LA BETE AUX DESIRS SEXUELS
LA BETE AUX DESIRS SEXUELS CHAPITRE PREMIER : La rencontre.. Sous une couverture humide et rafraichissante de l’arme, c’est l’obscurité totale qui desserve la forêt. Elle consomme toutes les âmes des lumières et domine celles des ténèbres. Le gris, le noir, le sombre, définissent tous d’eux l’univers monotone dont lequel je vie. Aujourd’hui est un nouveau départ pour ma famille et moi, après plus de quinze années de déménagement c’est tous ce dont nous pouvons espérer. Comme toutes les personnes de mon âge, c’est la reprise des cours.
Nouvelle vie et nouvelle ille, se fondre dans I sont les mots d’ordre je m’installe, les seuls ou du rouge, ils défin impulsif que je suis. Swip ta View next page re remarquer. Ce ciale. Partout où t du noir, du gris s le chasseur très r. Je m’apprête ? sortir de ma suite, quand, tout à coup j’entends venir ma femme de ménage, frapper à ma porte. _ Monsieur Sergey ? Je lui réponds aussitôt d’une voix rassurante. Oui ! Un instant et je vous ouvre ! Monsieur, votre mère vous demande en salle de réunion. Elle souhaite vous parler avant la chasse.
Très bien Madame Rose, je descends immédiatement. Je tiens à ce que Monsieur se souvienne que je dols nettoyer sa suite. _ Non ! Surtout pas Rose ! Enfaite, hier soir je me sui to next page suis laissé un peu emporter avec mes plus extrêmes folies, donc du coup, ma suite a été submergé de… vous savez quoi… ! _ C’est entendu ! Bonne journée Monsieur Sergey et j’espère que ceci n’est pas le sujet auquel votre mère souhaiterait vous en parler. _ En effet ! Faite que cela ne le soit pas. Bon j’y vais. Merci encore Rose et bonne journée !
Ma mère, la plus gentille, la plus adorable, la plus magnifique, que ire à son propos si ce n’est qu’elle soit une bonne mère. Elle sera toujours là pour moi et pour nous tous d’ailleurs. En sortant de ma suite je croise ma petite sœur Giuliana. Tu es bien radieuse ce matin ! Et toi, je vois que tu as passé une excellente nuit ! _ Ce n’est pas bien d’écouter aux portes. _ Je me demande ce que notre père et notre mère vont penser ! Surtout dans l’état auquel tu l’as mise cette nuit-là ! A ce moment-là je ris. Joyeux je réponds : _ Je suis le chouchou de notre mère, elle ne me fera rien ! Oui mais pas de notre père ! Quand je lui annoncerais la ouvelle, il te criera dessus comme il le fait sur les autres cleps. Et tu devras te justifier. _ Giuliana un peu de respect ! Ces cleps comme tu le dis, ils sont de notre famille ! Un peu furieux je continus de la gronder : Ces cleps ont toujours été là pour mol, pour toi, pour nous ! Alors désormais, j’aimerais ne plus t’entendre prononcer ces mots. J’ai étais assez clair ? oui sergey ! Bon ! Oublions ça maintenant. Tu vas à la chasse, toi aussi ? 2 assez clair ? _ Oui Sergey ! _ Bon !
Oublions ça maintenant. Tu vas à la chasse, toi aussi ? Quelle question ! C’est sûr que oui ! Attends que je me prépare. Désolé ! Je voudrais que tu restes au château. Je crois que Kate ne se sent pas amplement bien. Ma sœur Giuliana rentre dans sa suite. Je parcours le grand couloir glacial et descends les escaliers jusqu’au second étage. Je descends les escaliers jusqu’au premier étage, je continus jusqu’au rez-de-chaussée et j’aperçois mes frères et sœurs armés et prêts à chasser. Je descends au sous-sol, et je rencontre ma mère.
Dis-moi, jeune Béta, cette nuit-là, il s’est passé quelque chose ? _ Non ! pas du tout mère ! Es-tu vraiment sûr ? Euh… euh. .je…. c’est… Ah ! Je vois ! Tu ne peux pas te Justifier. _ C’est que… c’est que… bein enfaite il s’avère qu’hier soir je me suis faits plaisir ! Comment ? Comment oses-tu le faire ici ? Et dans ta suite ? Non ! Enfaite j’avais déjà entamé dans les bois et ensuite je l’ai finis dans ma suite. _ Tu t’es déjà faits plaisir, donc, tu seras puni et tu n’iras pas à la chasse ce matin. Mais mère… m… _ Ne discutes plus ! C’est un ordre !
A présent tu te prépares pour le lycée, et je te préviens ne ramène plus de viande ici ! Tu risques de nous attirer de graves ennuis. Entendu mère ! Je remonte aussitôt dans ma suite, frustrer et mécontent, je m’habille pour le lycée. Je choisis ce jean noir très brut qui me colle aux jambes avec une chemise noire très 3 lycée. Je choisis ce jean noir très brut qui me colle aux jambes avec une chemise noire très classe. Je relève les manches aux coudes, cela donnera un côté brutal et sauvage, tout à fait mon genre. Je n’oublie pas de prendre ma veste en cuir qui m’arrive aux cuisses.
Et je pars au lycée avec ma belle Porsche 911. En llant au lycée sur le chemin des bois grisant, je vois une troupe de jeunes très appétissants. A vue d’œil ils ont près de seize ans. Ce sont tous des mecs. Je sens leur odeur de mecs virils par contre, je sens une autre odeur, celle de la pureté et de l’innocence. Ce parfum m’attire tellement plus que celui du sang frais. C’est comme une foutue obsession. Elle parvient même à envouter mon esprit tordu malgré moi. Je me rapproche de plus en plus d’eux et écoute leur pensée. Ce sont des voyous, des ripoux et je dois m’arrêter.
Je me range à droite et sors de la oiture, là je sens une goutte de pluie qui effleure mon visage. Cela est si tendre et si douce. Je me dirige tout droit vers ces mecs Puiseaux. Excusez-moi, vous avez besoin d’aide ? e plus grand et gros m’interpelle . Bouffon de quoi tu t’mêles inh ??? Un autre plus petit mais assez baraqué repris : Dégage ça te regarde pas ça ! Allez dégage connard ! Le troisième un peu moyen s’approche de moi tout en disant . Tas une belle caisse t’sais ça inh ??? Sans plus attendre j’avance à mon tour et lui dis sereinement • _ Vous ne savez pas à quoi vous avez à faire et j’ai 4