Le Comportement Du Consommateur
Le Comportement du consommateur INTRODUCTION . Dans cette étude de cas, je vais présenter le comportement du consommateur. Le comportement du consommateur est la manière d’être, d’agir et de réagir d’un consommateur directement accessible à l’observation extéri réaction d’un conso or 7 physique et psycholo uz – Sni* to View influencé par de nom individu à l’autre. l’action et de la environnement portement peut être uvent variable d’un L’analyse du comportement des consommateurs sert à savoir les choses qui influence nt leur comportement (besoin, motivation) pour que les sociétés s’adaptent au besoin des consommateurs.
Problématique : Comment évolue la consommation des ménages ? pour commencer je définirai la consommation en fonction des différent facteurs et je définirai aussi la consommation collaborative ensuite j’analyserai si la crise économique a modifié le comportement des consommateurs et si ces derniers ont opté pour de nouveaux comportement et pour finir je préciserai les conséquences de la modification du comportement sur le marketing. ussi les ménages possèdent de revenus pour vivre, et avec ils vont soit consommer, c’est-à-dire satisfaire leur besoin primaire ou secondaire soit épargner. Leur consommation de chacun varie selon leurs revenus et leur pouvoir d’achat mais sans oublié qu’elle est influencé par plusieurs facteurs • -économique : en fonctions des revenus des prix des biens ou service : de l’environnement économique. – Sociaux logique : la tranche d’âge, le sexe, le lieu d’habitation, la composition de la famille, la publicité.
La consommation collaborative désigne un modèle économique où l’usage prédomine sur la propriété : l’usage d’un bien, service, prlvilège peut être augmenté par le partage, l’échange, le troc, la vente entre particulier ou la location de celui -ci. Cette optimisation de l’usage est une réaction à la sous -utilisation classique supposés des biens et des services principalement permise par l’échange d’information via internet et à l’essor, dans le cadre légal, sécurisé.
C’est une nouvelle tendance depuis les années 2000 qui est fortement lié à l’essor des échanges en ligne ; ceci n’est pas une mode donc non-passager mais un comportement nouveau résultant de la crise économique. Des immenses places de marché, publiques tel que eBay, le bon coin émergent qui met en avant la location entre particuliers, e prêts entre particuliers service hébergement, l’auto partage La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment.
La crise économi PAG » rif 7 changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment. La crise économique est une dégradation brutale de la situation économique et des perspectives économiques. Son étendue géographique peut aller d’un seul secteur d’une seule région pour une brève période à l’ensemble de l’économie mondiale pendant plusieurs années . On parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave , de récession économique .
Une telle crise comporte souvent (mais pas toujours ) des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital ,provoque des faillites et du chômage, accroit les tensions sociales et politiques ret peut même avoir des répercussions sanitaires. En France fin 2008, on comptait à peine 2 million de personnes. Cinq ans plus tard, le nombre a grimpé à 2. 8 millions. Mais ce que l’INSEE relève surtout, c’est que, dans le même temps, le chômage de longue durée s’est accru nettement plus. Il a augmenté de 6%, ce taux passant de 1. % à 4% de la population active pour atteindre, à la fin de fan dernier, 1. 1 millions de personnes. La réaction des consommateurs français a été de directe après le début de la crise économique de 2008, il n’en a pas eu le choix, lui qui encaisse depuis 4 ans les conséquences d’une crise qui ne lui a laissé aucun répit. Une étude à constater l’évolution du comportement du consommateur français, ses attentes mais surtout ses nouveaux comportements d’achat, ou d’usage . Face à toutes ces contraintes, le consommateur françals n’est pas resté impuissant t passif.
Au contraire, il a PAGF3C,F7 contraintes, le consommateur français n’est pas resté impuissant et passif. Au contraire, il a montré toute sa réactivité et sa capacité d’adaptation. Bien sûr, il a arbitré autant que possible ses dépenses et n’a pas hésité non plus à couper celles qul lui paraissaient les moins utiles. En permanences à la recherche de la meilleure affaire, il compare méticuleusement les prix et les offres avant de se décider. Ceci l’incite à l’attendre les promotions et les soldes.
Une crise qui durera encore près de quatre années, et qui va hanger considérablement la donne dans un avenir proche. Mais ces leviers sont déjà pleinement utilisés par les Français, qui doivent aujourd’hui trouver de nouvelles solutions pour faire face à cette crise qui dure. Ces solutlons existent et se trouvent dans la consommation alternative. Troc produits d’occasion, achats groupes location achat au producteur, échange de sewices sont autant de phénomènes qui sont déjà une réalité pour de nombreux français.
Mais les évolutions économiques, technologiques et sociétales nous font penser, que nous ne sommes qu’au tout début d’un phénomène durable. La consommation alternative va prendre une place de plus en plus importante dans nos vies au cours des prochaines années. Les français ont donc changé leur comportement et opte pour un comportement plus raisonnable, plus économe. Il évitera de payer quand ce n’est pas nécessaire et opteras pour les biens et services les moins cher. Il utilise moins d’argent, voir plus d’argent, pour ses besoins secondaire.
Ce ralentissement e d’argent, voir plus d’argent, pour ses besoins secondaire. Ce ralentissement est en grande partie expliqué par les déterminants habituels de la consommation des ménages rançais. D’une part, le pouvoir d’achat a ralenti. D’autre part, confrontés à un chômage en hausse et à une incertitude accrue sur renvironnement économique, les ménages ont constitué une épargne de précaution. Depuis 2008, face au ralentissement du pouvoir d’achat, l’ajustement de la consommation a ainsi davantage porté sur certains postes.
Par exemple, alors que les dépenses d’alimentation ont peu ralenti, certaines dépenses de services se sont fortement ajustées : ainsi, les dépenses de services de loisir (hôtels, cafés restaurants, sorties culturelles et sportives) qui progressaient en oyenne de 2,1 % par an entre 2000 et 2007 se replient depuis 2008. L’évolution des prix relatifs des produits a aussi joué un rôle. En diminution avant la crise, le prix relatif des biens par rapport à celui des services s’est stabilisé depuis 2008, ce qui a tendance à freiner la consommation des biens.
Le ralentissement de la consommation des ménages depuis 2008 a affecté l’ensemble de ses composantes : tous les grands postes de consommation ont eu une progression plus faible depuis 2008 qu’auparavant. Certains produits ont toutefois contribué plus fortement que d’autres au ralentissement d’ensemble. Ainsi, pour certains produits, la consommation a baissé en moyenne depuis 2008, alors qu’elle progressait auparavant. Il s’agit de l’énergie, des produits textiles-cuirs, des services de loisi auparavant.
Il s’agit de l’énergie, des produits textiles-cuirs, des services de loisir (hôtels, cafés restaurants, sorties culturelles et sportives) et des « autres services » (transport, réparation de véhicules, construction, services personnels et domestiques, seraices opérationnels). Concernant les autres postes de consommation, les ménages ont ralenti leurs dépenses sans les diminuer. Dans le domaine des services ou celui des produits tangibles ,les entreprises vont être confrontées à la fois à une soudaine diminution de leurs revenus et au brusque changement de comportement d’achat de leurs clients.
En effet, le comportement des consommateurs à changer faut donc changé le mode de fonctionnement, les consommateurs ont opté pour un comportement plus économe donc il achèteront le moins cher. Une importante perte d’argent et un redynamise complet est ? prévoir en tant de crise pour une entreprise. La transformation des entreprises sur le marché de l’énergie onstitue une parfaite illustration pour tirer des leçons et se préparer à une telle crise .
Dans ces marchés en mutation , la fonction marketing sera en première ligne . Elle devra ,plus encore qu’à toute autre période ,rester ancré sur la valeur perçue par le client . Cette approche marketing fondée sur l’analyse de la courbe de valeur , amène à réexaminer la proposition de valeur de l’entreprise afin de mieux répondre à l’exigence accrue du client sur l’attribut de valeur « prix ». Le marketing peut alors actionner avec discernement les leviers permettant de délivrer de la valeur au clien