Les Mains
Le titre Les Mains Libres se justifie-t-il ? Le titre est metonymique car il présente les quatres mains du peintre et de Paul Eluard. On trouve également le mot « libre », liberté si chère aux surréalistes + mains omniprésentes plus de 30 sur 54 dessins; même si ce motif est moins présents dans les poèmes. C’est la raison pour laquelle nous nous demanderons ce qui justifie le titre et quelle est leur signification. I-Les mains: motif surréaliste, liberté onirique . n paradoxe: Les Mains Libres titre eponyme ne répresente ucune main mais propose des « graffitis ». Man Ray gribouillit de lignes et de pointillés liberté chère aux sur automatlque. Selon suit son inspiration o Le poème, illustre b’ ors to next scrit le principe de parente au dessin travaille toute seule, uisquiil associe des images hétéroclites antith tiques (paradoxales) « cette averse est un feu de paille » ce qui oblige le lecteur a être actif car interprétation très ouverte.
Mains et Fruits: offre aussi une main posée sur une coupe de ruits mais MR s’amuse à detourner, faire vivre nature morte par un geste de la main artificielle puisque c’est le petit doigt qui est pose s page sur la poire, ce qui montre que les deux éléments sont juxtaposés. Belle main: represente une belle endormie sauf que son corps se fond dans une main disproportionnée qui prolonge son corps. Le tronc de la femme represente les poignées, son buste represente la paumes et ses bras se démultiplient en doigt sur l’oreiller : montre douceur, sensualité de l’image de cette femme nirisme : rêve.
Eluard fait allusion aux mains du poète + amante. Des nuages dans les mains: deux mains disproportionnées qui semblent supporter les nuages tout comme Atlas qui portait un univers sur les épaules. Onirique parce que mains géantes cherchent à saisir l’insaisissable, comme le montre bien l’adjectif « impalpable » dans le poème. Ce qui fait référence à cette fameuse phrase dans la préface d’éluard « Il yla plus de merveille dans une main tendue, avide.. : invitation du rêve, à la liberté.
Il-Les mains miroires de l’act de création. La peur: Est donnée à voir une main géante, disporpotionnée, menacantes comme les cerfs d’un aigle: prédatrice, hachurée en gris pour figurer cette ombre qui plane sur le corps d’une femme nue, hypertroflée pour ce qui concerne les parties les plus sexuées: hanches, seins qui n’est pas sans rapeller le violon d’ingres de MR. Position couchée: animalisée dans une posture soumise/ dégradante. Ses longues mains éfil