Les gangs de rue et les bandes de jeunes
Tout d’abord, le concept de jeunesse et de jeune abordé dans ce texte était tres intéressant et j’ai adoré cette citation sommes tous le «jeune» de quelqu’un et le «vieux» d’un autre. ] En fait, je me suis toujours sentie jeune, mais de différente manière selon les années. À 10 ans, j’étais jeune par rapport à tout le monde et je n’avais aucune liberté d’agir. Puis, à 15 ans, je me sentais jeune et je pouvais faire des expériences, parfois illégales, et par ma jeunesse je n’avais aucune conséquence.
Ensuite, à 20 ans, étant majeur, je me suis sentie jeune d’avoir eu un enfant et outes les responsabilités qui allait avec. À 25 ans, je me sens jeune par rapport à mon père qui vient de prendre sa retraite et que moi, je suis enco compétences pour m m voisine à 48 ans était s jeu fait même un homm ne peut plus loger ? velopper mes i dire que ma ou d’un cancer et par le alysie cérébrale qui ne pour être pris en charge par les CHSLD. Cependant, si on s’attarde à la jeunesse, on pourrait ainsi la définir comme le moment de transition entre l’enfance et le monde des Swipe to View next page adultes.
Cette transition, souvent marquée par une recherche identitaire et de sensations fortes. Le cortex préfrontal de l’adolescent n’étant pas complètement formé provoque chez lui un sentiment d’Invincibilité et d’impulsivité. L’adolescent a donc besoin de plus de stimulations sensorielles pour le motiver à agir. Voilà en partie pourquoi les gangs de rue et les bandes de jeunes peuvent être si attirants pour les jeunes en manque de modèle de réussite au de soutien familial. En fait, il y a une différence distincte entre les bandes de jeunes et les gangs de rue au niveau de leur mentalité.
Pour les bandes de jeunes, au niveau racial, c’est pratiquement que des Québécois, blancs et de «souche»l. Puis, ils manifestent de l’opposition au niveau de la culture et refusent les valeurs capitalistes. Le fonctionnalisme serait probablement la cause de leur délinquance. Il se caractérise par l’absence de réponse à leurs besoins par les lois. Les jeunes «squeegees» affirment que la société ne concorde pas à leurs attentes et se disent marginaux. Le rapport à la violence des bandes de jeunes est plutôt envers eux, comme une sorte d’automutilation qui reflète leur solitude malgré le groupe.
Ils vont s’adonner à des consommations abusives de drogue et autres pratiques extrêmes. abusives de drogue et autres pratiques extrêmes. En ce qui concerne la cause de leur délinquance, j’irais dans le sens des trois écoles de la pensée en soclologie soit, le fonctionnalisme, le marxisme et l’interactionnisme. Selon leurs propos, le capitalisme qui caractérise notre société ne répond pas à leurs besoins. Ils ne se sentent pas interpellés par cette culture et c’est alors qu’ils se comportent marginalement.
Puis, ce n’est pas nécessairement par pauvreté qu’ils se retrouvent à la rue, cependant c’est lorsqu’ils en sont rendus là et qu’ils vivent la pauvreté, qu’ils s’adonnent à la criminalité pour survivre ou pour vivre des sensations fortes. Finalement, lorsque ces jeunes se retrouvent dans la rue, ils vivent une resocialisation par la bande de jeunes, ce qui les mène ensuite à imiter les membres et commettre des cnmes. Ensuite, les membres principaux des gangs de rue se sentent plutôt exclus de la société blanche et se victimisent par rapport au racisme.
En fait, par le gang, ils créent une sous-société dans laquelle ils arrivent à se valoriser et se sentir socialement acceptés au sein du groupe. Leur rapport à la violence est beaucoup plus extériorisé, ils peuvent s’en prendre à leurs com rapport à la violence est beaucoup plus extériorisé, ils peuvent ‘en prendre à leurs comparses ou à des innocents dans la rue. Beaucoup de rites d’initiation sont commis et sont centrés prlncipalement envers autrui. Enfin, plusieurs caractéristiques différencient les sortes de groupe de jeunes, mais ils répondent tous au besoin d’appartenance auquel ces jeunes recrues en sont carencées.
Le groupe devient alors la famille substitut. Pour faire suite, j’ai adoré la lecture de ce texte parce qu’il a poussé ma réflexion plus loin que ma seule expérience personnelle. En fait, durant la derniere session scolaire, j’étais en stage dans un centre jeunesse à St-Hyacinthe. L’unité à laquelle j’ai travaillé était en fait une unité d’observation et d’évaluation de jeunes filles entre 12 et 18 ans. Elles étaient surtout de provenance de la protection de la jeunesse (PJ) et quelques une venaient de la loi sur le système de justice pénale pou adolescents ( LSJPA).
En plus, j’ai eu l’occasion de faire quelques quarts de travail dans des unités LSJPA pour garçon à Chambly. Ces unités se différencient par l’âge des occupants, puisqu’ils peuvent avoir jusqu’à 21 ans. En fait, c’est des jeunes hommes ou jeunes femmes qui ont commis un crime quelconque et qui se etrouvent au cen PAGF jeunes hommes ou jeunes femmes qui ont commis un crime quelconque et qui se retrouvent au centre jeunesse au lieu de la prison pour majeur. Dans mon unité principale, l’Émeraude, j’ai rencontré plusieurs jeunes filles puisqu’elles étaient présentes que 30 jours pour l’évaluation.
Sur 27 jeunes filles rencontrées durant mon stage, 11 faisait partie de loin ou de proche de gang de rue de Montréal ou des environs. Puis, lorsque j’ai été ? L’Azimut, unité LSJPA pour garçons, 4 sur 9 étaient proxénètes ou jouaient un autre rôle au sein d’un gang. Tous jeunes confondus, eur vécu, leur jeunesse ou l’attitude de leurs parents se ressemblent sous nombreux aspects. Pour la plupart, ils ont vécu de la négligence, des abus ou de l’abandon. Certains n’avaient aucun encadrement parental ou pour les jeunes filles, c’était souvent une autorité parentale du type autoritaire2. our conclure, l’intervention n’était pas chose facile pour ces jeunes, en fait tant qu’ils n’avaient pas commencé à se détacher du gang aucune intervention n’était possible. Pour les jeunes filles, il y a un programme, « Le silence de cendrillon» qui est appliqué au centre jeunesse. une formation pour les ntervenants est nécessaire puisque tous les mots choisis sont importants durant les séances. Le pro importants durant les séances. Le programme consiste à défaire certaines distorsions cognitives ainsi que corriger les perceptions biaisées concernant les gangs de rue.
L’intervenant doit connaitre à la perfection le cercle du recrutement et ainsi savoir déceler à quelle étape se situe la jeune fille. Si elle est encore au niveau de la lune de miel, la force du gang est beaucoup trop présente et l’intervenant devra l’exclure du groupe d’intervention. En fait, elle pourrait contredire tous les propos des intervenants et uisque ces séances sont faites en groupe, l’intervention perdrait immédiatement de la crédibilité aux yeux des autres jeunes filles.
Au final, il faut comprendre que ces gangs sont des organisations complexes et en constante évolution. En plus, ils ont une emprise presque totale sur les membres de rang inférieur du gang en faisant d’eux des pantins prêts à sewir ou une source de revenu considérable. Initialement, afin de prévenir le recrutement, il est important d’inteNenir au niveau de l’estime de soi des jeunes et de leur donner un sentiment d’appartenance soit par les sports ou autres loisirs.