La macroéconomie

essay A

Cout marginal : cout additionnel lié à la production d’une unité Cout variable unitaire La courbe du cout moyen croise la courbe du cout marginal en son minimum. profit Prix Cm : Profit – profit prix Cm – or7 Quantité ? = Celle qul to next On va produire tant On va produire jusqu Cm < CM = N. CM cm > CM = , CM aximal. au cout marginal. La courbe d’offre c’est l’ensemble des points qui relient les quantités offertes par l’ensemble des producteurs au différent prlX de marché possible. Plus le prix est élevé, plus les quantités offertes sont importantes.

L’élasticité de l’offre est positive, quand les prix augmentent l’offre ugmente aussi. une infinité d’offreurs et une infinité de demandeurs. Concrètement, aucuns agents économiques n’a un pouvoir de marché (capacité à imposer un prix à un marché). Les agents économques sont Price Taker. L’homogénéité des produits : sur un marché, tous les biens échangés sont exactement identiques. Aucune différenciation des biens. Libre entrée et libre sortie des agents économiques sur un marché : n’importe quel agent peu entrer sur un marché, aucune barrière : cela permet la concurrence.

L’information parfaite : tous les agents économiques savent tous et connaissent les mêmes choses. La parfaite mobilité des facteurs de productions : à tout moment, n’importe quel facteur de production peu travailler dans n’importe quel secteur d’activité. 3. L’équilibre du marché a) Le tâtonnement walrasien oz Qol QOI > Qdl Prix D = Qd2 O Q02 Qd2 > Q02 – — Prix prix équilibre = ; Qi) Même en cas de chute d’offre le marché s’auto régulera quand même. AGF 9 rif 7 marché qui génère la plus grande quantité possible : prix o Quantité Si on a un prix supérieur que le prix étoile, on aura une baisse de la quantité produite car le prix est trop élevé. On a un rationnement par la demande. Quand le prix est inférieur au prix étoile, on a plein de gens qui veulent racheter, donc peu d’entreprises peuvent produlre. On a aussi une baisse de la quantité produite. On a un rationnement par l’offre. Le point d’équilibre satisfait le maximum de coéchangiste.

Une condition pour qu’un système économique soit efficace : il faut une flexibilité des prix, il faut s’adapter librement à Yoffre et la demande. Il faut éviter la rigidité des prix. c) Un équilibre optimal Il faut introduire une notion de surplus pour trouver, c’est à dire la différence entre le prix qu’on serait prêt à mettre (prix de L’addiction des éserve) et le prix du marché. 2 représente le surplus de la nation. PAGF3C,F7 cours précédent (bien collectif, externalité, asymétrie d’information) Même les micros économistes vont assumer que l’Etat doit intervenir.

IV- L’intervention de FEtat dans une économie de marché 1. De l’Etat-gendarme à l’Etat providence a) Les fonctions de l’Etat-gendarme C’est les Etats qu’ils y avaient dans les pays occidentaux jusque dans les 30’s. Cest un Etat qui avant tout, a une fonction essentielle qui est de compenser les défaillances du marché : L’Etat va devoir fournir des biens collectifs (armées, défense… ) L’Etat doit lutter contre les externalités négatives (mise en place de taxe pollueur/payeur) Doit encourager les externalités positives, activité qui sont bénéfique par la société.

Doit chercher à faire circuler au mieux l’information. Doit lutter contre les pratiques anti-concurrentielles b) Les fonctions d’un Etat providence : Moquerie, cette expression est ironique pour se moquer des opposants. Etat providence va continuer à reprendre les fonctions de l’Etat gendarme mais en plus, il a pour fonction d’améliorer le résultat de l’économie de marché. L’Etat soutient la demande : demande autonome. 2. Comment iustifier l’inte at dans une économie de redistribution : le marché réalise une certaine distribution des ressources = différence entre zlatan et un soudeur.

Pas juste, pas efficace. Elle va redistribuer en taxant les gros salaires pour les redonner aux plus pauvres. c) une fonction de régulation de l’activité Globalement, les pays s’enrichissent, limiter les hauts et les bas. 3. Les critiques portées à cette intervention a) Les 3 crlses de l’Etat providence selon Rosanvallon. Les grands états connaissent une crise de 3 ans. La crise financière : déficit : 80 milliards deuros pour la France. 2010 : 140 milliards d’euros de déficit, record. Dette = du PIB.

Déficit : dépenses/recettes = 80 milliards Dette = sommes des emprunts préalables pour financer les déficits antérieurs qui n’ont pas encore été remboursé plus les intérêts = 1900Mlds, PIB = 2000Mlds. Crise de la légitimité : montée de l’individualise : en gros, autant pdt les 30 glorieuses, prêt à accepter de payer bcp d’imports, cotisation et tout après la guerre. Maintenant, non, plus capable, ? cause de fétat providence : bonnet rouge. Crise d’éfficacité : état dépense la moitié du PIB française et pourtant, ses résultat sont médiocres, pauvreté augmente. b) Des politiques désincitatives

Intervention de FEtat serait source de chômage et il aurait un effet récessif. Arthur LAFFER : « Trop d’impots, tue l’impôt trappes d’inactivité : ne pas bosser car on gagne plus à rien faire. c) Le problème de la contrainte extérieure Contrainte extérieure, c’est l’ouverture internationale. Le pays est en concurrence avec des entreprises des autres pays : problème de concurrence fiscale et sociale. Quand un Etat intervient bcp dans un pays, risques de délocalisation d’un pays. 4. Intervention étatique et justice sociale : l’Etat doit-il réduire les inégalités ? a) Des inégalités juste et efficace. int de vue néoclassique : distribution revenus par les marchés est juste. Fait que zlatan gagne des millions, juste. Infirmière . 1 500€, ok. Estimé avec notre apport marginale, on doit gagner ce qu’on rapport. Inégalité efficace : si tout le monde est payé pareil, aucune motivation. Toujours essayer de faire plus pour progresser. Non à la redistribution des revenus. b) ou injustes et inefficace ? pour deux raisons : incapable de mesurer la productivité marginale de chaque travailleur. Si on pense en termes de justice, l’apport productif est un apport très pauvre de justice infirmière sauve des vies : payé plus.

Taper dans un ballon : moins remunéré. Moins il ya de demande, moins il y a d’emploi. D’après les keynésiens, l’épargne réduit la demande, faible demande : chômage car les pauvres ont une PMC plus faible. c) Quelles inégalités ? Egalité, 3 sens Egalité de droit : économie de marché dans un monde droit. Égalité des chances : Certains vont a ner, d’autres perdent. Tout de marché dans un monde droit. Egalité des chances : Certains vont gagner, d’autres perdent. Tout le monde art sur un pied d’égalité méritocratie donc juste.

Egalité des situations (égalitarisme) : situation dans laquelle tous es individus ont la même position sociale et le même revenu. Nous ne sommes pas dans cette situation. d) L’analyse de quelques auteurs essentiels. Analyse de 4 auteurs : HAYEK : pense que la justice sociale n’a pas de sens. Le marché est amoral = sans moral. Nous agissons uniquement pour notre intérêt personnel. Comme l’information est imparfaite, nous sommes incapables d’anticiper les conséquences qu’auront sur les autres sur nos actions. Le marché est bien le produit de nos actions mais pas de nos volontés. Jeremy BENTHAM : représentant du courant utilitariste.

Une ociété juste, c’est une société qui engendre le plus grand bonheur pour le plus grand nombre. Il faut accepter de sacrifier quelques-uns. Van PARIJS : Economiste qui a préconisé la mise en place du revenu d’existence qu’on appelle aussi l’allocation universelle. pour que ce soit juste, il faut que tous les individus puissent créer, innover, investir. Revenu d’existence : tous les individus toucheront une contrepartie de notre droit à vivre. John RAWLS . Cherche à analyser la justice sociale. Société juste : société avec des inégalités mais ou ces inégalités profitent au plus démunies.