La politique municipale de curitiba en faveur du déve
La politique municipale de circuits en faveur du développement urbain durable premier BOY hanche 23, 2011 | 4 pages circuits est une ville brillaient qui compte 3,6 millions d’habitants. Elle est aussi la capitale de l’état du parade. Depuis une quarantaine d’années, la municipalité de circuits a engagé un projet de développement dont certains aspects ont été présentés comme des exemples travers le monde entier. La politique de transports, la gestion des déchets et l’action sociale peuvent-ils faire de circuits une ville en faveur du développement urbain arable ?
En 1991, au moment où toutes les villes de plus d’un million d’habitants choisirent un métro, circuits opta pour un système de bus 200 fois moins cher que le métro, mais où tous les avantages du métro sont repris, comme la propreté des sites sur les artères principales, le temps d’attente de 2 minutes en moyenne, des bus très longs pouvant transporté jusqu’ 270 passagers et des moyens facilitant les personnes moins valides (personnes âgées, handicapés et ayant des problèmes de santé).
La municipalité a tracé les parcours, choisi les véhicules, acide des tarifs et installé les stations (des arrêts existent aussi dans les faveurs). Le réseau d’autobus se présente comme une toile d’araignée composée de cinq grands axes de circulation plus un très grand en construction (la alinéa boy hanche vapeur 23, 2011 | 4 pages verre) réservés exclusivement aux autobus, d’une longueur totale de 80 kilomètres et qui permet de couvrir toute la ville.
Il comprend 221 stations (tubes transparents être accessibles par les personnes handicapés) réparties sur 370 lignes dont 28 exclusivement pour es écoles utilisés par presque 2000 bus. Les gens peuvent achetés leur ticket directement aux stations (comme dans les stations de métro, ce qui évite l’attente lors de monter dans le bus) où on trouve aussi des kiosques à journaux, des fleuristes et d’autres petits commerçants. Le ticket a le même tarif peu importe la distance.
Chaque jour, 2 millions de personnes prennent le bus dont presque la moitié ne paie pas le ticket comme les personnes de plus de 60 ans et celle ayant des problèmes de santé ou ne possédant pas assez d’argent. Les vieux bus sont fréquemment remplacés ce qui limite les émissions de CH.. En plus des transports oublis, de nombreuses zones piétonnes (dont la première au monde en 1 973) ont été aménagées en centre ville et ont été équipées de pavés spécifiques pour guider les personnes aveugles.
Pour les cyclistes, 200 km de pistes cyclables ont été tracés. Les rues de circuits sont aussi propres que celles d’une ville suisse. Cela est possible premièrement grâce à une campagne lancé par la municipalité en 1989 nommé « Des déchets qui ne sont pas des déchets ». Les camions-bennes ne pouvant pas rouler dans les rues étroites des faveurs, les habitants de ces dernières récoltent des déchets organiques ou pouvant être recyclés et les donnent à des camions spécialisés qui passent deux fois par semaine.
Pour kg d’ordures, ils reçoivent 1 kg de légumes et fruits frais ou bien un ticket de bus ou d’op Pour kg d’ordures, ils reçoivent I kg de légumes et fruits frais ou bien un ticket de bus ou d’opéra. Les enfants reçoivent du matériel scolaire et des jeux. La nourriture donnée provient de surplus agricoles de petits paysans, qui trouvent ainsi un nouveau débouché à leur production. Les déchets organiques récoltés sont compostés pour les plantations de la ville. Les autres déchets sont triés et valorisés dans 16 centres spécialisés.
Ces centres recrutent des personnes en difficultés créant de nombreux postes de travail. Un autre moyen qui fait de circuits une ville propre est que chaque foyer et chaque lieu public dispose de poubelles différenciées. Enfin le gaspillage n’est pas circuits : la ville recycle les anciens bus pour en faire des salles de classe ou des bibliothèques ; certain bâtiments de la ville sont construits avec d’anciens poteaux de téléphone comme structure. Au total, circuits récupère et tri plus de 3% de ses déchets, alors que la moyenne dans les autres grandes villes brouillonnes est de 1 %.
En 1995, la municipalité de la ville a créé les «phares du savoir » qui sont présents dans chaque quartier. Ce sont des bibliothèques en forme de phare et qui mettent disposition des livres, des vidéo et interner au public.