Les inegalites en france

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Dans un premier temps, nous analyserons les évolutions du marché du travail depuis les années 1980. Puis, dans un second temps, nous verrons quelles conséquences ces changements ont sur le système de protection sociale français. Dans cette première partie, nous allons voir quelles sont les évolutions du marché du travail. Puis, nous verrons les effets de ces changements dans la société. Depuis les années 1 980, le marché du travail connaît des transformations. En effet, il y a une « fragmentation des emplois » d’après e document 5 au sein des contrats de travail.

Les entreprises embauchent de plus en plus des premier boy honorons horrible 08, 2009 | 5 pages dans quelle mesure les changements de l’emploi affectent individus avec un contrat à durée déterminée. Ce qui fait diminuer les emplois avec un contrat à durée indéterminée, et laisse une place énorme aux formes atypiques d’emploi don dont le contrat à durée déterminée fait partie. Cette augmentation de ces formes est principalement due au fait que les entreprises doivent s’adapter aux fluctuations du marché.

C’est en flexibilité ces facteurs de production que l’entreprise pourra répondre à l’évolution du marché du travail. En effet, avec les contrats à durée déterminée, l’entreprise peut embaucher que houillères en a besoin. Ainsi, ces formes atypiques répondent aux besoins de l’entreprise. D’après le document 5, cette multiplication de ces formes d’emploi augmenterait « les zones grises de l’emploi ». Ces zones regroupent le temps partiel qui correspond à une activité dont le temps de travail hebdomadaire est inférieur aux 35 heures, intermittent.

Ces zones seraient des « situations de hors-droit » ou ayant accès à peu de droit. La hausse de ces formes atypiques d’emploi a remis en cause la stabilité de l’emploi. Ces ramifications ont eu des conséquences sur les individus mais aussi dans la société. L’augmentation de ces formes a eu des effets sur les individus. Certaines personnes se voient imposer le temps partiel tout particulièrement les femmes. Ce qui fait qu’elles se retrouvent avec un bas salaire. Le temps partiel peut-être la cause des inégalités au niveau des salaires.

De plus, avec les transformations de l’emploi, certaines se retrouvent au chômage ou un emploi précaire. Le chômage « détruit » l’individu. En effet, quand une personne devient chômeur, la plupart du temps, elle est isolé, exclue de la socs effet, quand une personne devient chômeur, la plupart du temps, elle est isolé, exclue de la société. Comme elle perçoit peu ou pas de revenus, elle doit changer de logement. Les personnes étant le plus touché par le chômage sont souvent es jeunes, les femmes et les moins qualifiés.

En France, aujourd’hui, le taux de chômage représente 10,20/6. On peut constater une hausse du chômage due à l’évolution du marché du travail qui se dégrade de plus en plus. En effet, ces transformations de l’emploi font apparaître une augmentation de la pauvreté. A cause de la hausse du travail à temps partiel et celle du hommage, les individus ont de moins en moins de revenus. Certaines personnes vivent dans la pauvreté. D’après le document 6, 13050000 personnes ont un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté en 1996.

Ainsi la société française se retrouve en pleine crise avec la hausse du chômage et de la pauvreté. Dans cette deuxième partie, nous allons voir que le système de protection française se fragilisé à cause de ces transformations. En effet, le nombre d’allocataires du revenu minimum d’insertion augmente avec la hausse de la précarité, du chômage. Ce nombre rassemble les personnes démunis sans cause » d’après le document I c’est-à-dire des individus qui ne se trouvaient pas dans les catégories des autres aides comme celle de l’allocation familiale ou l’allocation du minimum vieillesse.

Grâce au document 2, nous pouvons constater l’augmentation des allocataires du revenu minimum d’insertion. Document 2, nous pouvons constater l’augmentation des allocataires du revenu minimum d’insertion. En effet, entre 1992 et 2002, le nombre d’allocataires du RAMI est passé d’environ 590000 personnes à 1 100000 personnes. Contrairement aux nombres des allocataires des autres catégories qui diminuent, celui des allocataires du RAMI a augmente fortement en dix ans.

Ce revenu minimum d’insertion permet aux allocataires de recevoir un revenu, qui est d’aujourd’hui d’environ 600 héros, leur permettant de s’insérer dans la société où parfois ils avaient l’impression d’être exclus. Cette forte hausse des allocataires du RAMI a des effets sur le système de protection sociale. En effet, d’après le document 3, les dépenses pour ces allocations pèsent lourd sur le budget de l’état. Ces dépenses sont passés de 2,2% du produit intérieur brut en 1981 à 2,4% en 1996. Depuis, ces dépenses ne cessent d’augmenter.