Les emeutes en tunisie

essay A

La tunisien s’est révoltée pour acquérir la liberté, une liberté pour laquelle le peuple tunisien a fait de nombreux efforts pour y parvenir, mais aussi une liberté race à laquelle le peuple tunisien a obtenu la dignité humaine tant attendue. Le regret de zone le badine bien ail montré à son peuple à travers la télé n’ eu aucun effet sur le peuple tunisien. En fait, ce dernier était persuadé qu’il s’agissait d’une farce.

bien ail avait aussi essayé de reculer l’augmentation des prix, mais cette action n’ pas sollicité les tunisiens à cesser leur protestation, au contraire, les tunisiens ont perçu cette action comme une faiblesse de leur président et en ont profité pour le chasser de la tunisien. A un certain moment bien ail a été aussi abandonné par ses forces militaires. Les protestations d’origine sociale sont devenues rapidement des premier boy émigre 986 | empâta 23, 2011 17 pages protestations d’origine politique. Pour la première fois, je suis un homme libre ! Ai commenté un jeune tunisien dans une interview apparue dans le figera après la la fuite de bien ail. Ce jeune homme et ses compatriotes ont vaincu le système dictatorial de leur pays, et de cette façon ils espèrent d’avoir aussi vaincu la corruption et le favoritisme qui régnait sur la tunisien. Malgré le bien-être de l’industrie du tourisme, le chômage en tunisien était arrivé u « 13,90 % en 2008[1] » un chômage que les jeunes Tunisiens notamment ne supportaient plus.

Du point de vue de plusieurs observateurs, « ce n’est pas tout à fait un hasard si les émeutes sont parties du centre du pays. »[2] Mais cette perspective négative pour les jeunes Tunisiens en ce qui concerne leur futur, n’est pas la seule raison qui a déclenché les émeutes en tunisien. La liberté de la presse et d’expression n’existaient pas en tunisien. Dans le pays, dans lequel beaucoup des français passaient sans inquiétude leurs vacances, il y avait des prisonniers politiques. Les personnes avec une idéologie d’afférente celle du régime tunisien, étaient persécutées.

L’homme de housses devient, après divers postes au sein de l’armée et de la sécurité nationale, ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de arachide sofa puis remplace ce dernier comme Premier ministre[3]. C’est une déception pour le peuple tunisien, qui en 1 978[4] espérer avoir obtenu un bon successeur au président de l’époque, babil bourgade, qui était vu comme le fondateur de la tunisien moderne. Le 7 novembre 1978, ce dernier fut remplacé par bien ail en tant que successeur constitutionnel, président et chef épurée des forces armées[5]. bien ail fait jouer l’article 57 constitutionnel, président et chef suprême des forces armées[5]. « bien ail fait jouer l’article 57 de la constitution tunisienne et, sur la foi d’un rapport médical signé par sept médecins attestant de l’incapacité du président babil bourgade d’assumer ses fonctions, le dépose pour sénilité. Cette action a été justifiée par le fait « que des mouvements intégristes préparaient un coup d’État et détenaient une liste de personnalités à assassiner »[7].

De plus, il y avait un rapport médical qui confirmait l’incapacité e bourgade à continuer à assumer les plus hautes charges de l’État, ce que mazer dada, un des plus fameux journaliste et écrivain tunisien, a résumé ainsi : « Officiellement âgé de 84 ans, bourgade s’endort quand il reçoit un hôte étranger; sous l’influence de ceux qui geignent la présidence, il chasse le lendemain le ministre qu’il a nommé la veille, il admet le remaniement ministériel proposé par son Premier ministre pour se rétracter quelques heures après…

Pire que tout, il exige la révision du procès de l’intégriste arrache gnocchi (et la condamnation à mort de ce dernier) : « Je veux cinquante êtes [… ] Je veux trente têtes [… ] Je veux gnocchi » Mais contrairement à ce que’ a dit mazer dada, les journalistes encollais Beau et Jean-Pierre tique donnent une autre version des événements : « Sept médecins dont deux militaires, sont convoqués en pleine nuit, non pas au chevet du malade [bourgade], mais, là encore, au ministère de l’Intérieur.

Parmi eux se trouve malade [bourgade], mais, là encore, au ministère de l’Intérieur. Parmi eux se trouve l’actuel médecin du président, le cardiologue et général amende guidée. bien ail somme les représentants de la faculté d’établir un vis médical d’incapacité du président. « Je n’ai pas vu bourgade depuis deux ans » proteste un des médecins. « Cela ne fait rien ! Signe ! » tranche le général [bien ail].

On peut dire sans doute que cette action souligne la sévérité, et si l’on veut aussi la brutalité avec laquelle bien ail régnait, et la corruption présente un peu par tout le système politique tunisien. Il possédait et administrait aussi les postes les plus importants dans l’économie, surtout dans le secteur du tourisme, car en fait, on pouvait accéder à ces postes seulement avec des contacts proche au régime. Comme on dit dans le langage de tout les jours, « il faut être pistonné Pour le tunisien « normal » qui était dans la bonne moyenne, il n’ avait aucune possibilité d’accéder à ces postes.

Maintenant il y a fouet embauma au pouvoir, l’homme âgé de 77 ans possède la fonction de président de transition. Il a été «désigné président par intérim par la Cour constitutionnelle jusqu’ prochaines mais il est à se demander s’il réussira calmer la situation, parce qu’en fait « fouet embauma a participé aux gouvernements tunisiens de bourgade comme de bien ail »[I I] et il est connu comme un partisan » de bien ail.

Le seul aspect positif de embauma, c’est qu’avec son élection, selon la constitution, il n’ a plus seul aspect positif de embauma, c’est qu’avec son élection, selon la constitution, il n’ a plus la possibilité pour bien ail de faire part du régime. Il est vrai que dès la prise de ses nouvelles fonctions, « fouet embauma a demandé amendée gnocchi, premier ministre sortant, de former un nouveau gouvernement. Le président par intérim a promis d’associer «tous les Tunisiens» au processus politique et de mettre en place le pluralisme et la démocratie.

Il a estimé que «l’intérêt supérieur de l’État nécessite un gouvernement d’union nationale» « [1 2], mais est-ce que embauma peut-il vraiment être fidèle à sa promesse ? Peut-il incarner le renouveau du régime que la population tunisienne attend ? Est-ce qu’il réussira ramener le calme dans le pays et de redonner à ce pays des conditions favorables pour l’organisation d’un scrutin présidentiel dans les soixante jours ?

Pour faire cela, il a sans doute besoin de la confiance du pays, mais il se peut que le peuple tunisien hésite à accorder cette confiance « cet apparaîtrai bon teint de «l’ancien régime» »[13]. Cependant, il ne s’agit que de mon avis personnel, l’aspect le plus difficile à réaliser, serait celui de donner au peuple tunisien des prospect?vies, comme par exemple la réduction du chômage et l’introduction de mesure envisagés pour la réalisation d’une démocratie.

Des perspectives qui en ce moment même, le peuple tunisien est en train de réaliser par lui même, car la protestation à montré les effets souhaités jusqu’ ce jour: plusieurs membres de l’ancien régime ne sont protestation à montré les effets souhaités jusqu’ ce jour: plusieurs membres de l’ancien régime ne sont plus insistes dans le gouvernement de transition, seulement le premier ministre amende gnocchi « assumera cette charge jusqu’ la tenue d’élections anticipées »[14], mais cela ne réjouit pas beaucoup de tunisiens, car gnocchi est considéré comme « un fidèle de bien ail »[15].

Les semaines qui suivront en tunisien, seront sans doute très passionnantes et cruciales pour pour le peuple tunisien. Après cette brève introduction pour décrire la situation tunisienne avant et après les émeutes, la deuxième partie de la dissertation suivante essayera d’analyser l’attitude de la France envers ces récents événements, qui ont réactives ce pays du maugréa. Une analyse caractérisée par les informations et les publications de la presse française et celle internationale.

Le Monde a défini l’attitude de la France envers la tunisien comme une ?volet- face »[1 6]. D’autres pays comme l’algérien ou les états-Unis ont exprimé leur avis, et la position de la France ?face au soulèvement tunisien fait couler beaucoup d’encre »[17]. Thé gardian, le journal le plus important en engrangèrent évoque un ?faux pas diplomatique » et il note aussi que ?les dirigeants français se sont démenés pour sauver la face et se montrer 8].

Tous ont exprime leur avis sur la ?volet-face de Paris », mais la déclaration qui a scandalisé la France, a été celle du ministre des affaires étrangères française, micheline allait-Marie, qui s’est e ministre des affaires étrangères française, micheline allait- Marie, qui s’est expliquée, mardi 18 janvier, devant la commission parlementaire ?sur sa proposition au dictateur tunisien de prêter assistance à ses forces de sécurité face au soulèvement 9] Cette déclaration a ?suscité l’ère du chroniqueur moustachu mouchée dans Liberté, qui y voyait un « affront aux souffrances, aux sacrifices et vices que subissent en général les imaginaires qui luttent pour leurs droits ». « [20] Mais comment doit on évaluer la déclaration du ministre micheline allait-Marie? Est-ce que la réaction de la France envers la tunisien est justifiée? Le jugement d’le autan, un quotidien algérien, est sans appel, le quotidien se demande comment « cette complaisance teintée de paternalisme, voire de condescendance, n’ pas servi la tunisien et les Tunisiens, ni l’image de la France, patrie des libertés et des droits de l’Homme.

A l’instar du reste de la presse internationale, d’un côté, le quotidien algérien se demande comment la France a-t-le e pu s’enfermer dans un soutien sans faille au régime de bien ail, alors qu’elle appelle à la démocratie en Côte d’Ivoire ? Se montrer sourde et aveugle à la révolte populaire? « [21] De l’autre côté en engrangèrent, le gardian note que les se montrer inflexibles »[22]. Selon l’avis du figions poste la France ?s’est longtemps acoquiner avec bien ail par le passé »[23] et en plus il souligne que la France, justement dut à son histoire et son esprit révolutionnaire, au en plus il souligne que la France, justement dut à son histoire et son esprit révolutionnaire, aurait du supporter le désir de liberté du peuple tunisien, à la place de proposer son aide à bien ail.

Le finançais dîmes est aussi de l’avis que ?me allait-Marie était dans la droite ligne d’une longue tradition de soutien français au régime de bien ail »[24], il rappelle notamment ?l’hommage de l’ancien président jacquet charria au miracle économique tunisien et à sa défense des droits, ainsi que celui de encollais sarraus'[25]. Mais, il ne s’agit pas de l’unique fois où la France a raté dans l’histoire en ce qui concerne a diplomatie française envers les ?trains de la liberté », note le dîmes, qui cite l’expert en géopolitique français exhibées. Le dîmes souligne le fait que la France avait aussi mal agi en ce qui concernait ?la chute du mur de berline, comme de celle de l’Union soviétique »[26]. Mais est-ce que la France a vraiment mal agi envers la tunisien? Est-ce que la France est responsable ne serait ce que sous quelque forme de ce qui s’est passé en tunisien?

Est-ce que la France aurait du soutenir le peuple tunisien? Pour pouvoir répondre à ces questions, il faut premièrement an oser a relation particulière dans l’histoire entre la France et la tunisien. On peut dire sans doute que l’histoire de la tunisien a vécu des étapes agitées. Elle est passé de la carénage panique à la harmonisation, puis dans le mie siècle la tunisien est sous l’influence de sans augustes d’happons, une des cap ‘talés chrétienne principale de l’Occident. Ce dernier l’influence de Saint augustes d’happons, une des capitales chrétienne principale de l’Occident. Ce dernier se sert aussi d’une violence inimaginable pour parvenir à ses fins. 27] Finalement en 670, après cinq offensives sans succès, une expédition arabe réussit à vaincre les Byzantins et ils saisissent à arabiser et islamiser la tunisien. Mais en fait ce qui nous intéresse c’est l’étape historique concernant le protectorat français à partir de l’année 1881 jusque 1956. C’est dans cette période que la tunisien connaît de grave difficultés financières à cause de la ?politique ruineuse des boys, de la hausse des impôts et d’interférences étrangères dans C’est cette raison principale pour laquelle, le 12 mai 1881, la France officialise le protectorat en tunisien avec le traité du barda. Le 8 juin 1883 le régime du protectorat est renforcé par les ?conventions de la mars »[29].