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ÉCONOMIE Acculturation : Processus de modification de la culture d’un groupe ou d’une personne sous l’influence d’une autre culture. Actif financier : Titre ou contrat, généralement transmissible et négociable (par exemple sur un marché financier), qui est susceptible de produire à son détenteur des revenus et/ou une plus-value, en contrepartie d’une certaine prise de risque. Action • Agent économique : physique, une entrep 0 prenant des décision L’i. Swape p économique et finan t une personne lectivité publique ns d’ordre Agrégat : Un agrégat est une grandeur mesurant le résultat d’une ctivité économique ou de multiples données monétaires et financières. Alliance : Association entre E indépdt (fusion, acquisi0). Elle a pour objtr la mise en coml de projets, savoir-faire, clientèle, éco d’échelle. Amortissement : Camortissement consiste à rembourser en tout ou partie un crédit bancaire ou un emprunt obligataire émis par un émetteur.

Analphabète : Une personne qui ne sait ni lire ni écrire, parce qu’elle ne l’a jamais appris. culturelles. Atomicité du marché: Situation d’un marché sur lequel il existe une multitude d’offreurs et de demandeurs, de telle sorte u’aucun d’entre-eux ne puisse influer sur l’équilibre du marché. Autofinancement : L’autofinancement est un mode de financement interne à l’entreprise. Les ressources financières obtenues au sein même de l’entreprise grâce à son activité et sa rentabilité doivent permettre d’assurer le financement de ses projets. ? Avantage absolu : Adam Smith E, Pays qui aurait tout intérêt à se spécialiser dans la production et l’exportation d’un bien pour lequel il disposerait d’un avantage en termes de coûts de production par rapport à tous les autres pays. Avantage comparatif : David Ricardo E, pays doit se spécialiser ans la production et l’exportation du bien pour lequel il dispose de l’avantage absolu le plus élevé (les coûts de production les plus faibles) ou le désavantage absolu le plus faible. Barrière non tarifaire : Toute mesure visant à restreindre les échanges internationaux sans peser directement sur les prix. Elle peut prendre la forme d’embargo, un quota, une norme et d’un règlement administratif particulier. Barrière tarifaire : Droit de douane frappant les importations et/ ou les exportations. Bs de financement : Situation d’un agent économique dont les dépenses d’investissement sont supérieures à son epargne. Bs primaire : Bien nécessa de l’individu, donc c’est n’est pas obligatoire.

B club : Un bien collectif non rival, exclusif. B commun : un bien t rival mais non exclusif . B complémentaire : Deux biens sont dits complémentaires lorsque la consommation de l’un entraine la consommation de l’autre. B d’équipement : Tout bien durable servant à produire d’autres biens ou services. B de conso finale : Tout bien acquis pour satisfaire un besoin final, et non destiné à produire un autre bien destiné à la vente. B exclusif : Un bien ou un service dont on peut empêcher la onsommation à un individu qui refuse de payer. non exclusif : Un bien ou un service pour lequel il n’est techniquement pas possible d’empêcher quelqu’un qui n’a pas payé, de profiter. B Giffen : Type de biens dont la demande augmente lorsque le prix augmente. Il s’agit en général de produits de base. 3 immatériel : Bien non palpable. B matériel : Bien palpable. 3 inférieur : Un bien est dit inférieur lorsque son élasticité revenu est inférieure a zéro. B libre : Bien abondant dans la nature. 20 individus.

B non rival : Un bien ou un service dont l’utilisation par un individu e prive pas les autres individus. B substituable : Deux biens sont dits substituables lorsque l’on peut remplacer l’un par l’autre. Ils sont interchangeables, permettent de satisfaire un même besoin. B supérieur : Un bien est dit supérieur lorsque son élasticité revenu est supérieure a zéro. B Veblen Bilan carbone • Il comptabilise les émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise. Bobos : Personne plutôt jeune, aisée et cultivée, affichant sont anticonformisme.

Branches d’activités : Une branche d’activité regroupe les établissements des entreprises produisant le même bien ou service. Brevet : Droit de propriété visant à protéger un bien pour ne pas qu’il se fasse copier. Mais un brevet est à durée limité. Bulle spéculative : Situation dans laquelle, sur un marché, les prix des actifs s’écartent fortement de leur valeur habituelle. But lucratif : Une entreprise dont l’objectif principal est la réalisation de bénéfices. c 4 20 la constitution d’une société. Ce capital social sert à démarrer l’activité de l’entreprise.

Capitalisation boursière : Pour une entreprise, il s’agit de la valeur de cotation de l’ensemble de ses actions. pour une place financière, il s’agit de la valeur de cotation de outes les actions ayant cours sur cette place. Cartel : Entente conclue de manière explicite entre plusieurs entreprises indépendantes d’un même secteur d’activité, dans le but de limiter la concurrence, de contrôler le marché et de maximiser leurs profits. Chiffre d’affaire : Pour une entreprise, il s’agit de son prix de vente unitaire multiplié par les quantités vendues.

Choc d’offre : Évènement inattendu provoquant une modification des coûts de production ou des capacités productives des entreprises et un déplacement de la courbe d’offre. Choc de demande : Modification importante et soudaine de la ituation économique entrainant un déplacement de la courbe de demande. Choc exogène : Phénomènes extérieurs qui viennent modifier les condition du marché et affecte subitement la loi O. Chômage : Le chômage est la situation d’une personne qui, souhaitant travailler et ayant la capacité de le faire, se trouve sans emploi malgré ses recherches.

Chômage classique : Chômage volontaire, l’individu se retire du marché du travail. s 0 temps de recherche et d’adaptation des travailleurs aux nouveaux emplols proposes. Chômage keynésien : Ce type de chômage est lié aux conditions e l’activité productive (l’offre) la source du problème (le salaire est un coût de production trop élevé). Chômage structurel : Le chômage structurel est lié aux évolutions des structures de l’appareil productif et s’explique par les rigidités du marché du travail qui empêchent une adaptation rapide des travailleurs aux nouveaux emplois.

Il entraine un chômage frictionnel. Coefficient de Gini : Compris entre O et 1, ce coefficient permet une mesure de l’ampleur des inégalités dans la distribution d’une variable comme le revenu ou le patrimoine des ménages. Coef multiplicateur : Calcul permettant d’exprimer l’évolution dans le temps d’une variable, ou bien d’exprimer une variable relativement à une autre. Formules : Valeur darrivée / Valeur de départ Collusion : Entent secrète entre deux ou plusieurs Ent pour agir en fraudant les droits d’un tiers, et qui est réprimée par la 101.

Combinaison prod : Choix des quantités de travail et de capital utilisés pour réaliser la production d’une entreprise. Commerce équitable : Choix des quantités de travail et de capital Commerce illicite : Marché décrit comme étant « contraire aux lois es états e/o aux lois internationales». Commerce inter-branche . ui concerne des produits Compétitivité : Capacité d’une entreprise ou d’un pays à affronter la concurrence sur les marchés, c’est à dire à conserver ou ? augmenter ses parts de marché. Compétitivité hors-prix : Forme de compétitivité qui n’est pas basée sur le prix de vente.

Elle tient à la qualité du produit, son caractère innovant, à la marque, au service après-vente, aux délais de livraison,… Compétitivité prix : Elle se définit comme un rapport de prix relatifs. Si les prix de vente d’une entreprise se réduisent plus ite que ceux de ses concurrents, alors sa compétitivité prix s’améliore. Par contre, si les prix de vente d’une entreprise se réduisent moins vite que ceux de ses concurrents, alors sa compétitivité prix se réduit. Bilan : Document comptable faisant partie de la Compte comptabilité financière (ou comptabilité générale).

Il est établi en général en fin d’année et a pour fonction de décrire, à ce moment précis, la situation du patrimoine de l’entreprise. Compte Résultat : Document comptable faisant partie de la comptabilité financière (ou comptabilité générale). Il est établi n général en fin d’année et a pour fonction de décrire l’activité productive de l’entreprise. Concentration conglomérale : La concentration conglomérale concerne des entreprises n’ayant pas de relations techniques évidentes (distribution d’eau et produits multimédias).

Concentration horizontale : La concentration horizontale concerne des entreprises ayant la même activité (les entreprises produisant des véhicules automobiles). Concentration verticale : L n verticale concerne les processus de production (du puit de pétrole à la fabrication de matière plastique à base de pétrole). Consommation finale : Destruction plus ou moins rapide d’un bien ou d’un sen,’ice en vue de satisfaire les besoins des ménages. En comptabilité nationale, les administrations publiques ont également une consommation finale qui par convention correspond à la production non marchande de ces administrations.

Concurrence parfaite : Modèle théorique développé par le courant néo-classique décrivant le fonctionnement d’un marché. Ce modèle s’appuie sur cinq hypothèses : * l’atomicité du marché * l’homogénéité des produits * la fluidité du marché * la transparence du marché la parfaite mobilité des facteurs de production Consumérisme : Désigne l’ensemble des doctrines, actions et organisations ayant pour objectif la défense des intérêts des consommateurs.

Contingentement : Pratique de cartels ou d’ententes tendant ? limiter le production de chacune des Ent membres et à répartir la clientèle entre celles-ci. Contrainte budgétaire : Le budget d’un agent économique est nécessairement limité. Cette limite agit donc comme une contrainte pour lui : il ne peut dépenser plus que ce dont il dispose. Cela conduit cet agent à effectuer des choix. Contrebande : Commerce parallèle effectué en violation des lois et règlements. Il pose des pb d’envi sanitaire, exploita’, mais il reste très lucratif. olidarité. Conventions collectives : Accord écrit, signé entre les organisations représentant les travailleurs (syndicats) et les employeurs ou leurs organisations représentatives. Cotisations sociales : Prélèvement monétaire obligatoire sur les revenus du travail (salaires, revenus des travailleurs indépendants) effectué par une administration de sécurité sociale. Courtage : Opération qui consiste, contre une rémunération, ? ettre en relation deux personnes qui désirent s’engager par contrat.

Coût d’opportunité / de renonciation : Ce à quoi on renonce pour obtenir une chose. Coût fixe : Coût qui ne varie pas avec les quantités produites. Coût marginal : Coût de la dernière unité produite. Formules : Cm2 Cml Coût moyen : Rapport entre le coût total et les quantités produites. Formules : Ctt/ Qt prod Coût variable: Coût qui dépend de la Qt prod Formules : Ctt/ vo Qt prod Crise : Une crise économique est une dégradation brutale de la situation économique d’un pays ou d’une zone économique, onséquence d’un décalage entre la production et la consommation.

Elle se traduit par une forte augmentation du chômage, par une baisse du PIB (Produit Intérieur Brut), un accroissement du nombre de faillites une baisse du pouvoir d’achat… Croissance extensive : La croissance est extensive quand elle est obtenue par une augmentation d’ utilisation des facteurs de production: plus de travail e/o plus de cap ‘tal Croissance Intensive : La croissance est intensive quand elle est obtenue par une utilisation plus efficace des facteurs de production : une augmentation de la productivité du travail e/o du apital.

Croissance potentielle : Taux de croissance maximal du PIB soutenable à long terme sans accélération de l’inflation. Cycle économique : Alternance répétitive de variations économiques qui s’inscrirait à long terme. On aurait une succession de phases du type : Récession — Dépression — Reprise Expansion Crise Expansion . K culturel : Concept forgé par Pierre Bourdieu désignant un ensemble de connaissances mais aussi de goûts qui s’acquièrent lors du processus de socialisation. Il est transmit par les Pères.

Plus le capital culturel du milieu social d’appartenance est élevé, lus les chances de réussite scolaire s’accroissent et plus les chances d’occuper une position sociale élevée sont importantes. K Social : Désigne l’ensemble des réseaux sociaux (familiaux, amicaux, professionnels, etc… ) d’un individu et des volumes des différentes sortes de K détenus par les agents qu’il peut ainsi atteindre et mobiliser pour son propre intérêt. K symbolique : Le captal symbolique désigne toute forme de capital ayant une reconnaissance particulière au sein de la société. C’est un concept que l’on doit au sociologue Pierre Bourdieu. 0 0