lecture analytique de l’amant
Lecture analytique 1 : « je porte » jusqu’à « dans la ville » Problématique : Quelle traitement du souvenir ce texte propose t- l. Portrait de la jeune fille 1) Un portrait original – il est centré sur les vêtements : robe, chapeau, chaussure. -il n’est pas complet : elle ne décrit que ça tenue – s’y mêle objectivité et subjectivité : Objectivitén L. 1 « je porte une robe de soie naturelle » ou L. 4 « elle de ce bistre que prend la soie naturelle à l’usage » ; SubjectivitéC] fait apparaitre la pauvreté Swipe Lo nexL page L. u Sée » 2) la jeune fille et sa famille – les liens familiaux : I ère. Le chapeau c’e un or 3 « c’est ma mère qul to View – la pauvreté : « solde montre une certaine 3) un moment clef de sa vie s et la robe avec la x (mère et fille) L. 25 hanger les habits – évocation d’un bouleversement : passage de l’enfant au corps sexué « la petite » marque une distance entre le personne adulte et le personnage jeune ce qui montre le changement du personnage. L30 à 32 Oprises de conscience de la transformation de son corps.
L34 à 370 elle est devenu femme, son corps devie devient sexué, il devient attirant – les vêtements et la féminité : « décolleté » (féminité montré) t « chapeau d’homme « ceinture en cuir » montre l’ambigüité sexuel du personnage – l’originalité de ce personnage : l’originalité de la jeune fille est dans sa façon de s’habiller, ses chaussures, sa robe et son chapeau et donc dans son ambigüité sexuel et c’est ce qui lui pousse à croire qu’elle peut etre objet de désir. L27 à 28E]elle unique donc original Il.
Le traitement du souvenir 1) la mémoire d’un personnage -différents degrés de la mémoire donne un effet de réel : le souvenir, l’incertitude et l’oubli sont les 3 stades de la mémolre. Elle essai de donné de la réalité au souvenir et donc au personnage. La mémoire devient réel car elle est imparfaite. -construction d’une histoire à partir de bref moment : L9 « je parle du temps qui a précédé le collège de Saigon elle fait une allusion à une période passé comme si le lecteur connaissait tout, comme si la narratrice se parlait à elle-même.
L. 17-180 donne une histoire au personnage 2) Une mémoire visuel -le mot « image » : le souvenir est une succession d’image, elle décrit les imagés que lui propose la mémoire, -le mot « je vois » : tout ce qui est raconté donne l’impression ‘être vu au mom mémoire, d’être vu au moment où elle le raconte – emplois du présent de rlndicatif : la quasi intégralité du texte est au présent même les description passé, comme si au moment où elle raconte ses souvenirs elle les réactualise.
C’est un texte descriptif et non narratif 3) Remémoration ou création – les oublis de la mémoire : « je ne voit pas « je croit « comment expliquer cette achat », elle doute, elle essaie de se souvenir, la mémoire travaille en quête de souvenir – elle crée, ce texte autobiographique qui ce donne la permission ‘être un roman : L. 29-30 « voilà ce qui a dû arriver elle crée. ? Je ne vois rien d’autre que je pourrais porter alors je les porte »0 elle décide qu’elle les portait, c’est la puissance de l’écrivain Conclusion : Originalité du traitement du personnage. Elle utilise la description qui est un des moyens utilisés par les romans du XIXème siècle pour faire exister le personnage. La description de Marguerite duras est différente mais elle sert aussi à donner de l’épaisseur au personnage. Le souvenir est traité de la manière suivante ; se rappeler et raconter