La crise de
La crise de 1 929 a plongé de nombreux états dans la dépression. Elle est apparue comme une crise structurelle, c’est-à-dire une crise qui a remis en cause les structures mêmes du système économique de l’époque basé sur la théorie classique de l’dérégulation des marchés. Ainsi, on peut se demander pour quelles raisons la crise de 1929 est devenue une référence ?
On va voir dans un premier temps l’enchaînement de la crise : son déroulement et comment on est passé d’une crise financière américaine à une crise économique mondiale. Dans un deuxième temps, on verra quelles ont été les réponses apportées à la crise, que ce soit au niveau es interprétations théoriques ou au niveau des politiques mises en couvre. Premier bu venins I phoque 15, 2009 8 pages mises en ?ouvre.
I) l’enchaînement de la crise A) Le déroulement de la crise florin ? Formation d’une bulle spéculative, c’est-à-dire décalage entre la croissance physique (matérielle) et la croissance des valeurs financières (cours des actions croissait beaucoup plus vite que l’économie réelle [PUB]) 0 cours des actions avait flambé entre 1925 et 1 929 alors que la production globale n’avait augmenté que de suite l’optimisme des opérateurs, climat d’euphorie générale.
Accélération du boom espèce hâtif malgré les signes annonciateurs. Indice do joncs a fortement progressé : le total des valeurs est passé de 27 milliards à 89 milliards en ans (1927 à 1929). L’optimisme général a entretenu le rush n les spéculateurs sont aussi des particuliers. ? Les « cala ions » permettait de spéculer sur des actions en n’en payant que 1 l’acheteur emprunte ensuite 90% de l’argent aux coursiers qui eux-mêmes empruntent aux banques au jour le jour (à court terme).
Le coursier garde en garantie quelques titres de l’acheteur, si le cours de l’action baisse il demande de l’argent ou des actions plaisanteries à l’acheteur. ? Le krach boursier mois d’octobre retournement du marché : on passe de l’optimisme à l’inquiétude fluctuation importante du do joncs pendant environ I mois, effondrement du cours des actions en bourse : – 19 octobre : 3,5 M de titres vendus – 24 octobre = jeudi noir « blanc trahiras » : 13 M de titres vendus – 29 octobre . 6 M de titres vendus C] Chute du do joncs de 800/0 entre 1929 et 1 932 B) De la crise financière à une crise économique mondiale : « La grande dépression » mondiale : « La grande dépression » ? 3 facteurs qui généralisent la crise financière à l’économie louable : – Abus de crédit : Krach boursier conduit à la ruine de nombreux spéculateurs et mise en difficulté de nombreuses banques car le mécanisme des « cala ions » ne fonctionne qu’ une seule condition : il faut que les cours montent.
Les actions étaient financées par le crédit donc cala ions – actions à risque. Lors du krach les banques ont prêté de l’argent sans être remboursés D pertes sèches. L’économie américaine était basée sur le crédit, de 1924 à 1929 le crédit est multiplié par 11. – Fragilité du système bancaire : de nombreuses petites nuques qui ne se prêtent plus d’argent entre elles C] fin de la confiance. Cela entraîne faillite de nombreuses banques (4300 banques font faillite aux états-Unis entre 1929 et 1931). Erreur de la politique monétaire de la FÊTE (Banque centrale américaine) qui relève le taux d’escompte, taux d’intérêt passe de 5% à 6% C] aggravation de la récession car vu qu’une partie de l’économie était financé par le crédit. Les banques ont-elles aussi relevé leur taux d’escompte contraction du crédit Cl chute de la consommation. ? monopolisation de la crise : au départ crise américaine.
EU = er investisseur en européen donc la crise a entraîne un retrait massif des Investissements américains Cl faillite de banques et entreprises européennes C] généralisation de la crise à l’européen : – 1 ère vague : allemande et autruche car pays fortement dépendants des crédits américains suite au remboursement de leur dette due pour la erre guerre crédits américains suite au remboursement de leur dette due pour la erre guerre mondiale – Emme vague : Royaume-Uni, plaque tournante dans le capitalisme international – Emme vague : France touchée plus tardivement (fin 1931), risée moins marquée mais plus durable Chute de l’importation aux EU (baisse de la consommation) C] influence l’économie mondiale. EU étaient les premiers exportateurs mondiaux donc la déflation des prix se transmet au monde entier. Baisse générale de la production industrielle.
Effondrement des échanges commerciaux dans le monde 0 contraction du commerce mondial. Conjoncture mondiale (cf.. Schéma). ? Une crise sociale : chômage de masse pas indemnisé C] perte de tous les revenus (EU : 3,1 % de a population active en 1929 et 250,6 en 1933, allemande : 100/0 en 1929 et 330,6 en 1933) Il) Les réponses à la crise Face à cette crise de grande ampleur, des économistes ont produit des interprétations théoriques pour expliquer la crise. A) Les interprétations théoriques ? Les classiques D il aurait fallu laisser faire le marché qui se serait lui-même autoroute. La crise de 1929 aurait permis d’éliminer du marché les entreprises infectieuses et ma gérées. L’analyse monétariste : la crise est due à une politique mal adaptée et trop restrictive de la FÊTE, politique qui a consisté à ne pas venir au secours des banques américaines en difficulté. Au contraire, les responsables monétaires roussir (assécher les liquidités notamment en augmentant le taux d’escompte qui est relevé à 6% en août 1929) [ils pensaient qu’avec le climat général d’optimisme et avec la consommation que les prix allaient augmenter fortement, en réalité les prix était déjà en train de baisser car il y avait surproduction]. Ce relèvement du taux d’escompte produit un rapatriement des capitaux américains aux états-Unis.
Pour les monétaristes, il aurait fallu prêter aux établissements financiers en difficulté, leur venir en aide. ? cannes a étudié les effets de la crise au Royaume-Uni entendant les années 1930 et son ouvrage a Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936) permet de fournir une interprétation de la crise. ? cannes refuse la loi de JOB asa comme quoi « l’offre crée sa propre demande » donc il refuse l’idée qu’une crise de surproduction serait nantissable. En effet, toute production donne lieu à un flux de revenu dans le circuit économique (la production entraîne la création de salaires et de profits). Ces revenus permettent l’écoulement de la production par le biais de la consommation.
Mais l’épargne peut constituer une fuite dans le circuit, en épargnant les gènes économiques ne réintroduisent pas les revenus dans le circuit économique. Les épargnes qui s’accumulent favorisent donc une demande de monnaie pour elle-même, une demande de liquidité. Le revenu gagné n’est pas consommé, ni investit mais il est conservé sous forme de liquidité. Cela empêche l’égalité entre l’offre et la demande C] crises de surproduction. C’est ce qui conduit cannes préconiser entre l’offre et la demande C] crises de surproduction. C’est ce qui conduit cannes à préconiser « l’euthanasie des rentiers La crise de 1 929 obéit à ce schéma.
La spéculation des édits épargnants motivée par des intérêts à court terme conduit à une insuffisance des investissements car l’argent de l’épargne était retiré du circuit économique.