L’alchimiste fiche de lecture
Depuis, Paulo Coelho continue de publier régulièrement et connait la consécration du public (Grand Prix des lectrices de Elle, 1995) et de ses pairs (élu l’Académie des lettres au Brésil en 2002). L’ŒUVRE L’Alchimiste parait en France en 1994. Ce roman raconte l’histoire de Santiago, jeune berger andalou, qui abandonne son Espagne natale et ses brebis pour partir en quête d’un trésor enfoui au pied des O’ramides d’Égypte. Le voyage du jeune homme est ponctué de nombreuses également et surtout à la découverte de sa propre identité. Roman philosophique inspiré d’une nouvelle de Jorge Luis Borges,
L’Alchimiste rappelle que chacun est libre de réaliser ses rêves et d’être en harmonie avec ses désirs. Publié dans une centaine de pays et traduit dans 47 langues, il est l’une des meilleures ventes de tous les temps. Reproduction interdite 2 PROLOGUE L’Alchimiste découvre un recueil d’Oscar Wilde dans lequel il lit un texte inspiré de la légende de Narcisse dont la fin a été modifiée : le lac pleure la mort du jeune homme dans les yeux duquel il aimait contempler son reflet. PREMIERE PARTIE pp. 17-30 Santiago, un jeune berger, s’arrête dans une vieille église pour y asser la nuit.
Il se réjouit de retrouver prochainement une jeune fille qui l’avait charmé Pannée précédente. Deux flashbacks racontent cette rencontre (pp. 19-20), ainsi que la décision de Santiago de devenir berger pour découvrir le monde (pp. 23-24). Cette nuit-là, il rêve qu’un enfant le conduit aux Pyramides d’Égypte et lui dit « Si tu viens jusqu’ici, tu trouveras un trésor caché. » Mais Santiago se réveille avant d’en connaitre l’emplacement exact. Arrivé à Tarifa, une voyante accepte d’interpréter ce songe, mais réclame un dixième du trésor. 2 pp. 31-48
Après cette rencontre, un vieillard, qui prétend être Roi de Salem, l’aborde et lui propose de lui indiquer comment atteindre le trésor caché en échange du dixième de son troupeau. Selon lui, ce trésor constitue la Légende Personnelle du berger, la mission qu’il doit accomplir sur Terre. Les deux hommes se retrouvent le lendemain. Le Roi conseille Santiago d’être attentif aux signes et lui préconise de prendre dorénavant ses décisions seul. Pour Iy aider, il lui offre deux pierres « Ourim et Tournim pp. 49-63 Santiago est en Afrique, à Tanger ; il ne comprend ni la langue rabe ni les « pratiques d’infidèles » (p. 9) locales. Naif, il se fait voler son argent. Il décide tout de même de suivre les signes et de continuer son voyage. Le lendemain, il rencontre un Marchand de Cristaux et lui propose de nettoyer sa marchandise en échange de nourriture. Celui-ci lui propose finalement de travailler pour lui. Santiago accepte pour une journée et demande assez d’argent pour pouvoir rejoindre l’Égypte, mais le Marchand lui explique qu’un tel voyage est beaucoup trop couteux. Dépité, Santiago accepte de rester le temps qu’il faudra pour qu’il puisse racheter des moutons.