lecture analytique: gouget- l’Assomoir- Emile Zola
L’Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervais e Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d’Or ? Paris. Dans cet extrait, Gervaise, qui souhaite voir son amoureux Goujet qui travaille à la forge prend le prétexte de rejoindre son fils Etienne qui travaille avec lui comme apprenti. Elle y rencontre également Bec-Salé, un ouvrier ivrogne. Les deux ouvriers s’affrontent dans un défi, celui de forger seul des boulons. 1_lJn éloge du travail p g 1/ Quelle partie du tr détails précis sont do L ‘auteur décrit dans rite ici ?
Quels es, matériaux) ? açonnement du boulon que les ouvriers forgent en utilisant un marteau. Plusieurs détails sont donnés sur ce travail : « il ne se pressa pas,il prit sa distance, lança le marteau de haut, ? grandes volées régulières. Il avait le jeu classique, correct, balancé et souple. « (1_33 p184) ; « ils s’enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon »(L5 Pl 85) ; « écrasant le métal au milieu, puis le modelant par une série de coups »(L7p185) ; « II recevait en plein la grande flamme de la forge. ?(L12 p185) ; ? il avait abattu Fifine, les yeux sur le fer »(L25 p185) ; « l’enclume »(L2 pl 86) ; « fer écrasé »(L3 pl 86) ; 12186) ; On peut constater que les gestes sont élégants, gracieux, et donnés avec force mais sans brutalité. 2/ Le marteau de Goulet est présenté de manière imagée. Analysez la figure de style employée pour le décrire. Zola utilise la personnification comme figure de style.
En effet, il féminise l’instrument qui est assimilé à une jeune danseuse, une « dame noble » (L2 Pl 85) dansant le menuet comme le montrent e nom qui lui est donné « Fifine » ou encore les expressions suivantes dans le texte « les talons de Fifine » (L4p185) « révérences de grande dame » (L28 p185) 3/ Quelles qualités de l’ouvrier met-il en valeur ? Quelle relation Goujet entretient-il avec son marteau ? Le marteau met en valeur la grâce et la puissance de Goujet mais aussi son sérieux. On voit qu’il est minutieux et qu’il met de l’ardeur au travail. La Gueule dory met tout son cœur.
Goujet et son marteau semblent être un couple de danseur. Ils sont liés et même complémentaires « les guiboles ‘enlevaient, retombaient en cadence »( LI pl 85) ; « Les talons tapaient la mesure »(L4 p185) Il Le portrait d’un héros mythique 1/ Selon quelles focalisations ce travail est-il décrit ? Au début de l’extrait le travail est décrit d’un point de vue externe car on ne fait que décrire ce que l’on voit « Il avait le jeu classique, correct, balancé et souple. » (L44p1 84). Puis le point de vue devient omniscient car on voit en lui « ce n’était pas de l’eau de vie que la Gueule d’or avait dans les veines, c’ét 2 OF s