L’eau

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à comparer aux 100 0 les eaux profondes d oc PACE 1 or 3 (volcans sous-marins r températures de cen L’eau Premium gy lordrenji I 01, 2014 3 pages La température de vaporisation de l’eau dépend directement de la pression atmosphérique comme le montrent ces formules empiriques : Pression normalisée dans la troposphère (0-11 km) : Point d’ébullition : Son point d’ébullition est élevé par rapport à un liquide de poids moléculaire égal. Ceci est dû au fait qu’il faut rompre jusqu’à 3 liaisons hydrogène avant que la molécule d’eau puisse s’évaporer.

Par exemple, au sommet de l’Everest, l’eau bout à environ 68 « C, to page éciproquement, nts géothermiques tteindre des r liquides. L’eau est sensible aux ortes ditt rentes de potentiel électrique. Il est ainsi possible de créer un pont d’eau liquide de quelques centimètres entre deux béchers d’eau distillée soumis à une forte différence de potentiel. Un nouvel « état quantique » de l’eau a été observé quand les molécules d’eau sont alignées dans un nanotube de carbone de nanomètre de diamètre et exposée à une diffusion de neutrons.

Les protons des atomes d’hydrogène et d’oxygène ossèdent alors une énergie supérieure à celle de l’eau libre, en raison d’un état quantique singulier. Ceci pourrait expliquer le caractère exceptionnellement conducteur de l’eau au trave travers des membranes cellulaires biologiques. À très faible concentration, l’eau peut transporter des signaux (ondes électromagnétiques produites par résonance, par les molécules composant certalnes séquences de l’ADN). Ce phénomène a été découvert avec un ADN bactérien de Mycoplasma pi um (souvent associée au VIH).

Il semble issu d’une résonance provoquée par le fond électromagnétique mbiant des ondes de très basse fréquence. L’ADN génomique de la plupart des bactéries pathogènes contient des séquences pouvant générer de tels signaux. Ceci pourrait conduire ? développer des système de détection très sensible pour des infections bactériennes chroniques dans les maladies humaines et animales. Radioactivité: elle dépend des métaux et minéraux et de leurs isotopes présent dans l’eau, et peut avoir une origine naturelle ou artificielle (retombées des essais nucléaires, pollution radioactive, fuites… – Elle est en France suivie par IIIRSN, y compris pour l’eau u robinet. L’eau est comme un fluide thermodynamique qui est : la Molécule d’eau. L’eau est un fluide thermodynamique d’usage courant, efficace et économique. L’eau a une densité maximale de 1 000 kg/m3 (soit 1 kg/’ ? l’origine la définition du kilogramme; exactement 999,975 kg/m3 ? 3,98 oc. L’eau a la capacité calorifique à pression constante la plus élevée de tous les liquides (75,711 4,202 6 ? 20 oc). Les océans sont de bons accumulateurs de (75,71 1 4,202 6 à 20 oc). Les océans sont de bons accumulateurs de la chaleur.

L’eau est stable en température jusqu’à une valeur élevée. L’eau est stable sous rayonnement dont le rayonnement neutronique. L’eau a la tension superficielle la plus élevée de tous les liquides (72 mN/m à 20 oc) à l’exception du mercure ; dans l’air humide la formation des gouttelettes est facilitée ; dans un tube capillaire l’eau monte ainsi que la sève dans les arbres. L’eau a la chaleur latente d’évaporation la plus élevée de tous les liquides (44,22 kJ/mol soit 2 454,3 kJ/kg à 20 oc) ; donc l’effet réfrigérant de la transpiration est efficace. L’eau a une chaleur latente de fusion élevée (6,00 kJ/mol soit 333,0 kJ/kg).

L’eau a une très faible conductivité de la chaleur (0,604 ? 20 OC). L’eau et la glace ont une couleur bleutée sous forte épaisseur. L’eau est transparente à la lumière visible ainsi les organismes aquatiques peuvent vivre car la lumiere du soleil peut les atteindre ; elle est cependant opaque au rayonnement infra- rouge absorbé par l’hydrogène, l’oxygène et leur liaison. La chaleur massique de l’eau est de 4 185 à pression normale. Elle est largement constante aux basses températures. La formule de Duperray fournit une bonne approximation dans la gamme de température entre 95 et 230 oc.