le royaume des mort exposé

Tirésias -Ulysse, toi ici ! Mais tu es fou de venir dans le royaume des mort ! Ulysse -j’avais besoins de tes prédiction. Tirésias : -bon donne-moi du sang de l’animal que tu as sacrifié pour que je te dise ton avenir. Ulysse (remplissant une coupe): -tiens, bois vite tu pense que tu va rentrer paisiblement chez toi mais Poséidon n’a pas oublier que t Peut-être que allez v beaucoup souffrlr. Il faudra que tu sois f arriverez sur l’ile du t Sni* to View bord vous allez surtout quand vous tée de tuer des bœufs du troupeau d’Apollon.

Mais ton sinon bateau disparaîtra et ton équipage mourra si vous touchez a un de ces bœufs tu éussiras peut-être a rentré chez toi mais ce seras après plein de souffrance et dans un état misérable . si tu n’y touche pas, alors, vous regagnerez Ithaque . Mais quand tu seras enfin chez toi, tu découvriras que des nobles de ton pays te prennent tout ton argent et veulent épouser ta femme. Ulysse (pas content): -des que je serai rentré je les tuerais, ils n’ont pas le droit de courtiser ma femme. je sais que tu te vengeras d’eux Ulysse : -oh ! Mère, que faite vous là ? ne me voyez donc pas ? – donne lui du sang de ton sacrifice et elle te verra. Ulysse • -D’accord, je vais remplir un verre La mère (après avoir bu le verre): -Tu es vivant Ulysse ? Pourquoi es-tu au royaume des morts ? Tu viens d’Ithaque ou tu n’as pas encore revu ta famille ? -je suis venu ici pour consulter le devin Tirésias. et je pas encore revu Pénélope et Télémaque Mon père, est- il encore vivant ? t mon fils, a-t-il le pouvoir ? ma femme m’est-elle restée fidèle, a-t- elle des proJets ? La mère : -Pénélope t’aime encore de tout son cœur et elle souffre de ton absence jour et nuit. La belle ile d’Ithaque n’a pas de nouveau maître et ton fils s’occupe en paix de ton pays. Ton père vit aux hamps, loin de la ville, l’hiver vêtu de misérables vêtements et l’été et l’automne, triste, il s’en va dans les vignes pour prendre des feuilles et se faire un lit.

II espère tant ton retour Son chagrin est immense. Si je suis morte, ce n’est pas à cause de la maladie… c’est parce que tu me manquais et que je me faisais du souci pour toi. Ulysse (essayant de l’embrasser): -Maman, pourquoi est-ce que tu renfuies quand je veux t’embrasser ? -quand ta mere est morte, son âme a quittée son Corps qui était en train de se dématérialiser -pff, J’aurals voulu te faire un dernier bisou PAG » OF d