la rse
C’est dans un contexte de crise économique, sociale et environnementale à l’échelle mondiale que la responsabilité sociétale (ou sociale) des entreprises apparaît comme un remède, la clé de voûte des trois piliers que sont le développement durable, la protection de l’environnement et le respect des droits fondamentaux. Pressions sociales, raréfaction des ressources naturelles, réchauffement climatique, tous ces éléments ont convergé vers une nécessité commune : la responsabilisation des entreprises en matière sociétale.
Cest un concept basé sur le volontarisme et mis en place au sein de l’entreprise qui Intègre ans son activité et dans ses interactions avec ses parties prenantes (stakeholders en anglais) des préoccupations notamment sociales dêtre plus le fruit du simple stratégie de r définir le niveau de r effets qu’elle exerce Swtp not page a RSE, qui se veut énérale qu’une ment, doit donc rises vis-à-vis des ciété et sur l’environnement, pour ensuite « réintroduire » des préoccupations éthiques au sein de sa gouvernance.
Alors que la dominance des actionnaires maximisateurs de profits, auteurs des pressions exercées par les marchés financiers, poussant in- ine les dirigeant sur du « court-termisme face à une multitude d’acteurs avec des logiques complexes et diversifiées, sont autant de facteurs de ralentissement au développement de la RSE. Pour promouvoir et afficher leur volonté d’étendre le concept à l’échelle européenne et internationale, les gouvernements européens inspirent à institutionnaliser la RSE, c’est à dire créer un cadre juridique dans lequel sont prises Sv. ipe to prises des mesures comme celle qui vise par exemple ? augmenter la transparence des informations délivrées dans les rapports RSE, établis par les entreprises. La RSE peut-elle alors se montrer efficace face aux déséquilibres sociaux et environnementaux que la mondialisation engendre ? commission des communautés européennes ont rédigé en 2001 le Livre vert Ce principe a ses limites puisqu’il peut entre autre apparaître comme un frein à la compétitivité des entreprises dès lors que des contraintes économiques et juridiques apparaissent. arties prenantes que Freeman définit en 1984 comme « tout individu ou groupe qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs de l’organisation » Cinternalisation des externalités négatives de l’entreprise onsiste à prendre en compte à l’intérieur de l’entreprise, dans le cadre de la stratégie organisationnelle et managériale, les risques économiques, environnementaux et sociaux exterieurs ? l’entreprise.
La crise sociale se caractérise avant tout par une forte augmentation de la pauvreté à travers le monde, au grand damne des actionnaires qui ont su dégager d’importants profits malgré les signes évidents de crise. Les licenciements dans le but d’accroître la rentabilité des entreprises, additionnés à un taux de chômage croissant, l’explosion démo raphique, l’éboulement du système de la santé, les p les salaires des 2