Le guerrier de capestrano
Mais cette fascination est doublée de problèmes d’interprétations auxquels se livrent les spécialistes et qui rendent cette sculpture difficile à cerner. Nous verrons en oui ce Guerrier de accepteras est sujet à de si diverses interprétations et quel est son véritable rôle en tant que statue funéraire. Dans une première partie nous dresserons une fiche technique de la statue, dans une seconde partie, nous approfondirons la description de cette statue et nous nous focaliserons sur les divers problèmes d’interprétations qui tournent autour de cette statue.
Développement : -lieu de conservation : le guerrier de accepteras est actuellement conservé au Musée national archéologique des abruptes à achète ( totalement à l’opposé de orme qui premier boy stériliser 1 empâta 23, 2011 8 pages rivière de l’aquilin située dans la région des abruptes, Problématique : est situé à l’Ouest, mais au même niveau que orme) – numéro d’inventaire : inconnu (? – état de conservation (antérieur et actuel) : état antérieur, état de découverte : sculpture brisée en endroits (jambes, casque,lances) état actuel : sculpture restaurée, malgré la présence de quelques lignes de brisures au niveau des pieds, au niveau des montants de lances qui soutiennent la statue sur les flancs. – contexte de découverte : la statue fût découverte dans la province d’aquilin en 1934, mise au jour suite à des fouilles e la nécropole située aux pieds du bourg de accepteras (d’où l’appellation de la statue).
Les fouilles furent dirigées par aiguisée miroite. Ce fût un paysan qui fit la découverte, une découverte d’ailleurs fortuite alors qu’il labourait un terrain pour préparer une vigne. Ajoutons que’ cette découverte, un torse féminin en pierre calcaire fût aussi mis au jour (exposé aux côtés du Guerrier de accepteras). – particularité de la découverte : la statue est la découverte la plus ancienne faite à abrogez. – dimensions : MM de haut (sans la base), MM (avec la asa), 1 MA de largeur (au niveau des épaules) et 70 cm de diamètre au niveau du casque. Matériaux : pierre calcaire – outils : sans doute des outils utiles à la taille de la pierre (ciseau, pointe, gredine, burin… ) – techniques de mise au point : sculpture du marbre, polissage, usage de peinture car traces de polychrome bien visibles (brunâtre-rougeâtre). Description ? La statue funéraire du Guerrier de accepteras se présente de la façon suivante : – Le guerrier de accepteras adopte une pose statique, voir rigide. Au niveau des proportions, I guerrier de accepteras adopte une pose statique, voir égide. Au niveau des proportions, le canon du personnage est respecté à savoir 8 têtes.
Mais, possède un physique assez inhabituel, comme on le voit au niveau de la taille et du bassin. Ce qui lui donne une apparence assez endogène. – Sur la tête il porte un casque plat à bords aussi larges que ceux d’un « sombrero » espagnol, et qui était sans doute surmonté d’un écimer. Ce casque plat ressemble à un « chapelle », copie conforme de chapeaux de civils grecs l’époque classique, mais en bronze ; datant du femme siècle av. J-C. Le visage, presque inexpressif, ressemble à un masque. Le cou est protégé par un large collier. Le guerrier porte une sorte de tunique par-dessus laquelle des courroies (sans doute en cuir) passent sur les épaules et entourent le torse et le dos qui sont affublés de plaques circulaires, des cardiographie, des plastrons de bronze censés protéger « le c?Ur » d’où le nom qu’on leur donne. AI en existe aussi de forme terrible sur les armures dites « saintes ». Le terme de « cardiographie » est une appellation grecque. – à une sorte de baudrier sont fixés une épée à poignée ciselée et une dague retenues contre le corps par les bras repliés du guerrier. Au main droite tient une hache. – la taille étroite du guerrier est serrée par un ceinturon auquel est fixée une pièce de cuir qui protège le ventre et les parties génitales appelée « imita – les tibias du gué pièce de cuir qui protège le ventre et les parties génitales appelée « imita – les tibias du guerrier semblent protégés par des chemines et il semble porter des sandales aux pieds. – de part et d’autre du guerrier se trouvent deux javelles sculptées en bas relief sur les montants, ainsi qu’une inscription sur le montant droit.
Identification : Selon les interprétations de l’inscription sur a lance droite, la statue funéraire est l’?ouvre d’un certain NAINE, dédiée au roi envie pompier. Cette inscription serait écrite en langue sud-épicurienne Datation : cette statue funéraire daterait des environs de la moitié du veine siècle avant J. -C Rôle : au vu du contexte de découverte de la statue dans une nécropole , on pense que cette statue se trouvait sur le sommet d’un tumulus de terre qui recouvrait une tombe. Hélas aucune trace d’une tombe liée à cette statue ne fût découverte.
On peut tout de même rappeler les divers rôles d’une statue-stèle funéraire: La présence de cette statue très représentative, servait sans doute à situer la tombe du personnage. – La représentation détaillée rappelait approximativement l’apparence du défunt pour entretenir le devoir de mémoire et l’inscrire dans l’histoire. – La taille imposante de la statue, ses attributs et sa décoration détaillée, indiquait sans doute le rang hiérarchique élevé du défunt. – Cette statue aurait peut-être servit dans des rituels liés au culte culte des morts.
Les mystères tournants autour de la statue : – le casque ressemblant à un « sombrero » espagnol. C’est n casque d’apparat assez ostentatoire à bords très larges, peut-être même exagérément larges. On pense que les casques d’origine, devaient être beaucoup plus petits. – le mystère du « masque funéraire » : masque ou visage ? VISAGE : l’hypothèse d’un visage est peu probable, les traits sont beaucoup trop appuyés et anguleux. MASQUE : expression figée, yeux globuleux, emplacement des oreilles n’est pas exact car, elles sont placées trop hautes de plus elles ne ressemblent pas à des oreilles !
Les oreilles rondes ressemblent à des cache-oreilles ou une extension du masque couvrant les oreilles. Les inscriptions au niveau de la lance droite, seraient une dédicace en langue italique de type « sud-épicurienne ». – la statue d’un homme représenté dans son contexte funéraire ? Selon le philosophe latin bouche (480-525) qui s’est intéressé à cette statue => L’hypothèse de la présentation du personnage dans un contexte funéraire avec le masque funéraire, ainsi que la richesse des attributs (vêtements, armes, bijoux) que porte le guerrier ne serait pas à exclure.