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ntroduction : Le processus de recrutement se déclenche par le besoin de combler un poste vacant ou un nouveau poste qui devrait contribuer à l’accomplissement de la mission et à la réalisation des objectifs de l’organisme. L’objectif final de ce processus c’est de recruter au bon moment la bonne personne possédant les bonnes compétences. La décision d’embaucher est stratégique pour l’organisme. Problématique : pour une entreprise, quels sont les différents modes de recrutement possible ? Nous étudierons plus recrutement qui exis Document 1 : Comm recruter un cadre ? S. v. next page odes de dent-elles pour De la présélection aux tests, en passant par la recherche d’informations sur les candidats, les recruteurs ne se privent d’aucun moyen pour sélectionner le bon candidat. Présélection. Première étape, plus de la moitié des entreprises effectuent une présélection téléphonique auprès des candidats potentiels. Il peut s’agir d’une Simple vérification d’informations factuelles ou d’un véritable entretien d’embauche. Le recours à la présélection est plus fréquent lorsque le nombre de candidats est important ou lorsque rentreprise a utilisé un réseau social ou une
CVthèque pour identifier des profils. Entretiens et tests. Dans 62% des recrutements, 2 à 5 candidats embauches, les recruteurs ont fait réaliser des tests aux candidats, que ce soit des tests de mise en situation professionnelle, de langue et/ou des tests psychotechniques. Cette pratique est plus usitée dans les grandes structures et dans le cas des recrutements pour lesquels 10 candidats et plus ont été reçus. Les tests sont aussi plus courants lorsque la sélection des candidats est confiée à un cabinet de recrutement. Vérifications et recherches.
Les entreprises ne s’interdisent as, bien au contraire, de vérifier les informations fournies par les candidats dans leur CV, que ce soit les diplômes ou les références ; 8 fois sur dix, des vérifications sont opérées par les recruteurs. Mais les recruteurs, entreprises ou cabinets de recrutement, peuvent aussi effectuer des recherches plus générales sur les candidats. Pour près d’un recrutement sur deux, ils ont recherché des informations sur les candidats via Internet. un recrutement plus rapide via le réseau relationnel.
Toutes ces différentes phases de sélection peuvent ne pas être ffectuées quand le candidat recruté est connu de l’entreprise ou recommandé par une personne extérieure (client ou fournisseur par exemple), ce qui est le cas pour plus d’un tiers des recrutements. On peut noter que la part des candidats connus ou recommandés parmi les candidats recrutés croit avec l’âge de ces derniers. Ainsi, près de la moitié des candidats âgés de plus de 50 ans et recrutés en 2011 étaient connus de l’entreprise et/ ou recommandés par une personne extérieure, contre seulement 31% des candidats âgés de moins de 30 ans.
Source : Apec, Sourcing ca 2 OF s xtérieure, contre seulement 31 % des candidats âgés de moins de 30 ans. source : Apec, sourcing cadres – édition 2012, juin 2012 Document 2 : Recrutement mobile, suivez le mouvement ! L’âge d’or de rlnternet fixe est révolu, place aux applications et au web mobiles ! « Aux USA, 64% des Internautes préfèrent utiliser internet via leur mobile » (Source : Pew Research Center, Avril 2012). Plusieurs études s’accordent à affirmer qu’en 2013, les connexions mobiles auront dépassé les connexions Internet depuis des postes fixes et cet écart ne fera que se creuser dans le futur.
Dans un monde ultra connecté où l’information se diffuse toujours plus rapidement, le web traditionnel n’a pas su emboiter le pas et se trouve inadapté. Conséquence logique de ce déclin, les sites emplois des années 2000 se retrouvent également en mauvaise posture. Ils sont en réalité les artisans de leur propre destruction car ils n’ont pas réussi à s’adapter aux mutations de l’environnement digital, notamment à notre nouvelle façon d’accéder à Internet via le mobile.
La principale raison de cet échec : leur essence et leur vocation. Ces sites ont été pensés et conçus pour être erformant sur un ordinateur conventionnel. L’expertise mobile n’est simplement pas dans leurs gènes. Facebook en est un parfait exemple. Pourquoi avoir racheté Instagram, une entreprise avec un chiffre d’affaires inexistant, pour 1 milliard de dollars s r compenser son manque 3 OF s moindres, le coût très élevé du dépôt d’une offre sur le Web, de l’ordre de 500 Euros en moyenne.
Lorsqu’on sait que les PME représentent 80% des entreprises françaises, l’heure est à la réflexion : on se dit que potentiellement le changement a du bon. Si le mobile remporte tous les suffrages, c’est qu’il a su démontrer a supériorité par rapport au Web traditionnel. Les applis sont naturellement plus performantes que les sites web, aussi bien au niveau de la rapidité d’exécution que de la simplicité d’utilisation. De plus, elles apportent une expérience unique de navigation ! C’est pourquoi Rue De l’Emploi a décidé de construire une plateforme de recrutement 100% mobile.
Capplication propose un service complet qui permet aux recruteurs de déposer des offres directement depuis leur mobile, et aux candidats d’y répondre toujours depuis leur téléphone, sans jamais utiliser un ordinateur. Le dépôt d’offre est gratuit et se fait directement au sein de l’application, tout comme la création de CV. ‘application est disponible gratuitement sur l’AppStore et bientôt disponible pour Androïd et iPad. Source : http://w. ww. commentrecruter. com P Synthèse: le recrutementCette sanction fait suite à un dépôt de plainte de Bouygues Télécom.
Le troisième opérateur du marché s’estimait lésé, étant le plus petit acteur du marché, ? l’époque [en 2005, orange détenait 47 % du marché et SFR, 36 « Ces offres ont amplifié artificiellement l’effet ‘tribu’, c’est-à- ire la propension des proches à se regrouper auprès d’un même opérateur, en incitant les consommateurs à changer d’opérateur pour rejoindre celu 4 OF S auprès d’un même opérateur, en Incitant les consommateurs à changer d’opérateur pour rejoindre celui de leurs proches », a estimé l’Autorité dans son communiqué de jeudi. OFFRES D’ABONDANCE » Pour éviter d’être évincé du marché, « Bouygues Télécom s’est vu contraint de commercialiser des offres d’abondance permettant à ses clients dappeler leurs interlocuteurs ‘en illimité’, quel que oit leur réseau (ainsi du lancement de l’offre Néo en 2006) mais au prix d’une forte hausse de ses coûts », ajoute l’Autorité.
Or, pour Bouygues élécom, ces offres « tous réseaux » étaient particulièrement coûteuses : en effet, comme il disposait d’un moins grand nombre de clients, ceux-ci avaient logiquement davantage tendance à appeler des abonnés d’autres opérateurs. L’opérateur devait donc verser à ses deux gros concurrents davantage de droits de passages sur leurs réseaux (on appelle cela des « terminaisons d’appel »), que ces derniers sur le amende, de 117,4 millions d’euros pour Orange, et sien.. e 65,7 millions pour SFR, n’ira pas à Bouygues Télécom, mais directement dans les caisses de l’Etat. Elle porte sur des offres qui ne sont plus proposées en boutique ni sur internet, même si un certain nombre d’abonnés Orange et SFR en bénéficient encore (il n’est pas possible aux opérateurs de clore unilatéralement une offre, une fois qu’elle a été souscrite par un client). Mais dans le contexte d’extrême concurrence qui prévaut aujourd’hui, l’amende devrait encore aviver les tensions entre les acteurs du mobile français. S OF s