La croissance économique et ses évolutions en Europe et aux Etats-Unis de 1929 à nos jours
« La croissance économique et ses évolutions en Europe et aux Etats-Unis de 1929 à nos jours » Les mécanismes de la crise de 1929 peuvent s’expliquer d’une part par une forte industrialisation due à des innovations majeures (électricité, moteur à explosion et progrès dans le domaine de la physique) et d’autre part par la modernisation des entreprises américaines (Taylorisme et Fordisme). Ceci entrainant une surproduction et une spéculation boursière, deux facteurs princip 1929.
La faillite banc 2 carte, provoque le re it p g provoque l’effondre n’injectent plus d’arg 4 et 29 octobre château de s qui à son tour les investisseurs celles-ci ne peuvent plus ni produire, ni continuer à innover). Cet effondrement des productions entraine à son tour faillite des entreprises et par conséquent l’augmentation du chômage amenant l’appauvrissement des populations. Les grandes entreprises ayant un investissement au niveau mondial (leurs capitaux sont vendus dans les places boursières internationales), la chute de la bourse de New-York amène automatiquement celle des autres pays. our sortir de la crise plusieurs solutions sont apportées. Tout d’abord, dès 1933 le président Roosevelt met en application les théories de John Keynes (augmentation des impôts, et donc rééquilibre budgétaire grâce à la hausse des recettes de l’état). Les Etats-Unis se lancent dans de grands travaux permettant ainsi l’embauche d’ouvriers et inversant la courbe du chômage. En prix permet une production plus modérée, un octroi de crédit à la consommation pour suivre la hausse du pouvoir d’achat relançant ainsi le fonctionnement des banques.
L’Etat met également en place des aides sociales pour contrer l’appauvrissement des opulations. Après la guerre de 39-45, l’Europe, le Japon et les Etats- Unis ont connu une période de trente ans de prospérité et de croissance économique (les Trente Glorieuses, expression que l’on doit à l’économiste français Jean Fourastié en 1979). Si sur le plan humain une guerre est un fléau, elle est un véritable essor pour la prospérité et l’épanouissement de la société de consommation.
Un cercle vertueux se met en place : tout est ? reconstruire. En premier lieu des villes et des villages doivent être remis en état (restauration des maisons, des bâtiments, es églises… ) permettant l’emploi massif de main d’œuvre. Ensuite l’économie agricole doit être remise sur pied (permettant l’acheminement de nourriture vers les villes, développant ainsi les commerces et donc l’économie). Tout cela contribue à la situation de plein emplois. Ainsi une période de forte croissance économique (Jusqu’à 5% annuel) s’amorce.
Les états qui jusque ici avaient une fonction principalement régaliennes (justice, police, diplomatie… ) se dirigent petit à petit vers une fonction sociale (Etats providences : apparition de la sécurité sociale, de ‘assurance vieillesse, assurance contre les accidents du travail… ). L’essor économique ainsi dynamisé va permettre l’injection d’investissements dans différentes entreprises mondiales, relançant l’innovation (développement des robots ménagers, améliorations des conditions de vie dans les foyers… et la moderni 22 (développement des robots ménagers, améliorations des conditions de vie dans les foyers… ) et la modernisation des usines (expansion du fordisme). Ce qui conduit à une aire de la consommation de masse. Les Trente Glorieuses vont être favorisés par plusieurs acteurs. Le fordisme à l’origine de la modernisation des entreprises permet la standardisation des produits (production à cout réduit et massive) d’où une baisse des prix permettant de répondre à une demande élevée des ménages.
Un autre facteur important est le prix de l’énergie et des matières premières abordables (contribuant aussi à la baisse des prix des objets de consommations courantes). Les prêts et dons des Etats-lJnis vers l’Europe pour sa reconstruction en 1947 ainsi que la mise en place du GAIT (L’accord général sur les tarifs douaniers et le commerce ayant our objectif le développement du libre-échange) ont permis l’augmentation du PIB et à la forte croissance. Enfin, l’expansion des stratégies privés et publiques comme l’essor de la publicité et de la grande distribution ont été déterminants.
A partir de 1973 jusque nos jours, vont s’enchainer récessions et crises. Le premier choc pétrolier en 1973 voit le prix du pétrole multiplié par quatre (un second suivra en 1979). Associé à une hausse des prix de l’énergie et une diminution des demandes des matières premières de la part des pays industrialisés il conduit ? une crise durable : effondrement du secteur des industries traditionnelles (les mines, la sidérurgie, le textile, l’automobile) avec pour conséquence une hausse des coûts, obligeant la fermeture ou la délocalisation de celles-ci.
On entre alors dans un cercle vicieux : délocalisons et f délocalisation de celles-ci. On entre alors dans un cercle vicieux : délocalisons et fermetures égale chômage, baisse de la consommation (stagnation de la croissance économique et déséquilibre de la balance commerciale) avec pour conséquence une inflation. On se retrouve donc en récession. Entre 1987 et 1997 d’autres diverses crises locales et boursières (principalement en Asie) vont perturber l’économie mondiale et ralentir la croissance.
La crise des subprimes de 2007 (prêts hypothécaires à risque) touche encore plus un secteur boursier déjà bien affaiblit : la chute des valeurs immobilières entraîne crise bancaire (faillite ou restructuration des banques) et endettement généralisé des états d’où une croissance faible. Si ces récessions et crises à répétition font le malheur des grandes puissances mondiales, elles permettent l’émergence des BRICS Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).
L’implantation d’usines dans ces pays participe à leur développement économique et social, avec pour conséquence de nouveaux maîtres du jeu dans l’équilibre mondial. domaine de la physique) et d’autre part par la modernisation des entreprises américaines (Taylorisme et Fordisme). Ceci entrainant une surproduction et une spéculation boursière, deux facteurs principaux du krach boursier du 24 et 29 octobre 1929.
La faillite bancaire, comme un véritable château de carte, provoque le retrait des investissem 4 22 aillite bancaire, comme un véritable château de carte, provoque le retrait des investissements qui à son tour provoque l’effondrement des productions (si les investisseurs n’injectent plus d’argent dans les entreprises celles-ci ne peuvent plus ni produire, ni continuer à innover). Cet effondrement des productions entraine à son tour faillite des entreprises Les Etats-Unis se lancent dans de grands travaux permettant ainsi l’embauche d’ouvriers et inversant la courbe du chômage.
En parallèle une hausse des prix permet une production plus modérée, un octroi de crédit à la consommation pour suivre la ausse du pouvoir d’achat relançant ainsi le fonctionnement des banques. L’Etat met également en place des aides sociales pour contrer l’appauvrissement des populations. l’on doit à l’économiste français Jean Fourastié en 1979). Si sur le plan humain une guerre est un fléau, elle est un véritable essor pour la prospérité et l’épanouissement de I s 2 guerre est un fléau, elle est un véritable essor pour la prospérité et l’épanouissement de la société de consommation.
Un cercle vertueux se met en place : tout est à reconstruire. En premier lieu es villes et des villages doivent être remis en état (restauration des maisons, des bâtiments, des églises… ) permettant l’emploi massif de main d’œuvre. Ensuite l’économie agricole doit être remise sur pied (permettant l’acheminement de nourriture vers les villes, développant ainsi les commerces et donc l’économie). Tout cela contribue à la situation de plein emplois. Ainsi une période de forte croissance économique (jusqu’à 5% annuel) s’amorce.
Les états qui jusque ici avaient une fonction principalement régaliennes (justice, police, diplomatie… se dirigent petit à petit vers une fonction sociale (Etats providences : apparition de la sécurité sociale, de rassurance vieillesse, assurance contre les accidents du travail… ). L’essor économique ainsi dynamisé va permettre l’injection d’investissements dans différentes entreprises mondiales, relançant finnovation conso 6 2 matières premières abordables (contribuant aussi à la baisse des prix des objets de consommations courantes).
Les prêts et dons des Etats-Unis vers l’Europe pour sa cercle vicieux : délocalisons et fermetures égale chômage, baisse e la consommation (stagnation de la croissance économique et boursières (principalement en Asie) vont perturber réconomie entraine crise bancaire (faillite ou r entraine crise bancaire (faillite ou restructuration des banques) et endettement généralisé des états d’où une croissance faible.
SI maitres du jeu dans l’équilibre mondial. deux facteurs principaux du krach boursier du 24 et 29 octobre 1929. La faillite bancaire, comme un véritable château de carte, provoque le retrait des investissements qui à son tour provoque l’effondrement des productions (SI les investisseurs ‘injectent plus d’argent dans les entreprises celles-ci ne peuvent de New-York amène a Pour sortir de la crise plusieurs solutions sont apportées. nis ont connu une période de trente ans de prospérité et de être rems en état (restauration des maisons, des bâtiments, économique (jusqu’à 5% annuel) économique (jusqu’à 5% annuel) s’amorce. Les états qui jusque l’assurance vieillesse, assurance contre les accidents du travail… )- modernisation des usines (expansion du fordisme). Ce qui conduit à une aire de la consommation de masse. Le premier c 0 2