Janusz korczak « comment aimer un enfant »
Face à la question de l’éducation, il semble adopter le même point de vue que société « je sais que je ne connais rien ». Par le biais de son ouvrage, il ne prétend pas apporter des réponses aux parents, mais il veut leurs apprendre à savoir se poser les bonnes questions.
Il évoque dès la conception de l’enfant le penchants de « gosse réussit » de tous les parents. Ils projettent sur ‘enfant l’image d’un prolongement d’eux-mêmes et l’image renvoyée par la société de ce que doit être un enfant. Coryza leur rappelle que l’enfant est acteur de sa vie, c’est une personne à part entière. Coryza divise la vie de l’enfant en plusieurs stades qu’il illustre à chaque fois de plusieurs exemples.
AI évoque entre autres, la période où l’enfant découvre le monde seul 11 un enfant » premier boy sébacé empâta 23, 2011 | 13 pages connais rien Par le biais de son ouvrage, il ne prétend et où il prend des risques et acquiert de l’expérience ainsi que celle où l’enfant pose des questions fondamentales aux adultes sur ce qui régit son existence. Coryza soulève également la question de la puberté. L’adulte, qui a autant de faiblesses et de défauts que lui. AI comprend l’injustice d’avoir été soumis toute son enfance au bon vouloir de quelqu’un qui ne détient pas plus que lui la vérité.
L’enfant découvre que le monde n’est pas séparé en deux catégories « bien » et « mal ». AI est perdu face à ses découvertes. Il) Le rôle de l’éducateur selon jaunes Coryza Pour jaunes Coryza, l’éducateur doit avant tout comme nous l’avons dit dans la partie précédente considérer l’enfant comme une personne à part entière. Il faut prendre en compte ses intérêts, ses sentiments et ses choix au même titre que ceux des adultes. Coryza utilise énormément l’observation et le dialogue dans son travail.
AI pense qu’il ne faut jamais fixer ses objectifs en fonction de ce qui devrait être mais en fonction de ce qui peut être. AI convient qu’il est difficile de trouver un équilibre entre l’autorité que doit exercer l’éducateur pour faire respecter les règles de la société, assurer la préservation de la liberté de chacun, et le désir d’être aimé ancré en chacun de nous. Coryza fait l’inventaire de toutes les situations difficiles auxquelles peut être confronté l’éducateur.
Ce dernier est soumis quotidiennement à l’imprévu et la majeure partie de son travail est de gérer cet imprévu. Coryza évoque également le fait que l’éducateur ne peut pas aimer tous les en imprévu. Pas aimer tous les enfants de la même façon. AI partage toujours plus d’émotion avec certains qu’avec d’autres. Pour Coryza, e principe d’égalité entre tous les enfants n’existe pas. Un humain n’est pas un robot, les sentiments qu’il ressent pour chaque personne sont différents et il n’ pas à en avoir honte. Être humain nous condamne à commettre des erreurs et es injustices. L’important est de savoir le reconnaître et de pouvoir se remettre en cause. Être juste est impossible : quand on punit, on est toujours influencé par différents paramètres, mais la sanction reste obligatoire car laisser une totale liberté aux enfants, en avantage certains et en limite d’autres de toute façon. Le rôle de l’éducateur est aussi de soumettre l’enfant aux lois sociales même s’il n’est pas convaincu par toutes ces lois. Il doit lui inculquer la notion de règles.
Cependant, pour Coryza, il est essentiel de toujours écouter la demande d’un enfant avant de prendre une décision le ancreront. jaunes Coryza pense qu’il ne faut pas condamner les « mouchards Ils pointent nos faiblesses et voient ce qu’on n’ pas réussi à voir. Il ne faut pas les houspiller mais leur rappeler qu’ils commettent des erreurs eux aussi. Les erreurs font partie du processus d’apprentissage de l’enfant. De plus, selon lui, il fa aussi. Les erreurs font partie du processus d’apprentissage de l’enfant.
De plus, selon lui, il faut être conscient du fait que la dépravation existe chez l’enfant, il faut prendre ce paramètre en compte si on veut faire un travail qui soit efficace et qui ai un sens pour eux. AI s’agit avant tout de travailler avec les enfants et non pas de les soumettre à la toute puissance des adultes. AI) Mise en pratique des principes d’éducation de jaunes Coryza Pour illustrer sa vision de l’enfant et de l’éducateur, jaunes Coryza consacre la dernière partie de son livre à des outils éducatifs qu’il s’est appropriés et qu’il a mis en place.
Qu’il s’agisse d’un tableau d’annonce, d’une vitrine d’objets trouvés ou d’un tribunal conduit par les enfants de son orphelinat, l’auteur nous montre ici des moyens qu’il a établi dans un moment, un lieu et avec un publique déterminé. Ce qu’il tient à nous montrer, c’est qu’il n’existe pas de méthodes définies pour savoir éduquer des enfants. Ce qu’il faut, c’est être un éducateur nourri de bonne volonté et de manières réfléchies et clairvoyantes. Ce qu’il a cherché à faire dans son orphelinat, c’est de rendre les enfants responsables et acteurs du bon déroulement de l’institution.
Pour cela, il a mis en place divers outils leur permettant d’agir sur le fonctionnement de la vie dans le foyer : un tribunal admis leur permettant d’agir sur le fonctionnement de la vie dans le foyer : un tribunal administré par l’équipe éducative et es enfants ; une division et répartition de l’ensemble des tâches ; un comité de tutelle pour accompagner les jeunes avec les éducateurs ou les enfants eux-mêmes ; des réunions-débats permettant une parole et une communication libre entre les enfants et les éducateurs ; un journal, La Gazette, pour que la parole et les informations propres à l’établissement soit partagées par tous. L’objectif que s’est fixé jaunes Coryza dans son orphelinat a été de contribuer à l’éveil de la conscience collective chez l’enfant pour lui donner un sentiment de correctionnaliser. La place que prend l’éducateur dans ce processus est ramollie mais pour l’auteur, ce qui reste le plus important, est avant tout la reconnaissance de l’enfant comme un être a part entière avec ses envies, ses goûts et ses besoins. Commentaire sous forme de dialogue aseptisant: Actuellement en stage dans une Maison d’Enfants à Caractère Social (M. E. C. S. Accueillant des adolescents, la réflexion de jaunes Coryza sur les situations nées du manque d’expérience ma semblé intéressante. J’ai vécu une situation liée à cette idée, lors d’une soirée où j’ai projeté un film comique, Las végéta parant de terre glacial. Ce film raconte l’histoire de deux resserrons atypiques dans I végéta parant de terre glacial. Ce film raconte l’histoire de deux personnages atypiques dans les années 70, qui partent pour Las végéta avec une valise remplit de diverses drogues. J’ai déjà eu l’occasion de passer ce film à des adolescents avec pour résultat, un bon succès. Cependant, je n’avais pas imaginé le peu d’enthousiasme qu’il pouvait susciter auprès des jeunes de ma M. E. C. S..
En effet, pendant les situations drôles du film, j’étais le seul à rigoler tandis que le visage des jeunes n’exprimait que le doute et l’incompréhension. Assez vite je leur ai proposé un autre DIV. et tout de suite, ils ont répondu oui. C’est seulement après coup, que j’ai réalisé que les jeunes étaient tous des mineurs étrangers isolés et que l’idée d’autodestruction par la drogue évoqué dans le film leur était incompréhensible étant donné qu’ils ont vécus, pour la plus part, dans la survie. Finalement, c’est par ma méconnaissance du public que j’ai fait l’erreur de les mettre devant un film inadapté. Colline: Il m’est arrivé également de ne pas savoir adapter une activité au public que je prenais en charge du fait de mon manque d’expérience.
J’étais accompagnatrice- animatrice lors d’un séjour de vacances pour adultes déficients mentaux et avec ma collègue nous avons décidé d’organiser une sortie dans un petit parc d’attractions. La moitié des vacanciers s’est amusé mais une de moitié des vacanciers s’est amusé mais une des vacanciers s’est cassé le poignet sur un trampoline, un autre vacancier ayant le vertige n’ fait pratiquement aucun jeu et une autre vacancier assez faible physiquement n’avait pas les capacités suffisantes pour participer aux activités proposées. Nous n’avions pas bien estimé la fragilité physique et psychique de notre public sûrement par manque d’observation.
Le problème est qu’il y a souvent de grandes différences d’autonomie et de capacités en général des personnes dans ce type de séjour. S. : Avec ton exemple, ce qui me parait important, c’est de considérer tous les enfants comme des êtres différents entre eux. Ils sont distincts et c’est donc à l’éducateur de s’adapter aux jeunes. Il doit alors adapter ses activités et son intervention pour favoriser l’ensemble du groupe plus que la majorité. C. : C’est juste, mais il n’est effectivement pas toujours évident de s’adapter aux enfants, nous avons souvent une idée préconçue de la façon dont une activité doit se rouler et il est parfois difficile d’accepter que le déroulement réel de l’activité soit tout autre.
Par exemple, la semaine dernière j’ai dû animer une activité cuisine et l’un des enfants s’asseyait tout le temps et avait du mal s’intéresser. Au lieu d’essayer d’adapter une pp s’asseyait tout le temps et avait du mal à s’intéresser. Au lieu d’essayer d’adapter une partie de l’activité pour lui, je l’ai mis à part. Sur le coup je n’ai pas accepté qu’il ne se comporte pas selon le modèle que j’avais pré-établi dans ma tête. En réfléchissant à cette expérience vécue, j’ai pu laisser l’importance qu’il y avait à adapter l’activité à tous les enfants du groupe pour que tout le monde, y compris moi, puisse se retrouver dans cette activité. S. Autant le manque d’expérience peut se faire ressentir auprès du public avec lequel on travaille mais aussi avec l’équipe éducative dans laquelle on intervient. J’ai pour exemple un projet cuisine que j’ai construit pour mon stage et qui a mis trois mois pour se mettre en place. Durant les réunions d’équipe, les éducateurs semblaient tous enthousiastes avec le projet qu’ils ont vite nommé le projet du stagiaire, et c’est pour cela que je me suis retrouvé tout élu à porter ce projet, sans l’aide d’aucun éducateur de l’institution. Leur manque de confiance en moi et donc au projet, a conduit à une mise en place très lente de l’activité.
Cependant, la Cadre souci-éducative de l’établissement qui est également ma réfèrent de stage, ma dit dès le début qu’elle, était très heureuse de m’accueillir afin de « dynamiser » ‘équipe en apportant de nouvelles propositions et des projets. C. : Moi, « dynamiser » l’équipe en apportant de nouvelles C. : Moi, j’ai plutôt vécu une expérience contraire; en effet dans la structure où je suis stagiaire je me sens plutôt trop assiste que livrée à moi-même. Dès que je suis confrontée à une difficulté, comme par exemple un enfant qui est insolent ou fait une crise alors que je suis seule dans la pièce, tous les éducateurs accourent pour me demander si je souhaitent qu’ils prennent en charge la situations, comme s’ils me considéraient incapables de gérer le moindre imprévu du fait de mon statut de stagiaire.