La Princesse De Cl Ves De Mme De La Fayette

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La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette Une oeuvre collective La Princesse de Clèves fut publié en mai 1678, sans nom d’auteur, chez l’éditeur Claude Barbin. Au dixseptième Siècle, être auteur dans la bonne société n’était p as une qualité dont on pouvait se glorifier. La Princesse de Clèves qui fut par la suite attri bué à Mme de Lafay or7 peut être considéré c m qu’elle se soit fait co ille par l’un ou plusieurs auld; Segrais, qui aval co tive.

Il est probable on ami La Rochefouc publié en 1 656, Les Nouvelles françaises ou les Divertissements d la princesse Aurélie Huet, un théoricien qui avait publié de l’origine des romans . On é vaqua aussi Mme de Sévigné, une amie intime de Mme de Lafayette . S’il est difficile de reconnaitre la part de chacun dans ce roman, le s historiens ont acquis la quasi certitude que ce fut Mme de Lafayette qui fut l’architecte de cet ouvrage. Cest elle qui y insuffla son énergie et qui assura la cohérence de ce roman écrit entre 1672 à 1677 Le nom de l’auteur n’apparaîtra sur la couverture de ce roman qu’ règne.

Autour du roi, princes et princesses rivalisent d’élégance et de galanterie. Mlle de Chartres, jeune orpheline de seize ans, élevée par sa mèr e selon de rigoureuses règles de morale, parait pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, honnête homme d’une grande droiture morale, tombe amoureux d’elle dè s qu’il l’aperçoit. Ebloui par sa beauté, il la demande en mariage. Mlle de Chartres n’a aucune expérience de l’amour et l’épouse sans être amoureuse de lui.

Alors qu’elle est mariée, Mme de Clèves rencontre, à la cour, le du c de Nemours. Naît entre eux un amour immédiat et partagé. Mme de Chartres découvre c ette passion naissante et et en garde sa fille du danger de ce désir illégitime. Avant de mo urir, Mme de Chartres conjure sa fille de lutter contre l’amour coupable que lui inspire le duc de Nemours . Ayant perdu le soutien de sa mère, et afin d’éviter M. de Nemours, qu’el le ne peut s’empêcher d’estimer, Mme de Clèves décide de se retirer à la campagne. M. e Clèves reste à Paris, car il doit consoler l’un de ses amis, M. de Sancerre. Seconde partie Mme de Clèves vit en sa maison de Coulommiers. Elle apprend la mort de Mme de Tournon et est attristée de la disparition de cette jeune femme qu’elle trou ait belle et vertueuse. De retour de Paris, M. de Clèves lui a rend que son ami Sancerre ét ait amoureux depuis près e lui avait secrètement promis ainsi qu’? M. d’EstouvilIe de les épouser . C’est seulement le jour de sa mort que M. de Sancerre apprend la perfidie.

Le même jour, il connait une douleur immens e en apprenant la mort de sa bienaimée et en découvrant les lettres passionnées que cette der nière a adressées à M. d’Estouville. La princesse de Clèves est troublée par les propos qu e son mari a tenu a son ami Sancerre et qu’il lui répète :  » La sincérité me touche d’une tell sorte que je crois que si ma maîtresse et même ma femme, m’avouait que quelqu’un lui pl ût, j’en serais affllgé sans en être aigri.  » A la demande de M. de Clèves, Mme de Clèves rentre à Paris .

Elle ne tarde pas à se rendre compte qu’elle n’est pas guérie de l’amour qu’elle éprouve pour le duc de Nemours. Elle est en effet émue et pleine de tendresse pour cet homme, qui par a mour pour elle, renonce aux espérances d’une couronne. Si elle ne parvient pas à maitriser ses sentiments, elle est bien décidée à tout faire pour maîtriser ses actes. Elle souhaite à nouv au fuir celui qu’elle aime, mais son mari lui intime l’ordre de ne changer en rien sa conduite. Puis Nemours dérobe sous ses yeux son portrait.

Elle se tait, craig nant à la fois de dévoiler publiquement la passlon que ce prince éprouve pour elle et d’avoi r à affronter une déclaration enflammée de cet amoureux passionné. Nemours qui s’est aperç u que la princesse de Clèves avait assisté à ce vol et n’avait as réagi, rentre chez lui, sa vouran *AGF 3 c,F7 Clèves avait assisté à ce vol et n’avait pas réagi, rentre chez lui, sa vourant le bonheur de se savoir aime. Lors d’un tournoi, Nemours est blessé. Le regard que lui adresse alors Mme de Clèves est la preuve d’une ardente passion.

Puis une lettre de femme égarée e t dont elle entre en possession laisse supposer que Nemours a une liaison . Elle déco uvre alors la jalousie. Troisième partie Le Vidame de Chartres, oncle de la princesse de Clèves et ami inti me de M. de Nemours est lui aussi très contrarié par cette lettre. Car la lettre quia lue la prin cesse de Clèves et qu’elle croyait adressée à Nemours, d’où sa jalousie, lui appartenait. Et le fait qu’elle circule entre outes les mains de la Cour le contrarie énormément.

En effet cet te lettre risque de déshonorer une femme extrêmement respectable et de lui valoir, à lui, Vidame de Chartres, la colère de la Reine qui en a fait son confident et qui n’accepterait p as cette aventure sentimentale. Le Vidame de Chartres souhaite que le duc de Nemours indique être le de lettre et aille la réclamer à la reine dauphine qui l’a maintenant en tre les mains. Il lui donne pour cela un billet sur lequel figure son nom , qu’une amie de sa maîtresse lui a donné, et qu permettra à Nemours de s rès de celle qu’il aime.