La vie politique à Anvers au seizième siècle

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Attente d’une croissa même temps que les sud. Cétait nous met nouveau qui se prep traités de fous : les la vie politique à Anvers au seizième siècle By aursmartin RHBapR 19. 2015 | B pages Cislamisme est une chance pour la France par HANNIBAL 8 6 2012 Depuis qu’elle s’est mise à l’ œuvre dans les années 1970, la mort de l’Europe a eu l’élégance d’avertir. Elle n’ avance pas masquée, elle n’ est pas subreptice ni sournoise, elle marche le visage découvert, avec de grands coups de faulx annonciateurs. Le premier fut le chômage.

Dressés par les marxistes et les libéraux, ous ne mesurions plus le monde qu’à Paune de la prospérité matérielle, et les chocs pétroliers perturbaient notre légitime wipeta View next page en ge massif crût en d nvasion venue du nomie du monde aperçurent furent igration au chômage furent décrétées à la fois simplistes, fausses et nazies. Le deuxième avertissement fut quasi concomitant. Les crimes et délits augmentèrent brutalement avec l’immigration. Les prisons se remplirent d’immigrés et d’enfants d’immigrés. Des rues, des quartiers, des villes devinrent dangereux.

Là encore, les augures insultèrent et Cassandre et le peuple. Obsession, hystérie sécuritaire, biais systématiquel: tous les pauvres mots des aveugles volontaires furent employés pour ne pas voir l’évidence. Une nouvelle fois, les Français refusèrent le cadeau que leur faisait le destin! : l’immigration n’était pas indolore, la décadence était visible, elle faisait mal avant de tuer, mais cela ne servit nen. Aujourd’hui résonne le troisième et dernier coup de gong, l’ultime avertissement. II n’y en aura plus d’autre avant l’égorgement. Peut-être sera-t-il mieux entendu.

A cause des circonstances d’abord : à simplement regarder les rues, les ieux films, l’annuaire du téléphone et la tête des militaires, le plus effronté des militants gauchistes ne saurait nier l’invasion, il se trouve forcé de la justifier. Et c’est là que gît le lièvre : car l’invasion comporte un fort contingent de musulmans, avec leurs barbes et leurs voiles. Or, s’il est loisible à chacun de soutenir que l’immigration est une chance pour la France, le meilleur démagogue a encore du mal à convaincre que fislam est une chance pour la République.

Et voilà pourquoi l’islamisme est une chance pour la France : il opère une pro- fonde fracture dans le front longtemps uni des obbies de l’invasion, et unit symétriquement contre celle-ci des forces éparses qui la favorisaient jusque-là. On s’en est aperçu pour la première fois clairement aux Pays-Bas, laboratoire de la déchéance européenne, quand les pédés pourchassés par les rigueurs d’Allah se sont réfugiés dans les bras de l’extrême droite. C’est devenu très clair depuis dans plusieurs domaines.

L’abattage halal a réuni contre lui les associations de défense des animaux, les mangeurs de gigot du vendredi saint, les hygiénistes progressistes. La burqa, la polygame, l’excision, et en général tout e qui manifeste une soumission excessive de la femme 2 polygamie, l’excision, et en général tout ce qui manifeste une soumission excessive de la femme à l’homme, ont mis debout le féminisme. Les prétentions théocratiques de la charia suscitent la colère de beaucoup d’ enseignants, de nombreux francs- maçons, d’une part de la vieille gauche d’avant-Mélenchon, bref, une sorte de front républicain.

C’est devenu si facile à voir que cela a inspiré, vingt ans après les Pays-Bas, quinze ans après que le sort de Taslima Nasreen eut ému Jean-Marie Le Pen, la stratégie de Riposte laïque et de Marine Le Pen. Tel est l’effet de la division du camp adverse. Quelque chose est devenu dicible. Or, la permission de dire est venue de Fétranger. La crainte de l’islam arrange les néoconservateurs américains, théoriciens du choc des civilisations, et Israël, praticien de la guerre contre les Arabes. Dans ce cadre-là, le front républicain s’étend de Benjamin Netanyahu à Ségolène Royal.

On finit même par se demander si Marine Le Pen ne sera pas un jour le Zorro tardif des bobos, et, après un nécessaire apprivoisement, la madone de Madona. Encore ne sufft-il pas de décrire, il faut dire son opinion. La mienne est que tout ce qui peut, tant soit peu, s’opposer l’invasion, est d’abord un bien, et qu’il faut en profiter. Si un transsexuel m’aide à mettre dehors un envahisseur, je commence par lui serrer la main. Cela ne m’empêche pas de réfléchir ensuite. En distinguant plusieurs questions abusivement et sciemment emmêlées.

D’abord l’islam est une religion mauvaise qui a porté dans les sociétés qu’elle a tou 3 emmêlées. sociétés qu’elle a touchées des fruits détestables. Des bédouins ravageurs ont disséminé de force, dans des pays de très ancienne ivilisation, la « révélation » niaise d’un arien influencé par une juive, et cela a durablement stérilisé la Méditerranée et le croissant jadis fertile. Les grandeurs apparentes de l’art musulman sont dues aux envahis, chrétiens syriaques, berbères, mésopotamiens ou espagnols, à des vizirs persans, à quelques hérétiques.

Tout cela se passait dans la contrainte et l’esclavage, et le mythe de l’Andalousie heureuse, la prétendue cohabitation conviviale des trois religions du livre dans l’ Espagne médiévalen’ est qu’ une billevesée dont les historiens sérieux ont depu•s longtemps ontré l’inanité. Bien entendu, l’islam, au cours de l’histoire, a toujours été l’ennemi de l’Europe, de Gibraltar à Péra, en passant par Vienne, Poitiers et Sarajevo. Ce ne sont pas les commentaires d’Averroès sur Aristote, moins lus qu’on a dit chez nous et pas du tout chez eux, qui y changeront quoi que ce soit.

De ce point de vue, il y aurait bien aujourd’hui un choc des civilisations entre l’islam et nous, si nous défendions encore une civilisation, mais ce n’est pas le cas. Non seulement Huntington et ses condisciples néocons dressent une carte assez roquignolesque des civilisations, mais surtout l’Europe, sous l’effet de cinquante ans d’abandon, et des attaques conjuguées de ses ennemis (à l’époque, les Etats-Unis et l’URSS), est en train de devenir un 4 conjuguées de ses ennemis (à l’époque, les Etats-Unis et FIJRSS), est en train de devenir une zone de non-civilisation, comme il existe des zones de non-droit.

Ce qui se passe en ce moment est donc un choc de non-civilisations, le choc de deux vides, de deux totalitarismes du néant. Un livre remarquable en avait dressé le constat il y a plus de dix ans, Le journal d’Oussama Ben L! Jugurtha y avait décrit deux mois après le onze septembre ce combat de titans dont l’un est le miroir de l’autre, cette cascade de paradoxes et de contradictions où s’écroulent deux nihilismes conquérants. C’est pour cela que, tout en acceptant par tactique une alliance passagère avec la grande coalition « islamophobe », il ne faut pas se mettre durablement dans son camp ni accepter si peu que ce soit son analyse.

Je sais bien qu’il est inutile de faire souffrir un mouton, mais je ne suis pas bien sûr que d’amener l’abattoir intra-utérin des millions d’enfants soit un vrai progrès. Et dois-je choisir entre la Gay Pride et la burqa ? La pornographie de masse et le harem!? Les mariages forcés et la théorie du gender ? Dans bien des cas hélas, les familles musulmanes me semblent beaucoup moins folles que les nôtres. Oserai-je le dire? Saddam Hussein m’est beaucoup plus sympathique que Pierre Moscovici.

La vraie question, tout le monde la connaît, du moins tous les lecteurs de RIVAROL elle est double! : c’est une substitution brutale de population associée à une substitution brutale de civilisation, le tout bien sûr voulu et organisé, il s’agit d’une révoluti S substitution brutale de civilisation, le tout bien sûr voulu et organisé, il s’agit d’une révolution d’un genre nouveau, la révolution par l’invasion, pour ainsi dire Pexsanguinéo- transfusion de l’Europe et de son âme.

La difficulté est de garder constamment à l’esprit les deux brins du nœud, le brin physique et le brin moral. Dans le complot, l’invasion est un moyen, l’islam lui donne un surcroît d’efficacité, mais la décivilisation mondiale est la fin, et pour faire advenir celle-ci, islam et anti- islâm sont deux totalitarismes complices, tout le montre. Cest e communiste Tito qui a ménagé, année après année, rinvasion du Kossovo par les Albanais musulmans afin d’y installer arbitrairement une majorité allogène propre à vaincre la nation serbe — ce que l’Otan devait mener à bien.

C’est l’Amérique qui a choisi depuis soixante ans Palliance avec l’Arabie wahhabite et le Pakistan tablighite, avec l’internationale salafiste, et qui a financé les mouvements islamistes — à la fois comme ennemi de remplacement et comme vecteur de subversion en Orient et en Europe. En dehors de ces astuces de billard géostratégique, c’est sur le ond, dans la forme même de leur pensée, que Fislam et Fanti- islam sont parents et alliés.

Ils ont le même moralisme, la même obsession de la pureté, et la même propension à imposer des comportements par la police de Pintime, par l’exploitation des tabous. Ici l’affaire des caricatures de Mahomet répond parfaitement à la loi Gayssot, et aux innombrables profanations du Christ : chacun des protagoniste Gayssot, et aux innombrables profanations du Christ : chacun des protagonistes dominants prétend imposer son tabou, et se défoule en blasphémant, pornographe juif ou voyou musulman, le acré du plus faible.

Et le marchand, qui est le régulateur de cette société décivilisée, s’incline devant les forts : on l’a vu en Belgique voilà un an, quand le groupe Carrefour a retiré de la vente des rouleaux de papier hygiénique frappés de dessins de signes du zodiaque dont certains rappelaient, aux yeux des érudits les mieux versés dans ces choses, la graphie des noms d’Allah et Mahomet. De même prétendent-ils tous deux incarner le bien, chacun à sa manière. La récente affaire du voile sur les stades de foot en est une mignonne illustration. On se souvient qu’à l’automne dernier

Wilfried Lernke, conseiller spécial de Ban Ki Moon pour le sport au service de la paix et du développement (Seigneur!! ) a préconisé le port du hijab pour les joueuses de foot qui le désirent en compétition. Il s’agirait bien entendu «d’un voile sûr à ouverture velcro», on n’est pas des sauvages et la technique ne doit jamais être négligée. La Fifa y réfléchit avec bienveillance, après cette prise de position de l’ONU. L’inter- national Football Association Board lui- même travaille à modifier des règles qui datent de Rudyard Kipling ou de Henry VIII.

Cela «fera disparaître une barrière qui peut empêcher les femmes et les filles de participer au football M. Lemke a même ajouté! : «Cela donnerait l’opportunité à de remarquables athlètes féminins de démontrer que porter un voi «CeIa donnerait l’opportunité à de remarquables athlètes féminins de démontrer que porter un voile n’est pas un obstacle au succès dans la vie et le sport, et contribuerait à mettre en question les stéréotypes liés au genre et à entraîner un changement de mentalités. La dimension progressiste et messianique de ces propos n’échappe à personne! le port du voile est même présenté comme l’instrument d’une libération de la femme, so cute! La supériorité de l’empire du bien anti-islam réside dans sa faculté accueillir, jusqu’au suicide, l’autre qui le nie, quant à la supériorité de l’islam, elle gît dans sa rapidité à s’emparer d’une proie offerte.

Face à cela, la seule stratégie qui puisse mener l’Europe la victoire est de retrouver les convictions et les actes qui l’ont faite. L’idéologie républicaine et l’idéologie impériale ne peuvent s’opposer à l’islam, non seulement parce qu’elles l’ont nstrumentalisé, mais parce qu’elles lui ressemblent au fond : elles considèrent que les sociétés et les groupes dhommes sont une pure construction de l’idéologie, une utopie formatrice et normative.