Le sacre du roi

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Le sacre est une cérémonie religieuse conférant à un ouvrerai un caractère sacré, parfois même divin, le dise?engluant ainsi des autres laïcs, elle diffère de la cérémonie du couronnement. De nombreuses personnalités sont présentent lors du sacre du roi. Le roi, est un chef d’État qui exerce une autorité légale et légitime, cet État a le titre de royaume. AI exerce un régime politique nommé la royauté. Le roi a un statut très spéciale au sein de son royaume, sa position et son rôle sont plutôt ceux d’un arbitre ou de maître de jeux.

Ainsi, comment s’organise la liturgie du sacre religieux et quelles sont les conséquences qui en résultent sur les ouvroirs royaux ? Il importe ici de montrer les origines et l’organisation de cette cérémonie religieuse (l) et les pouvoirs qui sont, par le premier boy jabler baffle 16, 2009 | 14 pages Le primer sacre de France est celui du maire du Palais, ceux d’un arbitre ou de maître de ?eux. Sacre conférés au roi. (AI) l. La créer cérémonie religieuse du sacre Pépin le Bref, réalise en 751 le premier sacre royal qui lui permet de se légitimer aux yeux du peuple.

A partir de ce moment-là, le sacre a pris une forte valeur politique qui s’est développée jusqu’ règne de lois hier le Pieux, de 76 à 840. A) L’histoire et la liturgie du sacre {texte:listes-item} a. Les origines du sacre : Le sacre a des origines très anciennes, en effet, il fait référence au « Livre des Rois issu de la Bible, où l’on raconte l’onction du saint charme par le prophète assume, sur la tête de « saule », qui fut le premier roi hébreu, puis sur celle du roi d’israélien dévia (X me siècle avant Jésus- Christ).

Malgré ses origines bibliques, le sacre fut repris par les Byzantins qui en firent une cérémonie laïque. Ce sacre fut ensuite imité par les prêtres assignons. Bu. Des changements avec le temps . Le dimanche 28 juillet 754, à l’abbaye royale de Saint- dénis, tienne Il en personne sacre une nouvelle fois Pépin le Bref. Ses fils et héritiers, cormoran hier et chargement, tous deux futurs rois, sont aussi sacrés par la même occasion. Leur mère, bravade de Laon, reçoit la bénédiction du souverain pontife.

A la différence, chargement fut sacré en 800 à orme, il reçut seulement le couronnement, c’est-à-dire que le pape lui a remis les régalerai mais n’ pas pratiqué l’onction. Enfin, Pépin le Bref se fit acclamer après avoir été sacré, ce qui s’opposa au couronnement de charme Pépin le Bref se fit acclamer après avoir été sacré, ce qui s’opposa au couronnement de chargement. Le sacre de lois le Pieux marqua ainsi un grand changement dans sa conception, car le 5 octobre 816, il inaugura le premier sacre sur le lieu de Reims, où se fut baptisé le premier roi franc closes.

Il réunit alors les deux cérémonies qui étaient jusquiames distinctes, c’est-à-dire le couronnement et l’onction. Le rituel du sacre, connu par les livres liturgiques, s’est progressivement enrichi du axe au soie siècle. À ses débuts, la cérémonie ne comprenait qu’une onction sur le front du roi. Avec le sacre de charges le Chauve Metz est apparu le serment en faveur de ‘Église. Outre la couronne et le sceptre, d’autres insignes ont été remis au souverain, comme l’épée et les éperons empruntés au axée siècle.

Le serment sur les hérétiques a été introduit après 1215 en exécution d’une décision du vie concile du latéral. {texte:listes-item} a. La liturgie Le rituel du sacre avait lieu, sauf très rare exception, un dimanche ou un jour de fête, se fut le cas pour chargement qui fut sacré à Noël. Le roi arrivait le samedi Reims, il était reçu dans le palais des évêques, qui était converti pour l’occasion en résidence royale. Un peloton, composé de gardiens et de délégué de la suite royale, surveille les portes de l’église pour que la cérémonie puisse commencée.

En réalité la cérémonie commençait la veille au soir par une la cérémonie puisse commencée. En réalité la cérémonie commençait la veille au soir par une veillée de prière. Le roi passait donc une partie de la nuit dans la cathédrale, il devait se préparer à la cérémonie, se pénétrer de ses devoirs et demander e pardon de ses fautes. Vers minuit il se confessait, l’absolution ne devant lui être donnée que le indemne, au moment de la communion. AI regagnait ensuite la résidence des évêques pour se reposer.

Le matin venu, les chanoines s’installaient dans le c?Ur pour chanter, et on ne laissait rentrer que le roi, le clergé, les nobles, l’archevêque, les évêques et ceux qui possédaient une autorisation « qu’us interrompirent évoluerait » comme les pairs et les prélats du royaume, qui s’installaient autour de l’autel. La foule restait sur le parvis, c’est à dire la place devant la cathédrale. L’archevêque attendait le roi devant l’autel, lui désignait son fauteuil au milieu du sanctuaire.

Les moines de Saint remis et leur abbé arrivaient, l’archevêque allait à la rencontre et récupérait la Sainte Ampoule. Le reste des régalerai était posé sur l’autel. Ensuite, le roi devait prêter serment. Le serment aurait été fait par certains rois sur le « Texte du sacre », il s’agit d’un manuscrit, un évangéliser d’origine slave qui fut acquis par l’archevêque de Reims, au milieu du sève siècle. À partir de français Il, certains rois de France auraient prêté serment sur cet évangéliser lors de leur sacre à Reims.

Le conte certains rois de France auraient prêté serment sur cet vanillier lors de leur sacre à Reims. Le contenu du serment prêté par le roi est assez vague, en résumé il promet d’assurer la protection de l’Église et de ses biens. AI promet également de préserver l’ordre social voulu par Dieu et de rendre la justice, donc de procurer la paix l’Église et aux peuples chrétiens, et depuis latéral AV, de combattre les hérétiques. L’abbé de Saint-dénis apportait les insignes de chevalerie, qu’on allait remettre au roi.

Le grand chambrer ou plus tard le grand chambranle le chaussait de sandales de pourpre, semées de lis. Puis, le duc de Bourgogne ou plus arda un grand seigneur remettait l’éperon d’or et l’archevêque de Reims lui remettait l’épée qui était portée par le essences pendant la cérémonie. L’archevêque ouvrait ensuite la Sainte Ampoule et en tirait une goutte d’huile miraculeuse, à l’aide d’une aiguille d’or, qu’il mélangeait ensuite avec un autre charme préparée spécialement pour le sacre du roi.

Le roi se dévêtait et l’archevêque procédait ensuite à l’onction sur sept endroit différents du corps : sur le haut de la tête, sur la poitrine, entre les épaules, sur l’épaule gauche, sur l’épaule droite, Ur la jointure du bras gauche puis du bras droit, et après s’être revêtu, sur les paumes des mains. Le roi devient ensuite « l’ont du seigneur ».

L’archevêque vêtait ensuite le roi d’une tunique de pourpre et d’une ch. madame, lui donnait L’archevêque vêtait ensuite le roi d’une tunique de pourpre et d’une achalandé, lui donnait le sceptre et la verge, le couronnait pendant que les pairs et les prélats du royaume lui faisait ovation, et le conduisait sur une estrade afin d’être vu de tous. Après la messe de couronnement, il recevait les sacrements, une couronne plus légère et ainsi paré il se inédit sur le parvis afin d’ rencontrer la foule. . Les attributs de la royauté Les attributs de la royauté, autrement dit les régalerai sont un ensemble d’objets symboliques de la royauté. Ces régalerai sont préservées précieusement comme des trésors. Jusqu’ a Révolution, les régalerai des rois de France étaient conservés dans le Trésor de l’abbaye de Saint- dénis. On les classent en trois catégories : les instruments liturgiques, les vêtements royaux et les instruments du sacre.

En France, parmi les instruments liturgiques, on trouve le Calice de Saint remis ou le Calice du sacre, qui est un objet ‘orfèvrerie que l’on utilise pour le sacre du roi, on trouve également la Coupe des potelées utilisée comme calice pour e sacre des reines. Puis, on trouve la Patène en serpentins utilisée également pour le sacre. Enfin, on trouve les livres du sacre : « évangiles » et « ordre » ainsi que la Sainte Ampoule, il s’agit d’une fiole contenant de huile sacré qui servait à l’onction.

Parmi les vêtements royaux, on trouve les éperons du sacre qui sont des instruments qui se fixe s les vêtements royaux, on trouve les éperons du sacre qui sont des instruments qui se fixe sur la cheville du cavalier. Il ‘agit d’une aide artificielle qui prolonge l’action de la jambe en la renforçant et en la rendant plus précise. Puis, on trouve « Joyeuse », l’épée de chargement, ainsi que la couronne du sacre qui remonterait à chargement. Enfin, on trouve les gants du sacre. Parmi les instruments du sacre, on trouve la Main de justice, dite de Licorne.

Elle indique que le roi peut rendre la justice. Elle avait aussi un pouvoir religieux, chaque doigt de la main représentait quelque chose : le pouce représentait le roi, l’index représentait la raison, le majeur représentait la charité et les deux derniers représentaient a foi catholique. Les trois doigts ouvert symbolisaient également la trinité. Puis, on trouve le sceptre de dégoter, puis celui de charges V ou de chargement. Le sceptre étant un bâton ornementale ressemblant à une masse d’armes. De plus, on trouve l’anneau qui incarne l’union du roi et de son peuple.

Enfin, on trouve la fleur de Lys que l’on retrouve sur les armoiries de roi de France et sur le manteau du sacre. Pendant la Révolution française, la plupart des régalerai ont été fondus. Quelques rares pièces ont été conservées, au louver pour la plupart d’entre elles. B) Les acteurs du sacre texte:listes-item} a. Le rôle de l’archevêque : Un archevêque est un ministre religieux ordonné appartenant a. Le rôle de l’archevêque : appartenant à l’ordre épiscopal, mais bénéficiant d’une primauté d’honneur sur les évêques suffisants.

ces un prélat qui bénéficie d’une dignité supérieure celle d’un simple évêque. La grande majorité des archevêques catholiques sont aussi métropolitains, c’est- dire à la tête d’une province ecclésiastique. Cartothèque détient, d’une part la juridiction spirituelle sur son diocèse que l’on appelle ainsi un orchidées, et d’autre part, un errait droit de regard sur les évêques de sa province. Son rôle est essentiellement d’organiser la coopération entre les diocèses, mais il n’ pas d’autorité sur les diocèses de sa province autres que le sien qui sont appelés les diocèses suffisants.

silo est métropolitain, son insigne propre est le pallier, c’est une bande de laine blanche ornée de croix noires, qui lui est personnellement conférée par le pape. Certains archevêques métropolitains jouissent également du titre de primat, qui leur garantit une juridiction théorique sur plusieurs provinces. De plus, les archevêques gardent leur titre réchappions toute leur vie, y compris lorsqu’ sont transférés à des sièges n’ayant pas ce rang : ils ont alors le titre d’archevêque-évêque.

Durant le sacre du roi, l’archevêque avait un rôle primordial, mais il était assisté. Bu. Les fonctions des cinq évêques : Lors du sacre, l’archevêque de Reims e assisté. Lors du sacre, l’archevêque de Reims est assisté par 5 évêques suffisants, c’est à dire qu’ils dépendent de lui. Le premier des évêques est l’évêque de Laon qui avait pour fonction de porter la Sainte Ampoule, le second évêque est l’évêque de langées qui portait le sceptre.

Puis, il y avait l’évêque de Beauvais qui portait et présentait la cotte d’armes, qui est un vêtement de tissu épais porté au dessus de l’armure dès le soie siècle. De plus, il y avait l’évêque de calons qui portait l’anneau royal, et pour finir il y avait l’évêque de noyons qui portait le baudrier, qui est une bande d’étoffe ou de cuir, ceinte en écharpe, servant porter un sabre, une épée ou le ceinturon. En plus de l’archevêque et des évêques, lors du sacre, sont présents des abbés et des pairs. 2) Les autres acteurs du sacre .