Le D Me De Florence
Le dôme de Florence Sommaire 1- Présentation du monument 2- Les travaux de Brunelleschi 3- Les techniques utilisées a) Des contreforts invisibles b) Spirales en arêtes de poisson Lexique (le dôme de Florence) Bibliographie Sni* to View 1. Présentation du monument La construction du Dôme de Florence est l’un des éléments fondateur de la Renaissance. C’est à la fin du XIIIème siècle que le Conseil de la Ville prit la décision de remplacer la vieille cathédrale Santa Reparata par un bâtiment à Fimage de Florence .
Le projet e construction fut confié à l’architecte Arnolfo di Cambio, mais à sa mort en 1302 le chantier fut à peine commencé. En 1334 1’architecte Giotto reprit le chantier, mais ses travaux se sont limités essentiellement au campanile. L’élévation de la cathédrale restait problématique jusqu’à l’intervention de Filipino hauteur 42 mètres, qu’il eut l’idée de la construction du dôme de florence sans échafaudage c’est-à-dire au-dessus du vide. our cela il pose au-dessus des fenêtres une série de 24 contreforts* qui constituent le « squelette» de la structure et ui assurent le maintien du dôme (nous verrons cela en détail dans la partie trois). Le dôme, lui-même, est construit par des cercles de pierres, qui reposent les uns sur les autres, et dont les diamètres se réduisent au fur et à mesure que l’on se rapproche du sommet. pendant la construction de Pédlfice Brunelleschi a dû falre face à deux forces majeures : la compression verticale qui crée un écrasement et la poussée latérale qui declenche une rupture ? l’écartement.
Pour avoir l’équilibre entre les deux, il a eu l’idée de onner au dôme une forme légèrement pointue au sommet ce qui assure une meilleure répartition du poids. En 1446, Brunelleschi meurt en laissant dernière lui le projet pratiquement achevé, il lui manque un clocher qui sera ajouté en 1464. Au-delà de ses 45. 5 mètres de diamètre, le dôme surpasse les 42 mètres du panthéon romain. 3. Les techniques utilisées Les deux principales techniques utilisées pour la construction du dome sont les contreforts invisibles et les spirales en Spina Pesca autrement dit arêtes de poisson.
Sopposant à des contrefo PAG » rif d ce qui aurait nui à la des contreforts à l’extérieur ce qui aurait nui à la beauté de l’édifice, Brunelleschi va élaborer tout un dispositif pour compenser cette absence. Brunelleschi dit « On fera 24 contreforts, dont 8 dans les angles et 16 sur les pans ; ils devront assembler les deux voûtes et se rétrécir en proportion égale jusqu’en haut de l’ouverture fermée par le clocher Les deux voûtes sont les deux arcs de cercle qui compose le dôme.
Après avoir défini les tailles de tous ces éléments et leurs emplacements, il ajoute : « Mais le premier cercle sera renforcé ar des pierres longues, de façon que les deux voûtes de la coupole reposent sur ces pierres. Toutes les 12 brasses* environ, en hauteur, il y aura des petites voûtes d’un contrefort à l’autre » Ces « petites voûtes » permettent de renvoyer la pression des huit grands contreforts de la même façon vers les 16 autres afin de répartir Pensemble du poids de la surface qui devient ainsi portante.
Et il termina : « sous ces petites voûtes, d’un contrefort à l’autre, il y aura de grosses chaînes en chêne pour assembler les ontreforts et entourer la coupole Les contreforts seront tous construits en pierre de taille et pierre résistante » Ainsi il compara son édifice a un corps humain composé « d’os et de chair » : Les os sont Ici les 24 contreforts, les tendons sont les chaines en chêne et les muscle sont les briques.
Le concept utilisé par Brun et les muscle sont les briques. Le concept utilisé par Brunelleschi sera la disposition des briques dite en arêtes de paisson, une technique héritée des Étrusques* L’arête de poisson se forme en alternant dans un intervalle égulier, une pose horizontale de brique avec une pose verticale. Ces intervalles réguliers sont élevés en bas mais diminuent en montant pour disparaître au sommet.
De cette façon se forment de grandes spirales de briques qui traversent les murs et les contreforts du dôme. Cette technique sert à converger les briques du haut en un sommet. Ce procédé permet d’induire les propriétés d’une sphère, et notamment la solidité de sa membrane portante, sur les pans* fragiles de la coupole. Blibliographie Internet : http://v. mw. insecula. com/musee/M0205. tml http://florence-tourisme. com/duomohtml http://sante. lefigaro. r/actualite/201 0/08/06/10352-co mm ent-tient -dome-florence Ouvrages : Chalifoux, Benoît : Réflexions sur le dôme de Brunelleschi, 2003, Médiathèque de Strasbourg Lexique : -Contreforts : Pilier servant d’appui et de renfort à un mur. -Brasse : La brasse est une ancienne mesure de longueur correspondant à l’envergure des bras. -Etrusque : Les Étrusques sont un peuple qui vivait en Étrurie, territoire correspondant à peu près à l’actuelle Toscane. -Pans : Partie d’un mur.