La crise financiere

essay B

Avec cette évolution du marché, deux compartiments seront à distinguer: Le marché monétaire au sens strict ou marché interbancaire, réservé aux banques et autres institutions financières, il assure la rencontre entre les offres et les demandes de la monnaie centrale. Le marché monétaire au sens large appelé aussi marché ouvert, il est le marché des capitaux à court et moyen terme. Dans ce marché le nombre d’opérations est élargi et premier boy ennuyeuse empara 24, 2011 | 11 pages On dis?ange habituellement deux types des marchés deux marchés l’un âpres l’autre. Aperçu général refermeraient où certaines institutions financières les entreprises, le trésor et les institutions financières y sont en concurrence. Le marché monétaire fonctionne de gré à gré et n’est pas localisé dans un endroit fixe. Les opérer opérations s’effectuent par téléphone ou tout autre moyen télématique à partir des salles de marché des intervenant. C’est un marché très liquide où s’échange très largement es titres négociables et aussi des prêts directs entre les institutions financières et non financières. . Les instruments du marché monétaire Ce marché consiste en l’échange de monnaie contre dettes à court terme représentées par des titres. Si ces instruments négociables font l’objet d’échanges très largement sans frontières, il n’en reste pas moins que chaque instrument est crée dans le cadre d’une réglementation nationale qui définit en particulier les recours juridiques possibles pour ceux qui l’échange. Nous présentons ici les instruments financiers les plus utilisés en France et aux état unis.

Bons de trésor (BAT): Ce sont des titres de dettes publiques a court et moyen terme. Ils sont émis par l’état et sont considérés sans risque car l’état ne peut pas faire défaut. Aux états unis les « terreurs bille » (Bons de trésor) à 1,3 et 6 mois sont régulièrement émis et constituent un des instruments les plus privilégiés. En France les bons de trésor à 3, 6 mois et 1 an sont émis pour des montants variant de 12 à 20 milliards d’héros par mois en 2005 et 2006 (202 milliards au total démissions brutes en 2005 contre 46, 5 milliards de BATTANT à 2 et 5 ans).

Certificats de dépôts(CT) : Ce sont des titres à court terme émis par les établissements de crédits et détenus par des agents financiers ou non financiers. Leur échéance est comprise entre détenus par des agents financiers ou non financiers. Leur échéance est comprise entre 1 jour et 1 an mais dans la plupart du temps ces échéances ne dépassent pas 3 mois (en 2006 75% des certificats on I à 3 jours d’échéance). Billets de trésorerie: Ce sont des titres à courts termes émis par les entreprises autres que les établissements de crédits et rémunérés par un intérêt fixe ou variable.

Notons qu’aux états unis les « commercial papier » jouent le même rôle mais émis par les grandes entreprises ou les banques. Swaps de taux: C’est un accord conclu entre deux institutions financières dans le but d’échanger des payements périodiques liés au taux d’intérêt (dans la même monnaie). Les acceptations bancaires: Ils sont remplacés peu à peu par les instruments cités précédemment. Une acceptation est un ordre de payement d’une entreprise accepté par sa banque (l’équivalent d’un chèque) acceptation par laquelle la banque garanti le payement si l’entreprise ne paye pas.

Cette garantie facilite l’accès à des marchés étrangers jouant ainsi un rôle essentiel dans le financement du commerce international. Ils font l’objet jusque récemment d’un marché secondaire important entre banques. Le tableau suivant montre le montant des instruments en France I Encours I émissions I Nombre d’émetteurs | 306,1 I De la semaine | 134,3 1166 BIT non adossés à des actifs 157,2 148 114,9 I BAT adossés à des I actifs BAMBIN 116,9 14,1 119 17 | 60,3 11,3 Source: banque de France abréviations voir texte. 3.

Mécanismes du marché Le marché monétaire est l’un des marchés de capitaux remettant le rapprochement entre l’offre et la demande de capitaux. AI est constitué de deux compartiments à peu près distincts selon les intervenant, les instruments et le mode de fonctionnement. Ainsi, nous présenterons dans ce qui suit les mécanismes spécifiques à chaque compartiment. Ai) Marché interbancaire Toute institution doit avoir chaque jour un bilan équilibré. Les agents à la recherche de ressources offrent des titres ceux qui sont à la recherche d’emploi pour leurs disponibilités.

Ai ainsi sont qualifiés à intervenir dans ce marché les établissements de crédits, le trésor public, la aise de dépôt et de consignation d’une part et d’autre part la banque centrale qui intervient afin d’assurer la liquidité du marché. Cependant certaines opérations permettant le fonctionnement de ce marché sont à notifier: opérations en blanc: c’est un engagement opérations en blanc: c’est un engagement pur et simple de prêt entre établissements, sans garanties spécifiques.

Ces opérations représentaient en moyenne 45 milliards d’euro par jour dans la zone euro, dont 19 milliards à Paris ; achat d’effets publics ou privés: c’est une cession ferme des titres par l’organisme emprunteur ; aise en pension d’effets publics ou privés: consiste à céder les titres tout en s engageant de les reprendre ; La banque centrale réguler ainsi le marché par les opérations d’opine marte. Elle peut alors accroître ou diminuer le volume de liquidité en vendant ou achetant des titres.

Elle balise le taux du marché monétaire en fixant: un taux planche, taux des appels d’offres. Elle s’engage prendre en pension pour quelque semaine à ce taux une quantité limitée des titres (bon de trésor ou effets privés) ; un taux plafond, le taux de pension. A ce taux les banques peuvent à leur demande recourir à la mise en pension pour quelque jour 5 à 10 jour en France) ; On retrouve un certain nombre de taux servant de référence pour les calculs des taux variables, notamment le taux moyen pondéré (TEMPS), le taux moyen mensuel ou annuel. ) le marché des titres de créances négociables Ce second compartiment du marché monétaire donne accès à tous les agents économiques. En raison de l’aspect direct des financements, ce marché sera pour les capitaux à court terme, l’équivalent de ce qu’est le marché financier pour les capitaux à long terme. Les instrument l’équivalent de ce qu’est le marché financier pour les hôpitaux à angon terme. Les instruments utilisés sont entre autre les bons de trésor, les certificats de dépôts, les billets de trésorerie.

Ces titres sont d’un montant excessivement cher, 1000000 de francs, montant unitaire minimum en France en 1997. Ce montant élevé limite l’accès au marché aux agents disposant de liquidités importantes (POCHE et grosses entreprises). Notons que certains titres comme les bons à moyen terme font l’objet d’une notation (ratine). Suite à un diagnostique approfondi, une agence indépendante attribue une note, qui permet au souscripteur d’évaluer le exquise de non remboursement.

A titre d’exemple modes, Standard and ports International. Tout le jeu des intervenant consiste en effet à utiliser le marché pour rendre maximale la rentabilité globale de leur portefeuille de titres, en se procurant ou en offrant des liquidités à bon escient. L’importance et la forme des interventions dépendent comme pour les spéculateurs en bourses des anticipations sur le prix ultérieur du prix des liquidités.

AI- Marchés financiers Si le marché monétaire est un marché de capitaux à court terme, le marché financier quant à lui est un marché de hôpitaux à long terme. Bien qu’ils soient tous des marchés de capitaux, ces deux marchés n’ont pas connu la même évolution et ne fonctionnent pas de la même manière. Après avoir brièvement caractérisé le marché financier nous traiterons séparément les instruments utilisés dans ce marché et enfin son or ce marché et enfin son organisation. 1. Réservation générale Après avoir été le creuset du financement de l’économie industriel au eue siècle et entre les deux guerres mondiales, le marché financier était au lendemain de la seconde guerre mondiale en pleine décadence. En Outre- Atlantique les firmes se finançaient par autofinancement, en européen, l’état et les institutions financières contrôlaient les circuits de capitaux. Ainsi après une évolution financière liée aux crises, à l’inflation et au besoin accru des capitaux, on assiste à un essor des marchés financiers dans le monde vers les années 198011 J.

La diversification des opérations, l’internationalisation des marchés et la variété des objectifs des intervenant (spéculations, couverture de risques, arbitrage…. ) ont été l’origine d’une organisation de plus en plus complexe du marché. Ceci étant dit, il est possible de définir le marché financier comme étant le lieu des émissions et des négociations des titres à long terme mobilisant l’épargne nationale et internationale et de toutes les opérations destinées faciliter et à accompagner cette mobilisation.

En effet ce marché distingue trois compartiments: marché primaire où s’opèrent les émissions, puis le marché secondaire où se réalisent les négociations des titres anciens et enfin les marchés dérivés dans lesquels s’effectuent les opérations d’accompagnements. Aussi dans ce marché deux types de titres fondamentaux ont négociés: les actions et les bol d’accompagnements. Sont négociés: les actions et les obligations. Tous les autres titres sont des dissociations, des assemblages ou des dérivés de ces deux composantes de bases.

Quant aux intervenant ils sont de cinq types: les émetteurs, et les souscripteurs sur le marché primaire, les vendeurs et les acheteurs sur le marché secondaire et enfin les intermédiaires. 2. Les instruments du marché financier Les instruments (valeurs mobilières) sont des titres transmissibles susceptibles de cotations, émis par des personnes morales, publiques ou privées en contrepartie ‘une ressource de financement, dont la maturité dépasse 1 an. Leur prix fluctuent d’avantages que ceux du marché monétaire et ils constituent des placements plus risqués.

Les valeurs mobilières de base sont les actions et les obligations. Actions: Elles sont émises à l’occasion de la constitution des sociétés, ou d’un accroissement de capital. Elles sont la contrepartie d’un apport de fond propre aux entreprises représentée par des titres. Ces derniers confèrent aux associés d’une part un droit pécuniaire (dividendes, bonis de liquidation), et d’autre part un droit de participer à la estime (droit de vote, droit d’information … ).

En plus des actions ordinaires, de nombreux titres représentatifs de fonds propres sont couramment émises on distingue entre autre: actions de priorité ou privilégiées ; actions à dividendes prioritaires ; certificat d’investissement , actions à bon de prioritaires ; certificat d’investissement ; actions à bon de souscriptions d’actions ; Obligations ; ce sont des titres constatant une dette d’une entreprise privée ou publique, de l’état ou des institutions financières.

Elles donnent droit à une rémunération fixe et déterminée par le taux en vigueur au moment de ’emprunt. On distingue les obligations à taux fixe, à taux indexé, à coupon zéro etc.. Une autre distinction est à préciser: obligations d’état: ce sont des obligations émises par les états pour financer le déficit budgétaire.

Dans la plupart des pays ces obligations représentent une part importante des marchés, aux états unis les transactions sur ces obligations dépassent en moyenne milliards de dollars par jour ; obligations privées: les entreprises qui bénéficient de bonnes évaluations peuvent émettre des obligations à long terme ; obligations hypothécaires: ce sont des titres représentatifs e prêts faits aux ménages et aux entreprises pour acheter des biens immobiliers qui servent de garanties à ces prêts.