Kâli décapité et La fin de Marko

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1. Introduction Les deux personnages meurent à cause de leur rage face à leur i mpuissance. L’impuissance de Kâli est qu’elle n’arrive pas être parfaite et celle de Marko est qu’il n’arrive pas à battre le vieux sage. Le sage apparaît ,dans les deux cas, juste avant la mort des personnages principaux. (p. 127 et 135) Les différences dans e » l’histoire est racon Sni* to View e dans « Kâli décapité narrateur et que Kâli est r ellement presente dans l’histoire. Cest àdire qu’elle prend la parole (p. 27) alors que dans « La fin de Marko Kraliévitch » la personne q i raconte l’histoire de Marko est le vieux Stévan qui est lui un personnage de Fhistoire. Il repren d les paroles de Marko, se qui revient à dire que Marko n’est pas réellement présent dans l’histoi Kâli décapitée : Son corps a été décapitée deve nant à moitié divinité et à moitié prostitué (p. 1 24), être décapitée signifie en somme mourir. La fin de Marko Kraliévitch : Après avoir fait un long voyage et véc u beaucoup de chose En conclusion, les deux titres font référence à la mort. 2. ersonnage Ici, il y a une réelles rivalité entre les deux aspect de Kâli. Ce sont deux aspect contraires qui traduisent en même temps la pureté d’une déesse et la bassesse d’une prostituée. Ces deux états contraire sont souvent montré dans le texte par d es figures, telles que l’antithèse, l’oxymore, le chiasme Exemple d’antithèses qui montre le lieu et le temps :  » On la renco ntre simultanément au Nord et au Sud  » +  » dans le cuivre du crépuscule, et, dans Por de midi  » pa #121. Ici, ces antithèses sont la pour montrer que Gli est partout et tou t le temps, comme une prostitué.

Exemple d’antithèses qui montre les deux physlque et personnalit orrible et belle  » Sa bouche est chaude comme la vie ; ses yeux profonds comme la mort.  » Ici, ces antithèses sont la pour montrer que kâli a à la fois une têt e pure et à la fois un corps impure. p. 124— signe maudit phonétique : Kali décapié « k », Gli deux syllabe deux « personnes » kâli la déesse et kali la prostituée. on peut exprimer la rivalité de ces deux personnes avec le dégoût que a une femme « pure » et « saine » p itué.

Kâli décapitée: « Le sentiment du grand repos définitif, arrêt des mondes, délivran ce des êtres, jour de béatitude ù la vie et la mort seront également inu tiles, âge où Tout se résorbe en Rien » p. 126 « Le désir t’as appris l’inanité du désir, ditil ; I e regret t’enseigne l’inutilité de regretter.  » p. La fin de Marko Kraliévitch: « Ne te mets pas à faire tes comptes, dit le vieux. Cest toujours tro p tôt ou trop tard, et ça ne sert à rien.  » Cela se passe pendant les croisades, page 131 « à l’orée des région s infidèles ». A travers des personnes irréelle se dit des choses réelles.

Comme quoi la vie n’a aucun sens, vu que nous llions mourir, après la vie c’est une libération Les deux sages sont des sortes de divinités de la mort. p. 136— signe divin et page 126 le sage. Les mensonges de la vie « O imparfaite grâce à qui la perfectio n prend conscience d’ellemême »p. 127 et « Ne te mets pas à faire tes comptes, dit le vieux. C’est toujours trop tôt ou trop tar d, et ça ne sert à rien. Laissemoi plutôt mettre ma veste sous ta tête, pour que tu sois m oins mal à terre » il y a aussi la douceur de la mort. C’est le sa e et le vieil homme qui le pensent. PZGF3CFd