Le Cri De Munch

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Le Cri En quoi ce Cri exprime-t-il la peur et le désarroi ? Celle-ci fut peinte en 1895 au pastel sur du carton, c’est la plus colorée des 4 peintures. Elle appartenait à un particulier il la vend aux enchères le 2 mai 2012 à Sothebys pour 119,92 millions de dollars – C’est ce tableau qui a été volé en 2004 du Much Museum dOslo et retrouvé plus tard, il date de 1910 et a été fait avec de la tempera. Cette 4eme version a été réalisée au crayon en 1893, elle est aussi visible à la National Gallery d’Oslo. Edvard Munch a réalisé cette lithographie en 1895 à Berlin, les impressions en sont après 1) Présentation de Cette version du tabl or 5 Sni* to View nt été détruite peu ent la première version peinte par Edvard Munch en 1893 et la plus connue, elle a été réalisée avec de la tempera sur du carton, elle est visible à la National Gallery d’Oslo. Cartel : Titre de l’œuvre : Le Cri Auteur : Edvard Munch Date de la réalisation : 1 893 Technique : tempera avec peinture huile et pastel.

Support : carton Dimensions : 91 L cm x 73 1 cm Lieu de conservation : National Gallery à Oslo Genre : allégorie C’est l’un de des plus célèbres tableaux au monde. Au total il existe cinq versions du cri : deux peintures (tempera), un pastel, un crayon et ne lithographie, peinte entre 1893 et 1910 Biographie Edvard Munch était un peintre norvégien né le 12 décembre 1863 à Laten en Norvège et mort 23 janvier 1944 à Oslo, Nopu’ège s’inscrivant dans le courant postimpressioniste du symbolisme et, en même temps, précurseur de l’expressionnisme.

L’œuvre du peintre norvégien Edvard Munch oscille dès le départ entre la maladie et l’angoisse. Enfant, sa vie est marquée par la maladie et la mort . mort de sa mère quand il a 5 ans, puis de sa sœur alors qu’il a 15 ans, toutes 2 victimes de tuberculose, internement de son autre sœur schizophrène et enfin la mort de son père Médecin militaire). CYune santé fragile, Munch tombera souvent malade et passera parfois tout près de la mort. Après un de début d’étude supérieur dans la technique, il s’oriente rapidement vers des études de peintures en Norvège où ses peintures sont influencées par le réalisme.

Puis à Paris à la fin de l’année 1889 il est confronté aux maîtres impressionnistes (Monet, Manet… ), mais surtout postimpressionnistes (Van Gogh, Gauguin… ). Comme Van Gogh, Munch fait partie de ces artistes maudits dont l’activité créatrice est indissociable des évènements tragiques qul ont marqué leur vie. ? La maladie, la folie et la mort sont les anges noirs qui ont veillé sur mon berceau à ma naissance », explique- t-il en 1893, année où il peint le Cri.

La dépression ensuite, aggravée par un alcoolisme destructeur, le conduira en clinique psychiatrique en 1908. Le cri fait partie d’une vaste séri destructeur, le conduira en clinique psychiatrique en 1908. Le cri fait partie d’une vaste série de tableau peint par Munch et appelé la fresque de la vie divisée en 3 thèmes : l’Amour, l’Angoisse et la Mort. Elle comprend les toiles les plus connues de Munch : Madone, Mélancolie, La Tempête, . Le Cri appartient au volet Angoisse de la fresque de la vie. ) Description Dans ce tableau, une promenade occupe la toile en bas à gauche, avec une clôture en bois reliant le coin en bas à droite au milieu du côté gauche. Dans le fond du tableau, nous pouvons voir deux silhouettes noires dans le lointain, abandonnant le personnage prlncpal sur le ponton qul surplombe un fjord, avec à droite, un précipice. Le visage du personnage principal est dessiné la tête dans les mains et la bouche ouverte *L’arrière-plan est occupé par des montagnes bleu-noir qui contrastent avec un ciel rouge et Jaune. ) Analyse A propos de son œuvre « le Cri Edvard Munch écrit « Je me promenais sur un sentier avec deux amis, le soleil se couchait, tout d’un coup le ciel devint rouge sang, je m’arrêtai, fatigué, et m’appuyai sur une clôture, il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjo d bleu-noir et la ville, mes amis continuèrent, et j’y restai, tremblant d’anxiété, je sentais un cri infini qui passait ? travers l’univers et déchirait la Nature.  » Cet homme terrifié, c’est MUNCH en personne ! Au cours de sa vie, il a peint une bonne quarantaine d’autoportraits.

Ici, il apparait lottant, tel un fantôme ondulant, dans une tunique noire. Les traits de son visage exprime la stupeur et l’angoisse . C’est une représentation sa tunique noire. Les traits de son visage exprime la stupeur et l’angoisse . C’est une représentation sans concession de son âme tourmentée. Sa tête est dépourvue de cheveux et ses yeux sont creux, et si l’on en croit l’auteur, Il ne pousse pas un crl : il se bouche les oreilles pour éviter d’en entendre un. Cette bande verticale orange interdit toute fuite. Le spectateur ne peut éviter ce personnage effrayant placé face à lui.

Munch évolutionne ici la perspective. Elle lui sert à enfermer plutôt qu’? ouvrir. Avec des premiers plans proéminents et des arrière plans à peine visibles, Edvard Munch nous saisit encore un peu plus. A gauche, les deux silhouettes noires renforcent la solitude du personnage central. A l’arrière-plan, le paysage du fjord se réduit à un gouffre noir. L’atmosphère se fait menaçante : une touche « hystérique des surfaces striées, éraflées, griffées, mises sous tension, une ligne ondulante, c’est la marque de fabrique de l’artiste qui réussit, comme par magie, à faire entendre son cri.

Cet orange vif qui illumine tout le tableau contraste avec le bleu, presque noir, du fjord placé en face à face ! Chez Munch, cette opposition radicale entre les couleurs chaudes et froides véhicule l’émotion. Pour lui, chaque couleur porte en elle sa charge émotlonnelle et traduit une humeur. Son rouge renvoie au sang et à la souffrance ; son bleu-noir symbolise la mort et le vide. Conclusion La peur panique de la maladie et de la mort en fait le principal motif de sa production artistique. Sa principale source d’inspiration est sa propre vie. Cette œuvre envoutante exécutée en 1893 par E. Munch annonce PAGF