Le Cout Du Travail
LE COUT DU TRAVAIL SUFFIT ILA EXPLIQUER LES STRATÉGIES INTERNATIONALES DES ENTREPRISES Introduction: On a l’impression de reconnaitre un argument du MEDEF, s’il n’y a plus d’emplois en France c’est que les salaires sont trop élevés ce qui oblge les entreprises à se délocaliser. L’alternative c’est survivre on délocaliser. Dès le départ ce discours permet largement aux chefs d’entreprises de se dispenser à bon compte d’une discussion autour de l’efficacité de leurs stratégies.
On remarque que le sujet est pris de façon microéconomique donc qu’on élude un autre aspect du sujet: omment une économie nationale peut elle être compétitive ? Sujet qui s’inscrit dan or 10 IDE définition: export or: Sv. ivx to View y acquérir une fractio entreprise ou pour y multinationalisation des firmes. s large. n autre pays pour apital d’une autre se. Le résultat: La multinationalisation des firmes serait le fait de différentiel de cout du travail. ) Les determinants de l’IDE Les entreprises nationales réalisent l’intégralité de leur chiffre d’affaire sur le terrltoire national. Les entreprises qui exportent produisent sur leur territoire et vendent à l’étranger Les entreprises internationales produisent sur leur territoires mais a des filiales pour commercialiser ses produits à l’étranger elle contrôle sa production Les entreprises transnationales/multinationales qui ont des processus de production et de vente qui sont dissociés au plan national et international. éférence au territoire national d’origine a disparu, la nationalité des dirigeants est sans liens avec la nationalité d’origine de la firme A) Approche néoclassique: HOS: Le commerce internationale détermine le cout des facteurs qu’il va falloir paramétrer avec le cout du travail afin ‘expliquer les mouvements de commerce international. Cette théorie suppose une hypothèse: l’immobilité des facteurs de production. paradoxe de Leontief: Cest en 1954 que l’économiste américain (d’origine Russe) Vassili Leontief (1905-1999) va critiquer la théorie HOS à travers l’étude des exportations des Etats-Unis.
C’est par l’analyse de 50 industries américaines, que Leontief constate que les Etats-Unis, considérés comme abondant en facteur « capital », importent des biens intensifs en capital et que leurs exportations son plus « riches » en facteur « travail » que leur importations. On se retrouve dans une situation totalement inverse à ce qu’avance la théorie HOS qui, si elle était vérifiée, ferait que les États-Unis sont censés exporter des biens intensifs en capital (puisqu’elles en sont bien dotés), et importer des biens intensifs en travail (facteur moins présent au E-U).
En fait il en conclu que HOS est bien vérifié puisqu’en fait les EU exportent du travail biens plus qualifié que celui qu’il importe. Théorie de l’avantage technologique: Ces théories traditionnelles ne peuvent pas expliquer les mouvements d’IDE parce que ces théories posent l’hypothèse e l’immobilité des facteurs de production. Or si chacun des pays se spécialise dans la fabrication des produits demandant des facteurs où il est le mieux doté, l’IDE ne s’explique pas. On arriverait donc 10 produits demandant des facteurs où il est le mieux doté, l’IDE ne s’explique pas.
On arriverait donc soit à l’IDE soit au commerce Internationale selon qu’il y ai ou non immobilité des capitaux. pour sortir de cette contradiction de la théorie néoclassique on va rajouter des hypothèses au modèle et on va introduire une imperfection sur le marché que sont les droits de douane de açon à introduire l’hypothèse que les marchés nationaux ne sont pas homogènes. Dès lors on a un certain nombre d’explications de la théorie néoclassique La disparité des taux de profit: le capital va où le taux de profit est le plus élevé, là où la fiscalité est la moins élevée.
L’explication par l’avantage technologique: le sens de l’IDE n’est pas déterminé. Les pays ayant le plus fort avantage technologique sont ceux qui font le plus d’IDE. L’explication vient du fait que lorsqu’une entreprise maitrise une technologie elle la protège puis elle la diffuse à travers ses filiales. Mais on peut envisager un processus inverse que l’on constate aussi c’est à dire que la maitrise des avantages technologiques n’est pas tant un problème de maitrise technique, qu’un problème de capital humain.
Donc les entreprises des pays qui tentent un rattrapage vont s’installer là où il est le plus riche ( le captal humain HOS va en amont pour donner les raisons de l’avantage comparatif: c’est parce qu’on a des dotations factorielles dans tel secteur qu’il faut se spécialiser et non l’échange qui donne des avantages comparatifs aux pays. Ce que ne prend pas en compte Ricardo c’est que le commerce nternational a des effet structurant sur l’économie et le choix d’une spécialisation d’une spécialisation à forte valeur ajoutée induit un processus cumulatif de richesse.
D’où la théorie des avantages construits: les avantages résultent de choix effectués par les pays et non d’une simple dotation factorielle. L’intérêt des marchés intérieurs: s’installer sur un marché c’est réaliser des économies d’échelle surtout lorsque les gouts des consommateurs ne sont pas les mêmes Les couts de transport: II y a des produits qu’il est impossible d’exporter: ciment. Les investissements de portefeuille peuvent s’expliquer par une olonté de repartir le risque au plan international.
La théorie des avantages technologiques suppose que les avantages sont crées et non naturels, l’IDE s’explique donc par un accès à un avantage absolu en mutation permanente: l’accès à des ressources rares est difficile. B) L’approche par l’économie industrielle Théorie de Vernon: théorie du cycle international du produit: on commente: les marché internationaux sont imparfaits, les FMN sont des oligopoles, qui exploitent à leur avantage les structures de marché, elles posent des barrières à l’entrée sous forme de couts, de différenciation, de brevets, de rendements roissants.
Les stratégies d’investissement internationales sont largement dictées par des comportements mimétiques, si une FMN investit les autres investissent aussi. Les FMN planifient, organisent, évaluent leurs activités internationales en remplaçant l’organisation par le marché. On retrouve donc Hymer qui applique la théorie de coasse à la multinationalisation en affirmant que l’IDE n’est pas tant un transfert de captal qu’un moyen d’ét 0 multinationalisation en affirmant que l’IDE n’est pas tant un transfert de capital qu’un moyen d’étendre un contrôle managerial sur des activités.
Donc l’IDE est un moyen de réduire les couts de transaction internationaux et de les remplacer par une hiérarchie qui va induire des couts de coordination Paradigme Dunnig Oli prolonge cette démarche, il considère qu’on doit prendre en compte 3 dimensions qui peuvent pousser à la multinationalisation: – ovvnership: le fait d’être propriétaire d’un actif – localisation: lieu où il est le plus avantageux de disposer d’un actif – internalisatlon: il vaut mieux que l’actif appartienne à l’entreprlse ou peut on se contenter d’un accord entre firmes pour qu’une firme fasse un IDE il faut qu’elle ait un avantage aux rois composantes.
Si une firme n’a que O et I comme avantage, elle va se contenter d’exporter, si elle n’a que O elle n’a pas d’intérêt à se localiser à l’étranger, elle va se contenter de c- vendre une licence à une firme étrangère. OLI a un deuxième intérêt: II détermine aussi les raisons pour lesquelles les flux d’investissement vont de tel pays vers tel pays plutôt que dans un autre sens. Il faut donc créer les conditions avantageuses pour les firmes dans les pays pour que le flux d’investissement aille dans le sens souhaité.
Le flux d’Ide entrant en France en 2013 a chuté de 73%. Les mouvements de multinationalisation: Les mouvements initiaux de multinationalisation commencent à la fin du 19ème siècle et à la fin du 20ème. Initialement elles avaient pour but de contrôler les sources d’approvisionnement. Les couches d’approvisionnement durent encore: United Fruit contrôle depuis le début du PAGF s 0 d’approvisionnement.
Les couches d’approvisionnement durent encore: United Fruit contrôle depuis le début du 20ème siècle contrôle l’approvisionnement de fruit d’Amérique Latine. Ou encore les sept soeurs du pétrole qul au début du 20 ème siècle ?taient les 7 plus grosses compagnies sur le marché du pétrole. 3 qui sont le résultat de la standard Oil: Standard Oil New Jersey, BP, Royal Dutch Shell, standard Oil of california (Chevron), Standard Oil of NY: Mobile:gxxan Deuxième mouvement: Années 30 et apogée année 60: qui va des USA vers l’Europe.
GM détenait Opel Troisième mouvement: investissement de Europe et USA vers les pays de la triade, jusque dans le années 1990, l’IDE c’est 85% des pays de la triade. A partir des années 80 émerge un mouvement où les pays des PDEM commencent à investir vers les pays en développement. Depuis les années 2000 constitution des multinationales des PED qui investissent dans les PDEM: Mittal ou Tata Il) Le rôle du cout du travail Dans une stratégie ( verticale / par filière).
Dans ce type de stratégie le cout de fabrication est un élément essentiel. Dans les stratégies horlzontale le but est de supprimer la concurrence. Stratégie conglomérale: acheter et vendre sur le seul critère de leur rentabilité. Dans une stratégie de filière le cout du travail est un déterminant essentiel à forte intensité de main d’oeuvre cela peut justifier que ces étapes soient localisées dans des pays ? aible cout de main d’oeuvre.
Cela permet aux entreprises une baisse de leur prix de revient donc une baisse de leurs prix de vente et la constitution d’un avantage concurrentiel. Ex marché du textile Dans une stratégie fortement 6 0 d’un avantage concurrentiel. Ex marché du textile Dans une stratégie fortement différenciée cela permettra non de baisser le pris de vente mais d’augmenter les profits. Ex: Apple Les couts sociaux incitent donc à la delocalisation qui aboutie à la DIPP, les pays à bas coûts devant un élément essentiel de la stratégie. our certaines entreprises baisser les couts est ital pour d’autres c’est le moyenne mettre en oeuvre un cercle vertueux d’amélioration compétitive, l’augmentation du profit permettant celle des investissements et de la recherche et développement qui permettent de faire perdurer les avantages concurrentiels. Ceci explique que l’aide soit tourné vers l’Inde, le Brésil, la Chine. Bangalore est devenue la plus importante des métropoles tournée vers les hautes technologies grâce à sa ain d’ouvre peu chère et hautement qualifiée. En France 20 000 ingénieurs par an et 200 000 en Inde.
De la même manière l’IDE vers les pays d’Europe centrale est ne importante explication de la solidité du modèle Allemand. Une bonne partie des composants des produits Allemands sont fabriqués dans des pays où la main d’oeuvre est 6 à 8 fois moins chère que la main d’oeuvre Allemande. Cette constitution d’un hinterland industriel a commencé dès 1930. L’exemple le plus connu est Skoda. Conclusion le cout du travail est un élément essentiel de la stratégie d’IDE. Mais cette approche doit être complétée par d’autre facteurs qui expliquent l’IDE. es IDE de PDEM à PDEM aujourd’hui. or ce type d’IDE ne peut pas s’expliquer par le différentiel en terme e cout du travail. Le problème plus global est l’attractivité du territoire: – La fiscalité: de ce point de 7 0 travail. Le problème plus global est l’attractivité du territoire: – La fiscalité: de ce point de vue il est important d’alléger l’IS et de faire porter l’effort fiscal sur la WA ou sur l’IR. – Les économies d’échelle externe: un tissu dynamique sur un territoire permet de disposer d’une main d’oeuvre compétente et formée.
Il y a donc une tres range importance du niveau de formation de la main d’eouvre en particulier pour les activités de recherche. L’accès au marché: les stratégies de délocalisation s’expliquent en grande partie par la volonté d’accéder au marché: Toyota ? Valenciennes. Les géant de la distribution font de l’aide en Chine parce que ce marché est dynamique et porteur – La stabilité: élément central de l’attractivité d’un territoire et c’est ce qui explique la chute de l’ide vers la France en 2013.
Parmi ces éléments de stabilité il y a la confiance dans le pouvoir et dans la qualité du système juridique. C’est sans doute la raison pour laquelle l’Afrique attire si peu dilDE. – L’accès aux technologies: il se peut que l’émetteur de l’IDE echerche un accès à un capital humain ou à des compétences: c’est la complémentarité de la recherche locale avec celle de l’émetteur de l’IDE qui sera déterminant. L’importance de la qualité de vie sur un territoire surtout quand du personnel expatrier doit y être envoyé. Ill) Les delocalisations On les décrit en France comme des transfert d’une unité de production des pays vers un autres. Ces délocalisations sont une catégorie qu’on appelle les délocalisations Greenfield. Ces délocalisations entrainent la destruction d’emplois peu qualités d’où l’impression d’une concurrence entre PED et 0