Le sport et sa valeur

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De la Libération à aujourd’hui, on assiste une complexité croissante des politiques du sport, onctueuse par une succession de Lois d’orientation impliquant davantage les fédérations sportives. Initialement, la transformation des modes d’action de l’État, l’engagement de diverses col électivité locales (principalement urbaines), a question du rattachement ministériel des sports et l’affirmation progressive d’un référeraient partagé sont des aspects déterminants pour l’analyse.

De nos jours, par-delà es ajustements nécessaires, la logique contractuelle engagée entre le pouvoir politique (ses administrations) et le mouvement associatif tend à affirmer un modèle – propre à la France – ui mérite l’attention du sociologue. ABSTRAIT. ? ni France, sport policier are caractérisée boy a spécifie trajectoire partir due toi thé central rôle historiettes pelade RÉ ca pp dé sept op (apr. réf as que Ira ego Fo sport, ni relation huit thé projet Fo a moderne anti démocratie société.

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L’approche proposée peut être identifié comme un contribution à la sociologie historique. Celle-ci, lors s’agit d’étudier l’action publique, gagne à s’appuyer acquis de la science politique et de la sociologie poli En outre, en optant pour une 438 Jean-Paul calcule démarche diachroniques, le sociologue s’engage, ch. faisant, sur des terrains de recherches qui ont pu duc eu à d’excellents travaux d’historiens.

Il ha là, potentiellement au moins, matière à de fructueux échanges autour des méthodes, des conclusions et formalisations proposées (hachez, 1998). En France, trajectoire dessinée par les politiques sportives, au décennies, tend à constituer un modèle singulier que suppose une uniformisation dynamique des logique Fo sport, ni relation huit thé projet Fo a moderne and démocratie société. sincère thé libération unité total, on canna teintes thé inciserais complexité Fo sport policier, ponctuaient huit successive las gouvernions sports.

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Celle-ci, lorsqu’ s’agit d’étudier l’action publique, gagne à s’appuyer sur les acquis de la science politique et de la sociologie politique. Marché diachronique 1, le sociologue s’engage, chemin faisant, sur des terrains de recherches qui ont pu donner lieu à d’excellents travaux d’historiens. Il a là, échanges autour des méthodes, des conclusions et des formalisations proposées (hachez, 1998).

En France, la trajectoire dessinée par les politiques sportives, au fil des décennies, tend à constituer un modèle singulier qui suppose une uniformisation dynamique des giclés expérience culturelle. Le rôle de l’État, lequel s’affirme avec les notions d’ « intérêt général » ou de « service public », fait lace – explicitement au cours de la vie République – à la notion de « délégation » de « mission(s) de service public » et à celle de « mission(s) d’intérêt général » accordées aux instances fédérales du Mouvement sportif préalablement agréées.

Par ailleurs, compte tenu de l’importance jouée par les fédérations d’associations engagées dans cette logique de contractualisions, il y a probablement une originalité française supplémentaire, assez nette, du fait sportif lui-même dans ses rapports à la puissance publique, comparativement à d’autres secteurs où celle-ci opère laque peu clôturée sur elle. Même. Nous avons choisi de ne pas traiter des politiques de l’éducation physique et sportive relevant stricts sensés du ministère de l’Instruction publique (devenu en juin 1 932 ministère de l’Éducation nationale).

L’institution scolaire, qui va se montrer longtemps réticente à l’introduction de la culture sportive conçue en termes de contenu(s) d’enseignement, n’apporte pas grand-chose à l’intelligibilité des politiques publiques du sport. Indiquons aussi que l’action de divers ministères et/ou secrétariats d’état, qui sont susceptibles e s’intéresser directement ou non au domaine des activités physiques et sportives (Défense, Santé, Ville, Tourisme, Justice, Environnement, etc.. , n’ pas été envisagée dans les limites de notre étude. Une première partie de l’article s’emploie à repérer un ensemble d’indices, antérieurs à l’armistice de la Grande Guerre, qui préfigurent à leur façon l’ébauche d’une politique sportive l’armistice de la Grande Guerre, qui préfigurent à leur façon l’ébauche d’une politique sportive nationale. Les 1.

Ce texte s’appuie en partie sur une exploitation des débats parlementaires, de la presse sportive ainsi que de vers dossiers conservés aux Archives nationales, initialement engagée dans le cadre de la préparation de plusieurs chapitres de l’ouvrage d’accompagnement de l’exposition Sport et démocratie (3 juin – 30 juillet 1 998) confiée par l’Assemblée nationale à Jean durer, Directeur du musée national du Sport.

Les politiques du sport en France deux autres parties traitent respectivement de la mise en place des premières politiques du sport (durant l’entre- deux-guerres) et des développements spectaculaires caractérisant l’époque suivante, en particulier sous la vie République. I.

Le rôle de l’État : héritages anciens et continuité historique A) L’État et la société civile, e sport S’agissant de la France, l’histoire de la société ne saurait être dissociée de la construction de l’État au point que des auteurs comme aberrant bâtie et Pierre brunirai s’accordent à considérer que ce pays incarne un modèle : « le type idéal de l’État « d’gués capte à lois SUIVI, de la Révolution française à napoléonien il et au régime gauloise, l’État a sans cesse étendu son emprise sur la société civile, s’est autonomies pour former un lieu clos, une immense échine administrative propre à dominer toutes les périphéries » (bâtie et brunirai, 1979, p. 191). La « grandeur culturelle de la France », par exemple, résulte, en partie au moins, du rôle décisif et séculaire joué par l’État du rôle décisif et séculaire joué par l’État en ce domaine.

Jean-miches Dijon indique qu’il faut remonter très loin en arrière « pour comprendre le mécanisme d’appropriation du pouvoir culturel que les monarques auront légué à leurs successeurs, qu’ils soient empereurs ou républicains » (Dijon, 1997, p. 53). Il est éclairant de rendre compte de la harmonisation progressive de la gymnastique moderne, militaire ou scolaire, sous cet angle, à l’échelle du sexe siècle. De même, il est tentant de vérifier si le fait sportif, bien qu’ayant une inscription plus limitée dans le temps ( partir des années 1880), n’ pas connu un traitement analogue, une histoire similaire marquée par le rôle décisif de l’État.

En France, l’éducation physique des corps, aux implications directes en matière d’éducation de la ‘unisse, de préparation militaire, d’hygiène et de santé, en particulier, ne pouvait laisser indifférente la puissance étatique, seule détentrice légitime de l’usage du pouvoir dans les secteurs qui viennent d’être identifiés. Cette remarque générale tend à confirmer que, pour les domaines mentionnés, l’autocratie – ou autopsies – voire l’autonomie de développement de ceux-ci sont systématiquement infléchies par la présence de ‘État. Pour autant, un domaine comme le sport ne peut être réduit une mise sous tutelle progressive opérée par l’État.

Déjà, au tout début des années 1920, qui voit se mettre en place différentes politiques sectorielles, la genèse des politiques obliques sportives croise une autre histoire : celle de la : celle de la pratique associative des sports, engagée dans les années 1 880, manifeste une dizaine d’années plus tard et redéfinisse avec l’entrée en vigueur de la loi du er juillet 1901 portant sur le contrat d’association. Composante importante de la société civile et soucieux de son autonomie, de son indépendance, l’excommunications sportif va permettre à l’État, puis aux collectivités territoriales, d’inventer les fondements d’un nouvel espace d’intervention, de concertation et de coopération, voire de industrialisation autour du sport. A propos de la France, Pierre résolvant a raison de souligner qu’il ne faut pas enfermer l’analyse dans une vision trop globale et exagérée de la « tradition étatique et centralisatrice ».

Selon l’auteur, il est indispensable d’identifier des figures de base, des « figures clefs » « qui constituent autant de modalités spécifiques du rapport État-société » (résolvant, 1992, p. 1 5), permettant ainsi de caractériser diverses phases. L’État opère entre autres comme une forme d’institution du social, produisant de l’interaction, du lien social et de ‘unité. Dans le cas du sport, il ne peut que rencontrer le Mouvement associatif opérant un peu à la façon d’un corps intermédiaire tout en étant capable de défendre pour lui-même des valeurs cardinales. Cette réalité s’accorde avec l’analyse d’ensemble développée par P. résolvant.

De même que l’éducation et la culture sont plus que de simples domaines de l’action de l’État mais, pour une large part, « la raison même d’être de cet État » (ibid.. , p. 110) – signe tangible d’un État jacobin opérant comme unique lieu possible de définition de l’intérêt général – anguille d’un État jacobin opérant comme unique lieu possible de définition de l’intérêt général -, le sport connaît un traitement analogue (pour l’éducation sportive des jeunes, pour les filières de haut niveau, par exemple). Pour autant, l’élaboration des valeurs et la circulation des images et des symboles destinées à construire cette réalité sont partagées entre l’État (entendu ici comme forme pool (tique et non directement comme système administratif) et le Mouvement sportif associatif.

L’État développe un discours « rationalisation », parfois contrarié, ponctuellement, et avant composer avec les résistances de la société, des intérêts sectoriels contradictoires ou une certaine prudence politique. 441 B) Le prestige de la nation française face à l’ennemi héréditaire Dès lors que le sport est perçu comme engageant le prestige de la nation, on constate qu’avec les revers de fortune, certains porte-parole du « monde sportif » s’en remettent à la nécessité d’une intervention étatique. Un événement sportif antérieur à la mise en place des politiques sportives est éclairant pour comprendre comment la sensibilisation de l’opinion publique est susceptible d’opérer en ce domaine. Les résultats obtenus par les athlètes français à l’occasion des Jeux olympiques de stockions (1912) sont particulièrement médiocres.

Dans le journal L’Opinion, « au lendemain de notre défaite aux Jeux olympiques », un journaliste agrégé de l’Université, égorges rouez, s’interroge sur la façon de constituer une élite sportive formée au sein d’une formée au sein d’une institution hautement spécialisée, une « École française de l’Éducation physique et des Sports », « considérant enfin que désormais la valeur sportive d’une nation ajoutera, d’une façon qui n’est point égalable, à ses autres prestiges, à sa valeur sociale proprement dite, et qu’il faut ou bien ne plus affronter les Olympiades ou bien y faire la meilleure figure possible ».