Les femrnes savantes
Le suivie siècle, autrement appelé Grand Siècle, est associé au courant du classicisme et consiste en une période historique importante en ce qui a trait à la langue et la littérature française. Dans l’art, on cible la rigueur, l’équilibre, la précision, l’harmonie et la tradition. Durant cette période historique, e théâtre comique s’enrichit grâce à l’influence de la comédie délétère et aux ?ouvrés de molaire.
On retrouve, dans la pièce « Les femmes savantes » de molaire, le comique de mots, de gestes, de situation et de caractère, procédés employés dans la comédie classique. L’extrait de la pièce « Les femmes savantes » consiste en un dialogue entre chrysalide et son frère ariser. Dans ce passage, ariser dénonce la soumission de son frère face à sa femme et le pédantisme de transition, un supposé bel esprit. Dans l’extrait étudié, ariser dresse le portrait de son frère dans le but de montrer sa faiblesse e spire toi vie nées page Les femmes savantes premier boy rizeries amputa 22, 2011 3 pages t d’établir son caractère.
AI développe un champ lexical de la lâcheté pour se moquer de la soumission de chrysalide face à sa femme. Des mots tels que « mollesse » (v. 2), « faiblesse » (v. 3), « trembler » (v. 16) et « lâchetés » (v. 21), dépeint la relation de dominant-dominé que vit chrysalide avec sa femme. Puisqu’ chaque vers de l’extrait, ariser enrichit le contenu de ce champ lexical, cela marque avec insistance le fait que chrysalide n’est pas capable de s’opposer fermement aux volontés de son épouse. En effet, chrysalide prétend être le maître de la maisonnée.
Cependant, il a du mal à contredire sa femme, notamment sur le renvoi de martinet. En outre, la métaphore : « Et vous faites mener en bête par le nez » (v. 25), énoncée par ariser, renchérit le fait que chrysalide ne peut défendre son opinion et adhère à celle de sa femme. À l’aide de cette figure de style, ariser compare son frère à un animal se faisant mener par son maître. La lâcheté de chrysalide est dut au fait que sa femme possède un pouvoir excessif sur ce dernier.