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CHAPITRE 2 : LA COMMUNICATION DANS LA RÉSOLUTION DES CONFLITS SCINI:’NRPIEPEEAETFVRSNO LTERS,RMIRGNAOIATU STERILISANT LA COMMUNICATION 1) un terrain privilégié de la communication 1 . 1 Impossibilité de ne pas communiquer 1. 2 Fonctions de la communication et obstacles à la circulation des informations 2 L mb utdlcmmui ‘Il eao age n ai or 106 Sni* to View 21 P I Ate ln letnatn ee:h oi e pc te d . a Ita asrs co n Ité r s x lai se 00’ ya création des conflits… 22. ediàlréotn . t ‘ders I . ae u SECTION 2 : INTEGRER LA COMMUNICATION DANS LA RESOLUTION atxir tut 2. ourquoi les adversaires sont-ils les plus mal placés pour régler leur différent? 2. 2 Convertir un combat à deux dimensions en une exploration ? trois dimensions Chapitre 2 : La communication dans la résolution des conflits Dans le chapitre précédent, nous avons abordé les conflits du point de vue de la cl rd nrpi e d srl i ss c let i id s Nu ao sd n c uue ‘treteetnoie nrnvu. oslnase e di ca ieesyremetevlr’pc » te n a u Is e t communicationnel  » el cé t ne d da raite Irslid sc nl aéotneofscs i e -à-dire en quoi la communication peut être utile, voire essentielle, dans la résolu

TU 1) un terrain prlvilégié de la communication L c mmu it ns tbt è q eduiid s umos ern o t n. ecfi n ai’ a Id sue xn vu a coel di i sec nrtD e a, les organisations -fr e p r ne s mb dn id s constituent le meilleur lieu où omésaunel’dieivu peut se développer la communication. Nous avons pour habitude lorsque nous parlons de communication de ne considérer que le langage verbal, or les paradoxalistes(l) ont pour hypothèse centrale que tout est communication : dès que la conscience humaine est quelque part, tout ce q ‘l vie tn o prolaprdsi omai sq ‘l pudced ulo,nedueçiupotenrtnuletéire et d traiter (voir annexe 20).

Ils estiment donc que la communication repose sur notre communication repose sur notre comportement global « (t u e ,h bl n. ) L c mp r me te ts I ex atdsaime t. eootnsenu une conduite observable et descriptible « a sl p n é e riiesetetteota d s o otme t pi uln crs o d n àr nd bevb. e c mp r e ns u q’ e or pneti’sral sninnsnp Le comportement possède une propriété essentielle mise en valeur par G. LAYOLE(2) WATZLAWICK I. H. BEAVIN et DON D.

JACKSON(3) c mp r me t’ p sd c nri , ‘ti q’ e tmp sied n p ss ootnnaeotrcs aud n sa to cmp sie e e ac mmu i e, u nl v ul urq’eei q on n le to cc iq elnc mmu i eq o q elnfse: u ns ti o uo. lsdnlru’o nu u i u’ as q’eaeu mê q’ s ia s n, e q eG. LAYOLE ap l » politique de la chaise me unobetcu p ee la vide « D tl cmp r me ti ln e te a t sq i nrtu n pue tan . eeoot ns nucnl urue eo reevnpse fe pas réagir à ces communications, et de ce fait, communiquent également. Ainsi, on n capp sàlc mmu it ne tne d I fi et îemê dsdfué hpe a fn é a rgrA E O naf n pè a eod Guerre Mondiale et dont P.

WATZLAWICK est maintenant le chef de file. Pour en savoipsv i » nouvelle r 1,0 La communication « B T S Ne a ts L S u-Paris, 1981 « éoelcnl Poe sne ev niprdxl,dis’ra it n nDnureofs rfsi n II tre t naa oaEindgnai -Paris, 1984,p 29 o n une logique de la communication « E i n d S u, 9 2 p4e4 , disuei17,5t6 : La communication dans la résolution des conflits L c mp r me tsdncnirprep rd x Itsc mmeu eo ot net o cos éé a aa o as le O n moyen de communication « Eeftc ri g s s o tee n c n et n e q’ sn . nf,etnetsn tlmetovni n I ul ot osi immédiatement compris de tout interlocuteur, G.

LAYOLE e t smeq’ srenvoient ? une sorte de code gestuel  » u Ine lerg Irme t h us reé al , q e’ mpié uèe n:aselpus secouer la tête. Ctcnttt nnuan àpneq’ nap sc rnmu it nu i en et osai os ‘ i yao « ul sdsgébqecmesg me n I ti me te vo r as’tn lé a ra lue Sa e involontaire peut être ambigu et incertain, entraînant un risque de mauvaise i epéai dl p rd n ti el ue rasugs dmp t n ep unu nrrttnea ate or nr c tu : i in et’ ai cet os e to échapper » le ied i usc r stcn u sc mmelx rsi c roee . xt’lretnehieo al ‘ pe s n op rl prtnddcurd frne frsdlggseasdsns ri emet te é o vi i e ts orne eaaetiie’ev mpse ndsâhs Oe te I eme Ico Is met e tce c Icv s li elle assure la valorisation des individus et des groupes dans la esure où elle et n ma i st nd xtn edfmaids sueneti’iec,’ftneo f ao es al O – elle est le meilleur moyen de résoudre les problèmes interpersonnels et intergroupes; un désaccord appelle à la communication, et si elle est inexistante il en résulte des tensions, des conflits et du désordre.

Si les trois premières fonctions ne sont pas remplies, il y a apparition de po I sq isl n sn p sr s I p raq ar mefn t na o ts n àd s rbmeu’eotaéosalutè o co , b ui e te c nl . np u d usa ue u efn t nq iscldrsurlc ofsOet’lrj tr n o co u e tee e é o de eofs éa tonq el c nl aprietufid n etaat otio e tndnéueofspaa sn da’ ac r manque de communication, mais nous pouvons nous justifier en reprenant un vieil aa et su ie x » dg r j c u : mieux vaut tard que jamais  » è di La communication a donc pour but essentiel de faire circuler des afin de remplir les fonctions précitées, il existe cependant des obstacles à cette circulation dont G.

DELAlRE(7) afiu elt q i’ ta sd uep se h u te an ie u ns s not axas v mais néanmoins très complète : – i ufa c d Ifr t du fait du chef, pour garder son prestige n f ne e’ omai et son autorité du fait de la compétiti 06