santé de l’homme – Transfert de gènes allergiques. Ils pourraient être accidentellement transférés à d’autres espèces, causant de dangereuses réactions chez les personnes allergiques.
Par exemple, un gène allergiques de la noix du brebis a été transmis à une variété de soja transocéanique. Sa présence a été découverte durant la phase des tests, et le soja n’ pas été mis sur le marché. – Mélange de produits génétiques modifiés dans la chaîne alimentaire. Des produits génétiques modifiés non autorisés sont apparus dans la chaîne alimentaire. Par exemple, la variété de maïs stérilisa, réservée exclusivement à l’alimentation animale, a été accidentellement utilisée dans des produits pour la consommation humaine.
AI n’ a aucune preuve que le maïs stérilisa comportait des risques pour l’homme, mais il faudrait des contrôles stricts durant le traitement pour éviter l’apparition de cas semblables à l’avenir. – Transfert de la résistance aux antibiotiques. Des gènes conférant une résistance aux antibiotiques sont injectés dans des GONG comme marqueurs pour confirmer la réussite du transfert de gènes. Des préoccupations ont été exprimées sur ces ‘gènes marqueurs’ qui pourraient conférer une résistance aux antibiotiques. Cette technique la santé ou l’environnement. IF.
Effets souci-économiques potentiels – Perte d’accès des agriculteurs au matériel végétal. La recherche ophtalmologique est effectuée essentiellement par le secteur privé et pourrait aboutir à une dominante du marché par une poignée de puissantes multinationales. Ceci pourrait avoir un effet négatif sur les petits exploitants du monde entier. Les agriculteurs craignent de devoir être belges de payer pour se procurer les variétés issues du matériel génétique provenant de leurs propres champs lorsqu’ achètent des semences à des sociétés détenant des brevets.
Certains maintiennent que l’Organisation mondiale du commerce encourage ce processus avec son Accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (TAPIS), mais cet accord prévoit des options pour protéger es pratiques traditionnelles agricoles. Par ailleurs, le nouveau Traité international sur les ressources photographiques pour l’alimentation et ‘agriculture reconnaît les contributions des agriculteurs la conservation et l’utilisation des ressources photographiques pour les générations futures.
Il fournit un cadre international pour réglementer l’accès aux ressources photographiques et établit un mécanisme de partage des avantages tirés de leur utilisation. – Les droits de propriété intellectuelle pourraient ralentir la recherche. L’accès de la recherche du secteur public pourrait être entravé par le fait que les produits et méthodes ophtalmologiques sont régis par des marques déposées.