le sport

essay B

Intro L a France fait partie des nations les plus sportives. Le nombre de sportifs augmente. Car les jeunes veulent faire comme leurs idoles. Mais les sportifs de haut niveau sont confrontés à des dilemmes, des sacrifices durant leur carrière. Le sport n’amène pas que des bonnes choses. Le sport serait lié à la nature humaine. Les hommes des premiers âges ont su utiliser leurs capacités sportives pour survivre. Les sports actuels ne sont que la modernisation des anciens jeux traditionnels La compétition serait commencé à se mes En 3500 avant J. C le s guerriers.

Invention des « Jeux éroulent à Athènes. or 7 Sni* to View s chasseurs ont former des Les premiers jeux se A la base, on pratique le sport pour être en bonne santé. Pratiquer le sport au bout d’un certain temps et d’un certain niveau peut avoir l’effet inverse. Donc le sport à haut niveau n’est pas forcément bon. La pratique d’un sport à haut niveau peut provoquer la mort subite d’un sportif. Selon des spécialistes, le sport est toxique pour l’organisme. Le surentrainement peut favoriser le développement d’une arythmie cardiaque, peut rompre des vaisseaux sanguins, peut endommager des tissus du c cœur.

Le dopage c’est le fait de prendre des substances pour augmenter des performances physiques. Un sportif peut se doper pour améliorer l’oxygénation, la concentration, modifier la morphologie, augmenter la force Le dopage est dangereux pour la longévité et pour la santé. Commentaire redigée Ce sujet est pratiquement repris de celui d’Asie 2012 pour lequel il y a un corrigé-barëme officiel La forme exigée (article) et l’objectif poursuivi par le journaliste (détruire l’argumentaire des opposants et montrer l’intérêt des appareils de stérilisation) ne sont que des artéfacts dont je me asserai. ? vous de faire la transposition si vous en ressentez le besoin. La réalisation de conserves familiales et non seulement ancestrale, mais à ‘origine de la fabrication de conserves industrielles, mais il est clair que les industriels ont puaméliorer les techniques familiales en profitant de données scientifiques nouvelles afin de vendre un produit absolu sûr du point de vue de la santé. La connaissance des cycles de vie bactériens est loin d’être complète.

Si l’on prend l’exemple de la bactérie botulique Clostridium botulinum (doc 1), on sait cependant qu’il y a lternance de deux phases : la spore, forme très résistante ( 1. On s’intéresse au test des ions sulfate sur l’eau A (document 2). PAG » rif 7 spore, forme très résistante ( 1 . On s’intéresse au test des ions sulfate sur l’eau A (document 2). Entourer, parmi les quatre schémas ci-après, celui qui représente correctement le test des ions sulfate contenus dans l’eau A. > 2. pour le test des ions sulfate sur l’eau A, indiquer le réactif utilisé et le résultat observé, en vous aidant du document 2.

Question 2 Grâce aux résultats des tests réalisés sur les trois eaux A, B t C (document 2) et en utilisant les données du document 1, déterminer la région d’où proviennent ces trois eaux. Faire apparaître les étapes du raisonnement. Question 3 > 1 . En s’intéressant uniquement à la teneur en ions chlorure, sulfate et calcium, évaluer si le scientifique revenant du lac Victoria pourrait consommer, en cas de déshydratation, l’eau de ce lac. Proposer une argumentation à l’aide du document 1 et du document 3. 2. Envisager si la connaissance des résultats de ces trois tests suffit, d’un point de vue physico-chimique, à déterminer la potabilité d’une eau. Question 4 Proposer des critères (autres que physico-chimiques) devant être pris en compte pour déterminer la potabilité d’une eau. Interpréter les questions • La première question porte sur les tests des eaux de manière générale. La question 2. quant à elle, exige unraisonnement pour attribuer chaque eau testée à l’une des régions PAGF3C,F7 question 2. uant à elle, exige unraisonnement pour attribuer chaque eau testée à l’une des réglons indiquées sur la carte. • Les questions 3. et 4. s’articulent autour du thème de la Comprendre les documents • Le document 1 indique les concentrations des ions présents ans les eaux étudiées. Vous remarquerez que ces concentrations sont données en g • L-1 et non pas en mg • L-1 comme nous avons toujours Vhabitude de voir. • Le document 2 vous donne tout ce qu’il faut savoir sur les tests des ions et les résultats d’un certain nombre de tests sur les trois eaux étudiées. ?? Le document 3 donne les normes européennes de potabillté d’une eau. Organiser les réponses • Répondez rapidement à la question 1 . en vous basant sur le document 2. • La réponse à la question 2. demande une petite rédaction de votre raisonnement à partir des documents 1 et 2 ; soyez clairs. ?? Vos réponses aux questions 3. et 4. demandent à effectuer quelques conversions mathématiques des concentrations des ions du lac Victoria et exigent une démarche scientifique pour mener à bien votre raisonnement mais aussi des connaissances de cours.

Néanmoins ceci n’exige pas une rédaction très longue. CORRIGÉ . Question 1 > 1. a) La bonne réponse est le schéma (1) : il faut mettre peu d’eau à tester et utiliser donc un tube à essais et non un bech (1) : il faut mettre peu d’eau à tester et utiliser donc un tube ? essais et non un becher et y verser quelques gouttes, donc peu, e réactif également. > 2. pour tester les Ions sulfate dans une eau, on utilise une solution contenant les ions baryum. Un précipité blanc apparaît si l’eau testée contient des ions sulfate.

D’après les résultats des tests sur les eaux A et C, nous constatons que l’eau C contient en grande quantité les trois ions chlorure, sulfate et calcium tandis que l’eau A contient de fortes concentrations en ions chlorure et sulfate mais une faible concentration en ions calcium. Nous en déduisons, en comparant ces résultats avec les données du document 1, quel’eau C roviendrait de la mer Morte (très concentrée en trois ions testés) et l’eau A du Grand Lac Salé compte tenu du fait que ce lac a une teneur assez faible en ions calcium.

L’eau g donnant des tests négatifs aux trois ions, contiendrait une faible quantité de ces ions et proviendrait très probablement du lac Victoria. > 1. La consommation de l’eau du lac Victoria ne posera pas de problème en ce qui concerne les Ions calcium car les normes de potabilités du document 3 n’indiquent pas de limite à la concentration de cet ion. Il existe par contre une limite de concentration en ions sulfate (< 50 mg • L-1) mais celle de l'eau du lac Victo une limite de concentration en ions sulfate 250 mg • L-1) mais celle de l'eau du lac Victoria d'une valeur de 2 mg • L-1 est bien en dessous de cette limite.

De même pour les ions chlorure, la concentration de l’eau du lac étant de 20 mg • L-1 se trouve encore en dessous de la limite de potabilité pour ces ions qui est de 200 mg • L-1. L’eau du lac Victoria pourrait donc être consommée en cas de déshydratation par une personne. > 2. Les résultats de ces trois tests seuls ne pourraient pas suffire à déterminer la potabilité d’une eau. Il faut tenir compte aussi des concentrations des autres ions contenus dans une eau.

Celle-ci pourrait donner des tests négatifs aux trois ions cités mais être positive aux tests des autres ions (comme rlon sodium Na+ ou magnésium par exemple). Il existe de plus d’autres critères physico-chimiques comme la valeur du pH ou la teneur en pesticides dont il faut tenir absolument compte. Les criteres de potabilité d’une eau ne sont pas que physico- chimiques. Les critères microbiologiques doivent eux aussi être pris en compte pour qu’une eau puisse être qualifiée de potable. Il ne faut pas négllger non plus d’autres critères comme la transparence et l’odeur de l’eau qui constituent ses qualités gustatives.

NB les précisions en rouge n’étaient pas demandées dans la rédaction Question 2 Cochez uniquement la réponse exacte La mise en relatlon des informations apportées par ces deux graphiques permet de déduire que l’acuité visuelle est maximale dans la région de la rétine où sont présents : Uniquement des bâtonnets Uniquement des cônes Autant de cônes que de bâtonnets Moins de cônes que de bâtonnets Question 3 : les cônes S M L qui permettent la vision des couleurs nt des seuils de sensibilité très élevés, supérieurs à 1000 lux.

Ils sont donc inopérants de nuit pour un faible éclairage. Les objets tels que la Lune ne sont visibles que grâce aux bâtonnets dont le seuil de sensibilité est justement de l’ordre de 1 lux. L’objet nocturne est vu mais en nuances de gris et pas en couleur. Question 3 : les cônes S M L qui permettent la visi on des couleurs ont des seuils de sensibilité très élevés, supérieurs à 100 O lux. Ils sont donc inopérants de nuit pour un faible éclairage. Les Ob jets tels que la Lune ne sont visibles que grâce au ont le seuil PAGF3CF7