Commentaire Erec Et Enide Pdf

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[MAITIA VALIA L2 CLE ERASMUS] COMMENTAIRE COMPOSE 25 Novembre 2014 Erec et Enide v. 6823-6950 Le passage qu’on va analyser c’est la scène finale de l’œuvre Erec et Enide, premier roman arthurien de Chrétien de Troyes. Erec, après qu’il est sorti vainqueur de la Joie de la Cour, la dernière et la plus périlleuse des éprouves qu’il a dû affronter, il retourne avec sa fem Guivret à la cour du r père, le roi Lac, dont prendre la place, il d passage en question or E Sni* to View de la mort de son le couronner roi.

Le ans lequel l’auteur d crit le couronnement d’Erec et d’Enide et la grande fête qui leur fait toute la société arthurienne, et elle a lieu à Nantes le jour de Noël. Cette scène peut être considérée comme l’apogée et la conclusion idéale du destin des jeunes époux, si on considère notamment ce roman comme un sorte de « roman d’apprentissage » du couple lui-même. Cet épisode peut être aussi vu comme un compendium des valeurs courtois qui Chrétien de Troyes a voulu nous montrer pendant tout le roman.

Or, on va montrer comment cette scène représente l’apothéose es valeurs de la société courtoise au XIIe siècle, en considérant cette cérémonie comme une des réalités sociales du Moyen âge, comme un moment de liesse et de largesse dans la cour et finalement comme l’étape qui sanctionne la réinsertlon du couple d’époux dans la société courtoise. La cérémonie du couronnement est une réalité sociale mise en roman, une étape nécessaire et très important pour ceux qui devaient devenir des souverains au XIIe Siècle.

La société aristocratique arthurienne « des grandes gens et des menues » s’est toute éunie pour cet événement et Chrétien de Troyes il dit explicitement que « Unques ensamble ne vit nus/tant rois, tant contes ne tant dus … Y. Contrairement à ce qui advint dans le cas de le mariage entre Erec et Enide, dans la cérémonie du couronnement «Onques n’i pot entrer vilains » et ce fait souligne la réel importance de cet épisode, réservé à la seule élite aristocratique et au haut clergé.

Chrétien de Troyes en effet il s’attarde à énumérer les représentants de cette dernière classe; à partir des abbés et des prélats jusqu’à l’ évêque e Nantes, et il fait ça pour mettre en évidence le caractère tout à fait sacré de cette cérémonie, qui en plus est célébrée le jour de la Nativité, comme advint pour Charlemagne au IXe siècle. Et comme cette cérémonie est le reflet d’une réalité sociale, Chrétien de Troyes la décrit avec une pléthore de détails.

D’abord on assiste au sacre du nouve sociale, Chrétien de Troyes la décrit nouveau roi par l’évêque de Nantes qui ont Erec et qui lui pose la couronne sur la tête. puls il reçoit le sceptre, qui lui est donné par e oi Arthur lui-même. Après le sacre d’Erec, on assiste au couronnement d’Enide et la scène se déplace dans Péglise épiscopale où les nouveaux souverains assistent à la messe et le servise » et à une procession, où des moins portent « o reliques et o tressors » pour les présenter aux souverains.

Enfin toute l’assemblé de la noblesse retourne au palais pour le repas. La fête s’acheve avec le congé de l’assemblée par le roi Arthur qui offre des dons ? tous les invités. Pendant cette magnifique fête, toute l’assemblée est réunie «a rant joie et a grant planté La société aristocratique arthurienne est toute réunie et elle vive un moment de grande liesse.

Par exemple on voit que les parents d’Enide « de joie veissiez plorer » et «must estoient ambedui lié On le voit aussi dans le repas quand tous les invités peuvent « assez orent et sans [MATTIA VALIA U CLE ERASMUS] dangier,/ a grant joie et a grant planté » et pendant la procession des moins où « de chanter n’i ot pas po fait On voit que cette liesse est toujours accompagnée par la richesse, l’opulen