La peine de mort
Robert Badinter : la peine de mort. st contre la peine tiliser plusieurs t la suivante : « la ais corriger pour améliorer. » Ainsi, il défend l’idée que la peine de mort n’est pas 1) Robert Badinter défend la thèse suivante : il dit que la peine de mort n’est pas dissuasive. 2) Robert Badinter utilise un argument faisant référence à des institutions du monde entier « . . puis, il utilise un autre argument : « Il les illustre à l’aide d’exemples : « » et « Ces deux argumentations présentent des points communs. En effet, Victor Hugo et Robert Badinter, sont tous les deu deux, contre la peine de mort.
De plus, ils utilisent chacun des arguments contre la peine de mort visant à convaincre le lecteur et leur auditoire. Puis, ils illustrent leurs arguments par des exemples. Effectivement, ces deux hommes font référence à des exécutions dhommes commises par la justice. Victor Hugo prend l’exemple de l’exécution d’un incendiaire nommé Louis Camus. Quant à Robert Bandinter, il prend comme exemple l’exécution de plusieurs hommes : celle d’Olivier, de Carrein, de Rousseau, de Garceau, de Buffet et de Bontems. En définitive, leur objectif est identique : faire abolir la peine de mort.
Victor Hugo : 1) Cet extrait du roman met en scène un homme qui est accusé d’avoir commis un crime. Nous apprenons que son procès était entamé depuis 3 jours et que la veille il avait laissé délibérer les juges. Le matin même, il se présente accompagné de son avocat devant les juges, les témoins, les avocats, les procureurs du roi afin de connaitre le verdict du procès. Malheureusement, il apprend qu’il va être condamné à mort. ) Tout d’abord, le condamné et Meursault sont tout deux accusés d’avoir commis un crime.
Lors de ces deux procès, le soleil est omniprésent tant bien que chez le condamné que chez Meursault. Néanmoins, le condamné dit aimer le soleil « j’aime le soleil » alors que Meursault lui est obsédé par les sensations et ne supporte pas la chaleur « la brûlure du soleiln gagnait mes jo 2 obsédé par les sensations et ne supporte pas la chaleur « la brûlure du soleiln gagnait mes joues et j’ai senti des gouttes de sueur s’amasser dans mes sourcils Par ailleurs, le condamné ui n’est pas indifférent à ce qu’il lui arrive contrairement Meursault.
Lors du verdict, le condamné éprouve des émotions « les mille émotions qui se disputaient ma pensée » alors que Meursault lui accepte son sort avec résignation. Néanmoins, tout deux ne réagissent pas lors de la délibération. En effet, le condamné est en état de choc ce qui explique qu’il ne réagit pas « j’aurais eu, moi, tout à dire mais rien ne me vint » « ma langue resta collée à mon palais » alors que Meursault n’éprouve aucunes émotions et ne veut pas réagir au débat, il apparaît omme un spectateur « moi j’écoutais et j’attendais ».
En outre, le condamné pense à sa liberté « il me fut impossible de penser à autre chose qu’à la liberté » alors que Meursault s’habitue sa privation de la liberté «J’ai compris alors qu’un homme qui n’aurait vécu qu’un seul jour pourrait sans peine vivre cent ans dans une prison En définitive, ces deux personnages vont être condamnés mort mais ils sont différents l’un de l’autre puisque le condamné éprouve des émotions alors que Meursault est indifférent à tout ce qu’il lui arrive et ne connaît pas les sentiments.