germinal
Emile Lecture analytique : Germinal Introduction : Emile Zola est le chef de file du mouvement des naturalistes. Il écrit sur une famille du 18ème siècle sous le second-emplre. La scène traite de rexcipit de Germinal. Les grèves n’ont pas aboutis et le personnage part de la mine. problématique : Comment Emile Zola transforme réchec des mineurs en une possible victoire future 1) une fin triste, un sentiment d’échec A) Le départ d’Etienne -verbe de mouvement « quittant » lignel « débouchait » ligne 2. On suit le départ d’Etienne.
C’est le signe d’un échec car il perd son travail et sa fem verbe de perception cc or 3 ligne 2 « A droite » lig 2 to View nextÇEge point de vue interne. fonction de ce qu’il v ux « apercevait » ola fat le choix du s pour le lecteur en -Utilisation de noms propres comme « Monceau » ou « Voreux » qui montre que le héros connait maintenant les différents endroits contrairement au début du livre. Il suit la doctrine naturalise en étant précis. B) La présence de la fosse -champs lexical de la mine avec « fosse » ligne 5, « fourneaux » ligne 7, « les batteries page batteries ligne 8.
Il y a une volonté de faire une description étaillée. -périphrase « trou maudit » qui est connoté de façon péjorative. Il est donné par Etienne car celui-cl connait les conditions de vie difficile de la mine. Il envisage la mine comme un enfer. -Utilisation répété du pluriel « les décombres » ligne 2, « les autres fosses » ligne 5, « les tours » ligne 7. Cela montre que le paysage est envahi par la mine. -Utilisation du présentatif « c’étaient » ligne 5 qui en avant ce qu’il suit. -choix adjectif « élevées » ligne 7 et « haut » ligne 7 qui montre le coté massif des noms qui les accompagne.
C) L’exploitation des mineurs CCI_ « sous ses pieds s. Il va se souvenir de son passé de m Ineur. -Parallélisme « les coups profonds » et « les coups obstinés » ligne 12. Cela montre la dureté des conditions de travail. -métonymie « les coups » référent aux mineurs qui font la même chose toute la journée. – Utilisatlon d’un adverbe intensif « si roque » qui montre que les conditions sont dures et qu’elles sont endurés par les collègues qu’il a laissés. -Utilisation de l’imparfait « continuaient » ligne 13 qui a ici une notion de durée. 2) L’idée d’une révolte à venir A) Le triomphe de la nature -accumula durée. accumulatlon dévénements naturels « blés » ligne 18, « haies » ligne 19, « arbres » ligne 20. Cela montre que les phrases deviennent mélioratives car on voit l’antéposition d’adjectifs qui le sont. -champs lexical de la lumière « soleil » ligne 20, « rayonnait » ligne 20, « lumière » ligne 26. On voit une renaissance de la nature avec apparition de la lumière. -accumulation de verbes d’actions comme « tressaillir » ligne 23, « gonflait » ligne 25. -métaphore filée de l’enfantement avec « crevait « jaillissait » ou ? débordant de sève Cest une opposition totale à la description de la mine. ) Une révolte en marche -périphrase « armée noire vengeresse » pour désigner les mineurs en colère qui montre que Pheure de la révolte est arrivé. – Utilisation du présentatif « c’était » qui accompagne cette idée de vengeance. -Répétition du mot « encore » qui montre qu’ils se rapprochent petit à petit de la liberté. -Enfin nous pouvons voir que les mineurs sont devenus sujets de leur action ce qui montre qu’ils ne se laissent plus faire et que la révolte est en marche.