La filere bois
La diversité végétale et animale de la forêt guyanais est impressionnante, on y compte 1200 espèces d’arbres dont 00 à 300 espèces par km et de 440000 espèces végétale et animale. Le bois est la principale ressource naturelle en Guyane. La superficie des forêts aménagées dédiées à la production de bois et bénéficiant d’un document d’aménagement était d’environ 476500 ha en début d’année 2006, 829000 ha devrait s’ rajouter entre 2006 et 2009. L’état possède environ 7500 ha dont la gestion est confiée à l’NOV. (Office Nationale des forêts). Il possède également des zones de droit d’usage s’élevant à 670000 ha.
Le département est propriétaire d’environ 8200 ha, le CENSÉ (Centre National d’étude Spatiale) possède environ 48000 a, et 20000 ha sont partagés entre plusieurs propriétaires privés. Pour analyser la filière bois, il est nécessaire d’identifier les premier boy stress 1 harpon 17, 2009 9 pages 200 à 300 espèces par krak et de 440000 espèces végétale éléments qui la composent. L’exploitation forestière: consiste en I la mobilisation des bois de forêt (abattage et débarder) et à leur transport en scierie, en la gestion et en la valorisation forestière.
Les activités de premières transformation : ils produisent des sciage soit directement utilisables, soit pour diverses activités secondaires, industrielles ou artisanales. Les activités de rabotage, de profilées, de séchage et de négoces de produits en bois pour la construction sont également des activités de première transformation. Les activités de secondes transformations : utilisent le bois ou les produits issus de la première transformation pour effectuer les travaux de menuiserie, d’ébénisterie et de charpente.
A travers nos différentes recherches, nous sommes arrivés à nous poser la question suivante : Quelle est la place de la filière bois dans l’économie guyanais et quelles sont les perspectives de développement à moyen et long arme pour pérenniser l’activité ? Pour répondre à cette problématique, nous nous sommes axés à an oser la filière bois en Guyane, notamment avec ses retombées en terme économique et sociale, mais aussi les projets de développement.
Et dans un second temps, les méthodes de gestion de manière durable de cette ressource avec ses politiques et ses réglementations misent en placent pour protéger cet costume. La filière bois en Guyane L’activité économique La fin des grands travaux tel que l’installation du Centre Spatial Guyanais a eu pour conséquence de faire chuter la consomma le que l’installation du Centre Spatial Guyanais a eu pour conséquence de faire chuter la consommation de bois entre 1991 et 1992.
Au même moment, la montée en puissance de la concurrence brillaient sur le marché intitulais réduisait de plus en plus les parts de marché du bois Guyanais. Entre 1994 et 2006, la production à tournée en moyenne 60000 mm de grume. L’exploitation forestière, c’est environ 60 000 à 65 000 mm d’abattage d’arbre par an. Les forêts aménagées représentent 850000 ha et 31 entreprises se partagent le marché. On dénombre trois essences les plus utilisées, l’Angélique, e gonflons, et le grognon front.
L’activité de première transformation regroupe 30 entreprises dont celles faisant parties de l’exploitation forestière. En termes d’emplois elle représente 175 à 185 employés. 80 % de la production est destiné au marché local, le reste est dédié à l’exportation vers les entailles. L’activité de seconde transformation réunie quand à elle 185 entreprises liées au domaine de la menuiserie, de l’ébénisterie et de la charpentier. En termes d’emploi elle représente environ 480 employés.
Une petite partie de la production est destinée à l’exportation mais les réveillonnes écoulent leur production sur le marché local 70 % dans le secteur des bâtiments et près de 20 % dans le domaine artisanal, de la menuiserie et de l’ébénisterie. Au total, cinq essences sur 49 exploitables représentent 80% du marché. Les entreprises de première transformation du bois occupent une exploitables représentent du marché. Les entreprises de première transformation du bois occupent une place très modeste dans l’économie du département.
Elles emploient moins de 200 salariés et gênèrent moins de 2,5 % de la valeur des exportations. La filière bois représente entre 1 et 2 % de la population active et sa part dans le PUB (produit intérieur brut) est très négligeable. La balance commerciale est déficitaire du à la dépendance du marché local au produit provenant de hexagone et du brebis. Développement de la filière La production annuelle est des 60 000 à 65 000 mm (abattages) alors que le potentiel de production est de 80 000 mm par an.
Au niveau de l’exploitation, l’optimisation des coûts permettrais sans doute la valorisation d’un plus grand nombre d’essences forestières, en particulier, le bois dit «précieux»; l’augmentation de la production engendrait auprès des chéries, une forte création d’emploi, et es pousserais à se moderniser dans les méthodes de production. Un des enjeux serait de satisfaire la demande locale, au niveau des biens de consommation mobiliers, etc..
L’activité de onde transformation est en majorité artisanale, ce qui ne permet de répondre de manière complète à la demande intérieure. La modernisation des installations est une meilleure organisation du travail permettant une nette baisse des coûts de fabrication et une augmentation de la production. D’autres parts, le bois offre divers autres avantages: ces une source d’énergie arts, le bois offre divers autres avantages: Il s’agit des produits connexes des industries du bois, des sous produits d’exploitation forestière et autre zone déboisées.
On évalue à 100 000 tonnes par an la quantité de bois qui pourrait être utilisée dans de bonne condition. Les technologies de conversion énergétique fiable et adapté au contexte guyanais sont fondeurs la combustion du bois et l’utilisation d’un cycle vapeur. Les installations peuvent produire simultanément de l’électricité, de la chaleur et du froid industriel, selon les procédés de cognerait ou de trépigneraient.
Une filière bois énergie apporterait des avantages considérables, créations d’emplois, faible coûts de production et surtout une réduction de la dépendance énergétique. Le développement de la filière passe aussi par le regroupement des professionnels ayant une vocation commune, à l’exemple de la EST B Guyane (Syndicat des Transformateur de Bois en Guyane), mais aussi par des projets innovant de bois énergie qui offre de multiples avantages économiques, et surtout alliant le développement durable.
Il. *Le développement durable* et les ressources forestières La forêt guyanais appartient au domaine privé de l’état. La surface forestière se répartit entre cinq types de propriétaires : l’état, représenté par l’NOV. (7 450 898 ha), avec des zones accordées aux populations et communautés autochtones (669 449 ha) le département (8 700 ha) le C. N. E. S. 48 500 ha) autochtones (669 449 ha) privés (estimé à 20 000 ha) La forêt de Guyane peut être considérer comme une forêt possédant une multitude de caractéristiques propre (forêt tropicale dense, variée par son nombre d’espèces, sa situation foncière, C’est pour cela qu’il est important de nos jours d’assurer la pérennité de ce patrimoine sur un point économique et écologique. Dans cette optique, nous sommes entrés dans une politique réfléchit de gestion durable de la forêt.
L’exploitation du bois sous haute surveillance La forêt de Guyane, depuis 1948 est gérée, pour sa plus grande part, par l’Office National des Forêts. Il assure, ainsi, la surveillance l’aménagement, l’équipement, l’administration et la gestion durable du domaine patrimoniale naturel. Un tel projet, pour l’avenir de la forêt guyanais appelle l’intervention de la loi pour marquer une volonté de réglementer et tirer de cette richesse naturelle, une efficacité économique. Pour arriver à ce but plusieurs textes de gestation spécifiques ont été adoptés.
AI s’agit du CODE FORESTIER ainsi que des Orientations Régionales Forestières (URF), qui permettent d’affirmer le caractère patrimonial de la forêt de Guyane et précisent la politique forestière menée. De ces textes en découler plusieurs autres comme l’agenda 21 local, qui définit trois axes d’actions : ? la préservation et la valorisation des ressources locales ; ? la jeunesse, un préservation et la valorisation des ressors races locales ; ? la jeunesse, un atout pour la Guyane ; l’accès équitable aux services sur tout le territoire.
Ou encore une réglementation propre à ‘NOV., (qui détient 99 % des forêts) afin de garantir une gestion durable des ressources forestière. Une réflexion a été menée afin de renforcer la préservation de la ressource qu’apporte la forêt, par le décret du 4 février 2007 et la mise en place le erre juillet 2007, du parc amazone de Guyane, un parc de nouvelle génération. Ce parc national couvre une surface de près de 3,4 M d’ha répartis sur saule, marsupial, population, champion-Trois Sauts et Saint-lie où résident plus de 7000 résonner.
Les objectifs sont nombreux : protection de la nature et du cadre de vie, respect des identités culturelles et des modes de vie, développement local et acquisitions de connaissances. L’exploitation forestière même en étant réglementée, ne garantit pas le renouvellement sur place des essences précieuses ainsi que la restauration des sites dégradés par l’activité humaines. Politique de développement durable Le développement durable repose sur une démarche globale centrée sur l’Homme.
Un développement est durable s’il répond aux besoins du présent sans compromettre la opacité des générations futures à répondre aux leurs » (Rapport brûlante, 1987). Le développement durable signifie la gérance et l’utilisation des forêts, d’une manière et à une intensité telles qu’elles maintiennent leur capacité à saut l’utilisation des forêts, d’une manière et à une intensité telles qu’elles maintiennent leur capacité à satisfaire, actuellement et pour e futur à un niveau raisonnable, sans causer de préjudices à d’autres costumes.
Plus concrètement, le développement durable appelle un changement de comportement de chacun (citoyens, entreprises, collectivités territoriales, gouvernements, institutions internationales) face aux menaces qui pèsent sur l’Homme et la planète (inégalités sociales, risques industriels et sanitaires, effet de serre et changement climatique, perte de boiterais, etc.. ).